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  • Grève intergalactique du 29 janvier : fort soutien populaire !

    lemonde.fr :

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    La mobilisation prévue jeudi 29 janvier prochain afin d'obtenir des mesures en faveur de l'emploi et des salaires bénéficie d'un large soutien de l'opinion, à en croire des sondages parus dimanche dans Le Parisien/Aujourd'hui en France et dans Sud-Ouest. Selon le premier, réalisé par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1 007 personnes âgées de 18 ans et plus, 69 % des Français soutiennent ou "ont de la sympathie" pour la journée d'action du 29 janvier. C'est, souligne CSA, un peu plus que le taux moyen de 65% de "soutien/sympathie" observé depuis 1995 à l'égard de "l'ensemble des mouvements sociaux". "C'est la première fois depuis l'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy qu'un mouvement social recueille une telle adhésion auprès de l'opinion publique, hormis le mouvement des jeunes en avril 2008", souligne en outre Stéphane Rozès, directeur général de CSA-Opinion, cité par le quotidien.

  • Le trou de la Sécu s'aggrave : la faute à qui ?

    Une fois de plus, on matraque les Français avec le trou de la Sécu (qui n'existe pas).

    Ce que les Français doivent savoir, c'est que si un "trou" existe, ce n'est pas parce que les Français dépensent trop, ou parce qu'il y a plein de fraudeurs, mais parce qu'on lui coupe ses ressources, avec l'augmentation des exonérations de charges des entreprises.

    La solidarité, qui a fait la grandeur et la référence de la Sécurité sociale, reconnue dans le monde, laisse place à l'égoïsme, grace aux gouvernement Juppé, et sourtout à celui en place actuellement, très proche du Médef.

    Voilà, il n'y a qu'une centaine de personnes par jour qui viennent sur ce blog, et parmi vous, qui lisez, vous ne lisez pas tout... En espérant que cette info soit largement relayée. Le seul politique à denoncer cela est Olivier Besancenot. C'est pourquoi je le soutien.

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  • Giscard a tué dans l'oeuf l'AEROTRAIN, il veut maintenant la mort des éoliennes

    L'ancien Président Valéry Giscard d'Estaing, après avoir mis fin à l'expérimentation de l'aérotrain au profit du TGV, mettra-t-il fin aux éoliennes au profit du nucléaire ?

    Au passage, remarquer la dernière image : la destruction d'une partie de la ligne expérimentale de "l'ex tranport en commun du futur", au profit d'une autoroute.

  • Un peu d'histoire politique varoise

    Rappel des faits historiques :

    - Yann Piat (ex FN, puis UDF) fut assassinée le 25 février 1994, à Hyères

    - Jean-Marie le Chevallier (ex FN) fut maire de Toulon de 1995 à 2001

    - Hubert Falco (UDF, puis UMP) est maire de Toulon depuis 2001

    Article de l'Express.fr, de janvier 2002 :

     

    Si l'économie locale va mal, cela n'empêche pas l'Union patronale du Var d'être omniprésente dans la ville.

    Le 15 juin 2000, neuf mois avant son élection à la mairie de Toulon, Hubert Falco rencontre les membres de l'Union patronale du Var. Le «candidat probable» qu'il est alors sait bien que l'UPV est un point de passage obligé.

    Avec 5 000 adhérents représentant 60 000 salariés et environ 4 millions d'euros de budget, l'antenne locale du Medef, qui dispose de 70 employés, est la première de France. Son président, Gérard Cerruti, l'homme que l'on courtise, est un fin politique. L'UPV dispose d'un service social faisant travailler à lui tout seul 22 personnes dont 14 assistantes sociales. Installations sportives, centres aérés, restaurant, billetterie pour les spectacles ou places de cinéma à prix réduits: l'UPV s'occupe de tout.

    «Quand on présente une liste à la chambre de commerce, elle est élue. Personne ne se présente contre nous», lâche Gérard Cerruti. En 1993, le président de la CCI, Pierre Meiffret, l'avait appris à ses dépens, lui qui avait dû céder sa place à Jean-Jacques Bréban, plus proche de l'Union. Et, en 1995, une liste soutenue par le FN, qui avait alors le vent en poupe, n'avait obtenu aucun élu face à Dominique Poggi, candidat estampillé UPV, aujourd'hui président régional de la CCI-Provence-Alpes-Côte d'Azur et du Club des décideurs économiques varois. Outre les 38 postes de dirigeants de la chambre de commerce, l'Union détient aussi 800 mandats patronaux.

    Poids, pouvoir, influence? Gérard Cerruti ne renie aucun de ces mots, mais préfère parler de «résonance» ou de «maillage». Le fait est que l'organisation a réparti ses vice-présidents par secteur géographique et par branche professionnelle: Marcel Herrero pour le BTP, Madeleine Jauffret pour la métallurgie, René Montolivo pour les services, et Jacques Rouard, l'influent patron de la librairie Charlemagne, pour le commerce. Ces deux derniers étant, également, des «frères» influents, l'un à la GLNF et l'autre à la GLF. Quant à Gérard Cerruti, il se défend d'appartenir à la franc-maçonnerie. Et souligne que ce n'est pas un «critère d'admission» pour son organisation.

    Jeune chambre économique, Centre des jeunes dirigeants, Conseil économique et social ou Club des décideurs économiques varois et ses présidents successifs (Patrice Blin et Rémi Bour hier, comme Dominique Poggi aujourd'hui), les membres de l'UPV occupent tous les terrains. Celui du rugby aussi car, dit Patrice Blin, fondateur du Club 83, un groupe d'entrepreneurs engagé dans la sauvegarde du RCT, «le rugby donne une bonne image du département».

    Tout ce petit monde ne dédaigne pas croiser les autorités. «L'UPV entretient des relations étroites avec le préfet», assure son président. En septembre dernier, ils étaient plus de 300 réunis, sur le thème de l'intercommunalité, au palais des congrès Neptune, à l'initiative de Rémi Bour, urbaniste et conseiller municipal (divers droite) du nouveau maire. Le préfet Daniel Canepa et Hubert Falco étaient là, ainsi que tout le gratin du monde économique et politique.

  • Les Caf auront-elles les moyens de traiter le RSA, tant espéré par le gouvernement ? Le RSA est-il la solution à tous les problèmes ?

  • Herbe

    Herbe : un film à voir absolument !
    + le nouveau règlement européen sur les pesticides adopté !
    le site du film Herbe Herbe : un film à voir absolument !
    Vous savez ce que mangent les vaches ?

    En êtes-vous vraiment sûr(e)…?

    HERBE (www.herbe-lefilm.com)

    Au cœur de la Bretagne paysanne, deux visions du métier d’éleveur laitier se confrontent.
    Alors que des Hommes se sont engagés depuis plusieurs années dans une agriculture autonome, durable et performante, le courant majoritaire de la profession reste inscrit dans un modèle de production industriel, fortement dépendant des groupes agricoles et agro-alimentaires…
    Les objectifs du film sont multiples. Si les questions relatives aux dérives de la PAC (choix politiques et répartition des aides) sont centrales, il est aussi question des dérives des systèmes coopératifs agricoles. HERBE met alors en lumière les alternatives au modèle productiviste dominant. HERBE désire interroger de manière globale le monde dans lequel nous vivons par l'intermédiaire de l'élevage laitier breton.
    En effet, la question agricole devient centrale dans les problématiques politiques actuelles. Alors que l'alimentation d'une partie de la population mondiale est remise en cause, et qu'apparaît toujours plus pressante la nécessité de repenser nos modèles de production et d'approvisionnement, la crise énergétique semble nous pousser à agir vite quant à développer des moyens autonomes de subsistances.
    HERBE n'est pas seulement le constat de la fin d'un temps, il rend visible le possible d'un autre moyen de vivre et de construire le monde, un monde autre...



    Où voir le film ?

    La date de sortie nationale du film est le 18 février prochain, à 3 jours de l’ouverture du Salon International de l’Agriculture de Paris. Nous vous communiquons les salles qui le programmeront, mais invitons tous les collectifs qui le souhaiteront à prendre l’initiative.

    Ces salles programment HERBE à partir du 18 février :

    Toulouse – Utopia (sortie dès le 11 février)
    Tournefeuille – Utopia (sortie dès le 11 février)
    Bordeaux - Utopia
    Montpellier – Utopia
    Montpellier – Diagonal
    Paris - Espace St Michel
    Avignon – Utopia
    Nantes - Concorde
    St Ouen l'Aumône – Utopia
    Achères - Pandora
    Calais - Alhambra


    Ces salles programmeront HERBE mais n’ont fixé de date définitive. N’hésitez pas à leur demander plus d’informations :

    Bayonne - Atalante
    Rennes - Arvor
    Dijon - Eldorado
    Caen - Lux
    Lyon - Comedia
    Clermont-Ferrand - Rio
    Bretagne – Circuit Cinéphare (tournée au mois de mars)
    Gournay en Bray (76) - les Ecrans
    Grande Synthe (59) - Cinéma
    Libourne - Grand Ecran
    Nîmes - Sémaphore


    Ces salles ont le film, et réfléchissent encore à leur programmation. N’hésitez pas à leur demander de le programmer :

    Grenoble - Méliès
    St Etienne - Méliès
    Perpignan - Rive Gauche
    St Ouen - Espace 1789


    Enfin, chaque collectif peut demander à sa salle de cinéma (en France, en Belgique, en Suisse et en Andorre) d'organiser une projection, ou bien encore organiser soi-même une projection avec ses propres moyens de diffusion.


    Contact : Parasite Distribution - Jean-Jacques Rue - 06 16 55 28 57 - jjrue@hotmail.fr

    le site du monde.fr Le Parlement européen bannit 22 substances pesticides


    LEMONDE.FR 13.01.09
    Les eurodéputés ont ouvert la voie, mardi 13 janvier, à l'interdiction dans l'Union européenne d'une vingtaine de substances entrant dans la composition des herbicides, fongicides et insecticides. Considérées comme cancérigènes, toxiques pour la reproduction ou ayant des effets perturbateurs sur le système endocrinien, beaucoup sont produites par les géants de l'industrie chimique allemande, Bayer et BASF.
    Saluée par les écologistes comme l'une des législations les plus restrictives au monde en matière de pesticides, l'adoption de cette liste noire est "une victoire des Verts et des environnementalistes qui ont su collectivement résister aux énormes pressions" de l'industrie, s'est félicitée l'Italienne Monica Frassoni,
    coprésidente du groupe des Verts au Parlement européen.
    Fruit d'un compromis avec les 27 Etats membres, le texte entre en vigueur dès 2009. Deux fongicides (le Carbendazim et le Dinocap) seront interdits dès cette année, mais les dernières autorisations pour certains
    produits aux effets perturbateurs sur le système endocrinien n'expireront pas avant 2018.

    "CONSÉQUENCES NEUROLOGIQUES ET IMMUNOLOGIQUES GRAVES"

    "Il s'agit de 22 substances sur 500, soit moins de 5 %", expliquait le 18 décembre l'eurodéputée verte allemande Hiltrud Breyer, en marge d'une conférence de presse. Les industriels du secteur phytosanitaire
    annonçaient l'interdiction de 40 % des substances. "C'est une honte. On a abusé [des agriculteurs] avec des informations erronées. (...) Maintenant, l'industrie a toutes les raisons d'innover pour fabriquer des produits sûrs", avait-elle insisté.
    Le Mouvement pour le droit et le respect des générations futures (MDRGF) a salué la nouvelle législation dans un communiqué, mais regrette que les débats aient dilué certaines restrictions initialement imposées à des produits susceptibles de "conséquences neurologiques et immunologiques graves pour le développement prénatal des enfants". Le MDRGF déplore l'absence de "mesure forte pour protéger les résidents des milieux agricoles exposés aux pulvérisations de pesticides", de "zone tampon" près des cours d'eau et d'interdiction "pure et simple" de l'usage des pesticides en milieu urbain.

  • Sous les pavés... la Terre

  • Utopia-en-France – 3ème partie

    Faire un inventaire de ce qui existe déjà.

    Recenser la totalité des personnes réellement motivées. Un noyau dur est indispensable à la bonne tenue du projet. Cela ne pourra se faire qu’après plusieurs réunions. « L’écrémage » se fera de lui-même. La réalité de la faisabilité ou non du projet devrait apparaître à ce moment-là.

    Etablir un projet. Les administrations sont-elles indispensables ? Un retour de la poste, d’une cabine téléphonique au centre du village est-elle possible ? Parmi les personnes contactées, il y a un boulanger (bio, cela va de soi !). Ce projet l’intéresse énormément. La seule condition à sa venue est de connaître, avec assez d’exactitude, le nombre d’habitants, donc de clients potentiels (certains futurs habitants feront leur pain à leur domicile, mais il pense qu’ils ne seront pas très nombreux). Certains feront même le choix de ne pas faire le pain chez eux, pour l’acheter au boulanger. Mais la qualité du pain devra être au rendez-vous. Pour limiter l’impact sur l’environnement, les ingrédients devront provenir de la région. Le blé devra être moulu chez un meunier, de manière traditionnelle, toujours, non loin de Utopia, voire même, si la possibilité en est offerte, dans le village d’Utopia.

    Rappel d'un des principes d'utopia : pas de circulation d'argent. ce principe peut-il être tranposé à Utopia-en-France ? Le SEL exite pourtant déjà. A voir.

    Un village sans boulanger, en France de surcroit, vous y croyez, vous ?