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  • Taxe carbone : (encore) un beau cadeau pour le MEDEF

    On réduit (encore !!!!!) les charges des entreprises (donc, encore moins d'argent pour la Sécu, donc, le grouffre de la Sécu augmente), et on fait payer "Monsieur tout le monde" une taxe supplémentaire.

    Sarkozy est "Monsieur baisse des impôts pour ses amis les riches et les grandes entreprises", mais aussi "Monsieur taxe pour tous" !

    Ils appellent ça "transfert de fiscalité" : faire payer à tous ce que seules les entreprises payaient.

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  • On a un vrai gouvernement de droite !

    Pour répondre à la demande des salariés grévistes des Antilles, le gouvernement réfléchi à une baisse des charges pour les entreprises.

    Là, je ne peux qu'admirer le tour de passe-passe. C'est un vrai gouvernement de droite que voilà !

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  • Un peu d'histoire politique varoise

    Rappel des faits historiques :

    - Yann Piat (ex FN, puis UDF) fut assassinée le 25 février 1994, à Hyères

    - Jean-Marie le Chevallier (ex FN) fut maire de Toulon de 1995 à 2001

    - Hubert Falco (UDF, puis UMP) est maire de Toulon depuis 2001

    Article de l'Express.fr, de janvier 2002 :

     

    Si l'économie locale va mal, cela n'empêche pas l'Union patronale du Var d'être omniprésente dans la ville.

    Le 15 juin 2000, neuf mois avant son élection à la mairie de Toulon, Hubert Falco rencontre les membres de l'Union patronale du Var. Le «candidat probable» qu'il est alors sait bien que l'UPV est un point de passage obligé.

    Avec 5 000 adhérents représentant 60 000 salariés et environ 4 millions d'euros de budget, l'antenne locale du Medef, qui dispose de 70 employés, est la première de France. Son président, Gérard Cerruti, l'homme que l'on courtise, est un fin politique. L'UPV dispose d'un service social faisant travailler à lui tout seul 22 personnes dont 14 assistantes sociales. Installations sportives, centres aérés, restaurant, billetterie pour les spectacles ou places de cinéma à prix réduits: l'UPV s'occupe de tout.

    «Quand on présente une liste à la chambre de commerce, elle est élue. Personne ne se présente contre nous», lâche Gérard Cerruti. En 1993, le président de la CCI, Pierre Meiffret, l'avait appris à ses dépens, lui qui avait dû céder sa place à Jean-Jacques Bréban, plus proche de l'Union. Et, en 1995, une liste soutenue par le FN, qui avait alors le vent en poupe, n'avait obtenu aucun élu face à Dominique Poggi, candidat estampillé UPV, aujourd'hui président régional de la CCI-Provence-Alpes-Côte d'Azur et du Club des décideurs économiques varois. Outre les 38 postes de dirigeants de la chambre de commerce, l'Union détient aussi 800 mandats patronaux.

    Poids, pouvoir, influence? Gérard Cerruti ne renie aucun de ces mots, mais préfère parler de «résonance» ou de «maillage». Le fait est que l'organisation a réparti ses vice-présidents par secteur géographique et par branche professionnelle: Marcel Herrero pour le BTP, Madeleine Jauffret pour la métallurgie, René Montolivo pour les services, et Jacques Rouard, l'influent patron de la librairie Charlemagne, pour le commerce. Ces deux derniers étant, également, des «frères» influents, l'un à la GLNF et l'autre à la GLF. Quant à Gérard Cerruti, il se défend d'appartenir à la franc-maçonnerie. Et souligne que ce n'est pas un «critère d'admission» pour son organisation.

    Jeune chambre économique, Centre des jeunes dirigeants, Conseil économique et social ou Club des décideurs économiques varois et ses présidents successifs (Patrice Blin et Rémi Bour hier, comme Dominique Poggi aujourd'hui), les membres de l'UPV occupent tous les terrains. Celui du rugby aussi car, dit Patrice Blin, fondateur du Club 83, un groupe d'entrepreneurs engagé dans la sauvegarde du RCT, «le rugby donne une bonne image du département».

    Tout ce petit monde ne dédaigne pas croiser les autorités. «L'UPV entretient des relations étroites avec le préfet», assure son président. En septembre dernier, ils étaient plus de 300 réunis, sur le thème de l'intercommunalité, au palais des congrès Neptune, à l'initiative de Rémi Bour, urbaniste et conseiller municipal (divers droite) du nouveau maire. Le préfet Daniel Canepa et Hubert Falco étaient là, ainsi que tout le gratin du monde économique et politique.

  • Qui gouverne en France ? Le MEDEF ?

    Laurence Parisot propose de repousser l'âge de la retraite à 63,5 ans (pourquoi 63,5 et pas 65 ????)

    Tout d'abord, de quoi elle se mêle ? Pourquoi la chef des entreprises, qui, en pratique, n'embauche plus personne après l'âge de 50 ans, propose cet allongement ? Qui gouverne en France ? Ah ! Oui, j'oubliais déjà, les lobbies.

    Elle dit que si cet allongement est fait, c'est pour l'équilibre des comptes de la Sécu.

    Mais... souvenez-vous de mes notes à propos du fameux trou de la Sécu. Certains financiers ont intérêt à ce que ce trou perciste. Quand un homme, de droite ou de gauche, aura assez de coui... courage pour s'attaquer à ce trou qui n'existe pas, les politiques, de droite comme de gauche, nous feront toujours avaler ce qu'ils veulent.

     L'Etat a des dettes envers la sécu (les exonérations des charges des entreprises). Mais l'Etat ne peut pas rembourser la sécu, car l'Europe veille : traité de Maastricht (j'avais voté oui, je commence à regretter), avec les fameux 3% de déficit à ne pas dépasser.

    A quand la mise en place de la taxe Tobin, pour faire payer les riches (les transactions financières) plutôt que les pauvres (vous et moi), avec la fameuse franchise médicale.

    A quand la vente des médicaments à l'unité ? En place dans la plupart des pays du monde.  

  • Quand on a le Président de notre côté, on se permet des choses

    Quand le Medef dépasse les bornes. (Vu sur la Télé Perso de Free, identifiant 87200)


    Rappel d'une devinette :

    Question : quelle est la différence entre une route nationale et la connerie humaine ?

    Réponse : la connerie humaine n'a pas de borne.

  • Il faut faciliter les licenciements

    Hommes politiques, ne vous étonnez pas si ces scènes deviennent bientôt monnaie courrante :

     

  • Le bonheur est dans le travail (ou le travail c'est la santé)

    Détruire le droit du travail, réduire les syndicats (qui défendent les salariés) à néant. Ils y arrivent enfin.

    Après tout, "ils"ont été élus pour ça, non ?

     

  • SARKOZY=PARISOT=MEDEF

    "L'amour est précaire, la vie est précaire, pourquoi le travail n'échapperait-il pas à cette loi ?"

    Laurence Parisot, Présidente du Médef (Le Figaro économie - 30/08/2005)

    Pour rappel, le Médef, c'est la prolongation de l'Ump. Le Frère de Nicolas, Guillaume Sarkozy, a été vice-président du Médef, clame, haut et fort, être " fier d’être un patron industriel qui délocalise "

    Sympa toute cette petite famille, non ?

    Dire que des salariés à faible revenu veulent voter Sarko, parce que ce dernier leur fait peur.