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social

  • Discours Jean-Luc Mélenchon au Prado


    Discours Jean-Luc Mélenchon au Prado par PlaceauPeuple

  • Le revenu de base. A regarder sans à priori.

  • Le pacte pour l'Euro : pour une régression sociale

    Sous prétexte de "stabiliser l'euro", l'Europe va institutionnaliser la régression sociale. La solution pour éviter ça ? La fin de l'Euro. C'est dur à dire ou à entendre. Mais oui, c'est bien à cause de l'Euro qu'on a vu ces dernières années la destruction pure et simple de tous les services publics.

    http://www.latinreporters.com/espagnepol20062011di.html

    Le Mouvement 15-M semble s'inscrire dans la durée
    Espagne: plus de 200.000 "indignés" contre le Pacte pour l'euro et la crise
     


    MADRID, lundi 20 juin 2011 (LatinReporters.com) - Le rejet du Pacte pour l'euro et des reculs sociaux qu'il institutionnalise était dimanche le leitmotiv de la mobilisation la plus massive du Mouvement des "indignés", né le 15 mai dernier. Plus de 200.000 manifestants ont défilé en Espagne dans des dizaines de villes, conspuant aussi banques, partis politiques, chômage, corruption, privatisations, système électoral et autres attributs du "système" en crise.

    Marée humaine "d'indignés", le 19 juin 2011 à Madrid, sur la Plaza de Neptuno, à 300 m du Congrès des députés (Photo EFE / Ballesteros)

    Cinq semaines après son apparition, le mouvement des "indignés", appelé aussi Mouvement du 15 mai ou Mouvement 15-M, conserve sur Internet sa force de convocation et conforte son ambition de s'inscrire dans la durée. Des médias le soupçonnaient d'essoufflement après la levée, le 12 juin, de son campement sur l'emblématique Puerta del Sol, au centre de Madrid. Les "indignés" avaient pourtant alors écrit sur un calicot "Nous ne partons pas, [car] nous nous installons dans ta conscience". 
  • Dans les CAF, des agents sous pression et des allocataires en attente de prestations

    Dans les CAF, des agents sous pression et des allocataires en attente de prestations

    Dans les Caisses d'allocations familiales, la crise et l'arrivée du RSA encombrent les guichets. Face à ces nouveaux arrivants et aux nouveaux modes de management, les agents sont débordés et «perdent le sens du métier». Et pour les allocataires, les retards sont légion.


    Article publié le mercredi 09 mars 2011


    La queue s’allonge au guichet de la Caisse d’allocations familiales
    du XVIIIe arrondissement de Paris. «Pour gagner du temps,
    venez au bon moment !» : sur la porte, les horaires sont surlignés
    en rouge. Au téléphone, avant d’avoir un agent, l’accueil se fait
    par un chaleureux : «La CAF étant fortement surchargée, il est
    conseillé de ne pas vous rendre aux accueils, de ne pas téléphoner
    et de ne pas envoyer de mails.»
    CAF du XIXe arrondissement
    Les CAF sont en burn-out . Depuis deux ans, les stocks de
    dossiers à traiter s’accumulent. À Marseille comme à Paris, le
    nombre de journées qu’il faudrait pour «liquider» la totalité des
    dossiers ?ce qui implique de ne recevoir ni courriers ni visites ?
    est de quatre. «Une bonne moyenne» par rapport aux autres CAF.
    Note d’information du conseil d’administration de la CNAF du
    1er février 2011
    Mais pour les allocataires, cela ne signifie pas que le courrier est
    traité dans les quatre jours après son arrivée. En Seine-et-Marne,
    le stock est de 12 jours de retard. Toutefois, dans les paniers,
    certains courriers d’il y a plus d’un mois n’ont toujours pas été
    ouverts. Pour Pierre-Claude Monnier, administrateur CGT à la
    CNAF et président de la CAF du Val-d’Oise, certains dossiers
    peuvent avoir jusqu’à quatre mois de retard. Une situation largement
    aggravée depuis deux ans.
    Comme pour les allocations personnalisées au logement (APL).
    Marc, étudiant de 24 ans, vient tout juste de les recevoir. Mais
    son loyer, il le paye depuis octobre. «J’ai de la chance de ne pas
    être dépendant à 100% de la CAF !»
    Précarité et RSA
    La faute à la crise tout d’abord. Depuis 2008, les allocataires sont
    plus nombreux. Les déclarations de changements de situation ont
    grimpé, de pair avec les courriers et les visites. Et avec cette
    hausse de la précarité s’ajoute pour les employés «une certaine
    agressivité à l’accueil» .
    Puis la faute au RSA (Revenu de solidarité active). Entre juin
    2009 et juin 2010, le nombre de bénéficiaires des CAF a augmenté
    de 20%. Depuis le 1er septembre 2010, il est étendu aux
    moins de 25 ans. Et, du fait des conditions d’attributions compliquées
    et finalement limitées, «beaucoup de jeunes viennent alors
    qu’ils ne peuvent pas y prétendre», indique Jean-Luc Lefebvre,
    syndicaliste CGT de la CAF de Lille. La pile de courriers s’élève.
    Après le RSA, en ce début d’année a été réformée l’allocation
    aux adultes handicapés (AAH). Désormais, pour la percevoir, les
    déclarations doivent être faites tous les trimestres, contre une fois
    par an auparavant. Et les retards nuisent aux retards : les allocataires
    désirant savoir où en sont leur dossier se rendent aux accueils
    ou téléphonent.
    Par ailleurs, la lutte contre les fraudes est devenue un mot d’ordre,
    rappelé avec dans la dernière Convention d’objectifs et de gestion
    (COG). La Cour des comptes, dans un rapport de septembre 2010,
    mettait cependant en garde :
    Rapport de la Cour des comptes, p.187
    Face à cette pression accrue, les contrôleurs s’estiment trop
    peu nombreux pour respecter les objectifs. «Nous sommes huit
    contrôleurs pour 120.000 allocataires» , compte une contrôleuse
    lilloise. A Paris, «ils sont trente aujourd’hui contre cinquante il y
    a dix ans, pour 400.000 allocataires» , détaille un syndicaliste. À
    Lyon, depuis deux ans, le service fraude emploie six techniciens...
    qu’il emprunte au service de traitement des dossiers.
    Non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux
    Le personnel se sent d’autant plus surchargé que, depuis juillet
    2010, un départ à la retraite sur deux n’est pas remplacé. D’ici
    2012, il faudra supprimer 58 postes sur 550 dans le Nord, 73 sur
    1.200 à Paris (où la CAF comptait 2.000 employés en 1992), 22
    sur 880 à Lyon.
    Lors de la mise en place du RSA en 2009, 1.257 postes ont été
    accordé pour gérer ce travail supplémentaire ? contre 1.800 réclamés.
    Mais, ajoute Antoine Leborgne, à la CGT, «la convention
    d’objectifs et de gestion (COG) précise qu’à la fin 2012, il doit
    en rester 80» . Des chiffres que réfute la Caisse nationale : «Il
    s’agit des départs à la retraite avec le non-remplacement d’un
    départ sur deux à compter de juillet 2010. Au total, la branche
    Famille disposera d’un nombre de postes supérieurs en 2012 que
    fin 2008.» La création du RSA jeunes, elle, ne s’est pas accompagnée
    de recrutements.
    Aucune inquiétude pour les allocataires, veulent rassurer les syndicats
    : les économies de postes ne se feront pas à l’accueil ou sur
    les techniciens conseils en charge du traitement des dossiers. Mais
    les travailleurs sociaux et les conseillères en économie sociale et
    familiale devraient en pâtir.
    Et pour les conseillers techniques, la pression reste identique.
    Toutes les CAF ont des objectifs chiffrés : 85% des dossiers de
    1
    Directeur de la publication : Edwy Plenel Directeur éditorial : François Bonnet
    minima sociaux doivent être traités en dix jours, 85% des autres
    pièces doivent être traités en moins de quinze jours. Il faut répondre
    à 90% des appels téléphoniques. Le temps d’attente à l’accueil
    doit être inférieur à 20 minutes. Des chiffres pas toujours
    respectés, mais en amélioration par rapport à 2009, se réjouit la
    CNAF :
    Note d’information du conseil d’administration de la CNAF du
    1er février 2011
    Note d’information du conseil d’administration de la CNAF du
    1er février 2011
    Nombre de dossiers traités en moins de 15 jours
    Nombre de dossiers traités en moins de 15 jours - conseil d’administration
    de la CNAF du 1er février 2011
    «On travaille en flux tendu, on ne connaît plus que ça !»
    s’indigne-t-on dans plusieurs CAF. Et comme une partie du salaire
    des employés, en intéressement, en dépend, les syndicats
    parlent d’une diminution des revenus ces deux dernières années.
    Du côté de la direction de la Caisse nationale, on ne nie pas
    l’alourdissement des charges. Pour y remédier, elle a mis en place
    un «atelier de régulation des charges» (ARC) dès juin 2009. De
    manière électronique, 37 CAF n’accusant pas de retard en aident
    52 autres en récupérant un stock de dossiers. Comme à la CAF
    de Paris : «Cette semaine, on aide la Guadeloupe ; la semaine
    prochaine, c’est l’Essonne.» Avec parfois les difficultés : dans les
    DOM, la législation est différente.
    «On ne fait que de la gestion d’indicateurs»
    Un des moyens pour réguler les charges est la «mutualisation» :
    mettre en commun les équipes pour traiter plus de dossiers plus
    rapidement. Ainsi, la CAF de Nancy s’occupe de la paye de la
    Meuse, etc.
    P.20 de la Convention d’objectifs et de gestion entre l’Etat et la
    Cnaf
    En outre, cette année, les CAF doivent être départementalisées :
    chaque CAF locale vera son administration regroupée au niveau
    départemental. Le Nord, et ses huit CAF, devrait être le plus touché.
    Pour la caisse nationale, le réseau «gagnera en cohérence»,
    et elle rassure : «L’ensemble des emplois seront maintenus et il
    n’y aura aucune mobilité forcée. Les 2.000 points d’accueils dédiés
    aux allocataires sont maintenus.»
    À Nancy, l’an dernier, le centre d’appels a transféré une partie de
    ses appels à la CAF de Moulins qui sous-traite son centre d’appels
    à une société privée. «Vingt plateaux de renfort ont permis, durant
    six mois de prendre en charge plus de 40% du flux téléphonique
    de la branche famille» , précise la CNAF. Avec des effets limités.
    «Mes collègues à l’accueil recevaient des personnes à qui le
    centre d’appels n’avait pas pu répondre et leur avait dit de passer
    » , raconte Pierre Nordemann, représentant CGT à la CAF de
    Nancy. De telles opérations ont également lieu aux services courriers,
    en charge de scanner les documents pour les envoyer aux
    CAF.
    Faute de pouvoir recruter, les recours aux CDD se multiplie : 5
    mois et 20 jours, pour ne pas les titulariser. «Et on est obligé de les
    former à chaque fois», rappelle-t-on. Tout comme les techniciens
    finalement embauchés après un départ à la retraite : la formation
    dure un an.
    Alors chaque CAF s’organise pour traiter le stock de dossiers.
    Sur la façade, ce sont des jours non ouverts au public pour traiter
    les dossiers ici ou là. Parfois, de manière durable, comme dans les
    antennes extérieures de la CAF de Lille qui ferment leurs accueils
    les mardis, parfois même les mercredis, et pendant les vacances
    scolaires.
    Et puis il y a le recours aux heures supplémentaires. Quasi inexistantes,
    il y a encore quatre ans.
    Volume d’heures supplémentaires, note d’information issue du
    conseil d’administration de la CNAF 1er fevrier 2011
    Elle peuvent devenir obligatoires lorsqu’il n’y a pas suffisamment
    de volontaires, comme en Seine-et-Marne. Ce recours a tendance
    à se systématiser : «On doit faire 1.800 heures supplémentaires
    entre fin janvier et début mars, en travaillant plus longtemps en
    journée et quatre samedis sur six, raconte Pierre Nordemann, ça
    correspond à peu près à un temps plein sur une année ! L’an dernier,
    des collègues ont atteint les 220h supplémentaires (durée
    maximale par an).» Une syndicaliste reconnaît : «De toute façon,
    on n’est pas assez pour faire le travail.»
    Pour respecter les objectifs, «on traite les dossiers en moins de
    10 jours en décembre pour compenser le fait qu’on en met 16 en
    moyenne en janvier» , indique Jean-Luc Lefebvre à Lille. «Aujourd’hui,
    on ne fait que de la gestion d’indicateurs.»
    Au courrier, même besoin. Toujours dans le Nord, «on traite le
    dernier courrier mais on laisse celui qui est là depuis un mois et
    demi» .
    Pressions et dépressions
    Du coup, les agents dénoncent un «travail d’usine» . Le 8 février,
    4.000 employés des différentes caisses sociales manifestaient à
    Paris, contre leurs conditions de travail. «Avant on traitait une
    famille, aujourd’hui on ne traite plus que des dossiers» , soulignait
    une employée. A Lyon, les agents passent une journée sur
    des dossiers d’aide au logement, la journée suivante sur une autre
    prestation... «C’est une perte d’intérêt», constate Karine Bougain
    de FO. À Marseille, «on a des pressions pour accepter de
    faire des heures supplémentaires ou pour prendre des congés à
    certaines périodes de l’année. À l’accueil, les cadres ont un outil
    : lorsqu’ils estiment que l’agent reste trop longtemps avec un
    allocataire, ça allume une lumière rouge» , raconte Gérard Senatore.
    Dans cette CAF, le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions
    de travail (CHSCT) a remis un rapport d’expertise soulignant
    des «conditions de travail moralement éprouvantes» pour
    les travailleurs sociaux.
    2
    Directeur de la publication : Edwy Plenel Directeur éditorial : François Bonnet
    Rapport CHSCT p.48 Rapport CHSCT p.49
    «Le travail est mal fait, dans l’urgence. Nous devons traiter 30
    dossiers par jour et on envisage de nous faire passer à 35 , dénonce
    Pierre Nordemann. Je suis à la CAF depuis fin 2008, et
    ce qui m’a frappé, c’est le niveau de désespoir des agents. Ils ne
    voient pas d’évolution positive.»
    Depuis les suicides à France Télécom, le stress des agents est attentivement
    mesuré. «Les arrêts maladies de courte durée se multiplient
    » , ajoute Gérard Senatore. Des chiffres que la direction de
    la CAF 13 n’est pas en mesure de fournir. Elle indique cependant
    que les taux d’absentéisme maladie de courte et longue durée sont
    restés stables entre 2008 et 2009.
    Questionnée, la Caisse nationale renvoie sur la hausse du nombre
    de dossiers due à la crise. «La CNAF et les CAF locales travaillent
    de concert pour, à la fois, aider les salariés à travailler dans de
    meilleures conditions et servir au mieux nos 11 millions d’allocataires.»

    source : mediapart.fr

  • Des pans entiers de la Sécurité sociale livrés aux assurances privées

    Le 16 novembre dernier, Nicolas Sarkozy annonçait que le chantier du financement de la dépendance serait bouclé à l’automne 2011.

    L’intervention de Sarkozy avait bien commencé. Il s’agissait, affirmait-il, de créer une nouvelle branche de la Sécurité sociale, un « 5ème risque » qui viendrait s’ajouter a la retraite, la famille, la santé et aux accidents du travail. « Une première fois depuis la Libération » soulignait le président.

    Elle continuait plutôt mal car Sarkozy refusait d’emblée toute augmentation des cotisations sociales, toute augmentation de ce qu’il appelle les « prélèvements obligatoires ». Un concept forgé de toutes pièces par les néolibéraux et qui n’a de sens que pour ces derniers et les intérêts qu’ils défendent. Qui, à par eux, en effet, souhaiterait que sa retraite ou ses dépenses de santé soient financés par des prélèvements facultatifs et donc aléatoires ? 

    L’augmentation de la CSG et des cotisations sociales patronales étant exclue, il ne resterait plus que trois solutions : 

    - Faire payer les familles.

    - Permettre à la Sécurité de récupérer les sommes avancées sur les successions des personnes dépendantes.

    - Avoir recours aux assurances privées. 

    lire la suite sur http://democratie-socialisme.org

    source : http://cgtcafvar.over-blog.com/

    en famille, la fête est plus folle !

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  • Vous hésitez encore à faire grève ?

    Si NON -> Alors à demain, dans les manifs !

    Si OUI -> Peut-être que ce site vous fera changer d'avis : http://www.29janvier2009.fr/

  • Le trou de la Sécu s'aggrave : la faute à qui ?

    Une fois de plus, on matraque les Français avec le trou de la Sécu (qui n'existe pas).

    Ce que les Français doivent savoir, c'est que si un "trou" existe, ce n'est pas parce que les Français dépensent trop, ou parce qu'il y a plein de fraudeurs, mais parce qu'on lui coupe ses ressources, avec l'augmentation des exonérations de charges des entreprises.

    La solidarité, qui a fait la grandeur et la référence de la Sécurité sociale, reconnue dans le monde, laisse place à l'égoïsme, grace aux gouvernement Juppé, et sourtout à celui en place actuellement, très proche du Médef.

    Voilà, il n'y a qu'une centaine de personnes par jour qui viennent sur ce blog, et parmi vous, qui lisez, vous ne lisez pas tout... En espérant que cette info soit largement relayée. Le seul politique à denoncer cela est Olivier Besancenot. C'est pourquoi je le soutien.

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  • 7 octobre - mobilisation unitaire en France et dans le monde

    Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, analyse la rentrée sociale et appelle les salariés à se mobiliser massivement dans l’unité le 7 octobre prochain lors d’une journée nationale interprofessionnelle unitaire.
    - Ce jour là, les syndicats français ont décidé de mettre tout en œuvre pour parvenir à des mobilisations d’ampleur, dans tout le pays, à l’occasion de la Journée Mondiale pour le Travail Décent, organisée par la Confédération Syndicale Internationale (CSI).
    Voir le communiqué

    - A Paris, cette journée sera marquée par un grand rassemblement place du Trocadéro avec la participation des leaders syndicaux mondiaux, européens et français. Voir le communiqué

  • La CAF ferme ses bureaux pour résorber son retard

    Un article sur le Parisien.fr, concernant le Val d'Oise, mais la plupart des Caf de France sont concernées.

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