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  • Mesdames, Messieurs les maires et grands électeurs, un geste pour la démocratie, parrainez Corinne Lepage !

    Mesdames, Messieurs les maires et grands électeurs, un geste pour la démocratie, parrainez Corinne Lepage !

     

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  • PS = UMP (ou quand PS et UMP, bonnet blanc, blanc bonnet)

    Emplois fictifs: l'accord Delanoë-Chirac remis en question

     

     

    A l'heure où l'université d'été du PS à la Rochelle se termine, Bertrand Delanoë pourrait bien se réveiller avec une "gueule de bois". En cause ? Son implication dans le dossier des emplois fictifs de la ville de Paris qui devait être soumis à la justice à la fin de l'année 2010. Ce dernier a en effet trouvé un accord financier avec Jacques Chirac et l'UMP pour leur éviter d'aller jusqu'au tribunal.

    Source : lepost.fr

     

  • Un peu d'histoire politique varoise

    Rappel des faits historiques :

    - Yann Piat (ex FN, puis UDF) fut assassinée le 25 février 1994, à Hyères

    - Jean-Marie le Chevallier (ex FN) fut maire de Toulon de 1995 à 2001

    - Hubert Falco (UDF, puis UMP) est maire de Toulon depuis 2001

    Article de l'Express.fr, de janvier 2002 :

     

    Si l'économie locale va mal, cela n'empêche pas l'Union patronale du Var d'être omniprésente dans la ville.

    Le 15 juin 2000, neuf mois avant son élection à la mairie de Toulon, Hubert Falco rencontre les membres de l'Union patronale du Var. Le «candidat probable» qu'il est alors sait bien que l'UPV est un point de passage obligé.

    Avec 5 000 adhérents représentant 60 000 salariés et environ 4 millions d'euros de budget, l'antenne locale du Medef, qui dispose de 70 employés, est la première de France. Son président, Gérard Cerruti, l'homme que l'on courtise, est un fin politique. L'UPV dispose d'un service social faisant travailler à lui tout seul 22 personnes dont 14 assistantes sociales. Installations sportives, centres aérés, restaurant, billetterie pour les spectacles ou places de cinéma à prix réduits: l'UPV s'occupe de tout.

    «Quand on présente une liste à la chambre de commerce, elle est élue. Personne ne se présente contre nous», lâche Gérard Cerruti. En 1993, le président de la CCI, Pierre Meiffret, l'avait appris à ses dépens, lui qui avait dû céder sa place à Jean-Jacques Bréban, plus proche de l'Union. Et, en 1995, une liste soutenue par le FN, qui avait alors le vent en poupe, n'avait obtenu aucun élu face à Dominique Poggi, candidat estampillé UPV, aujourd'hui président régional de la CCI-Provence-Alpes-Côte d'Azur et du Club des décideurs économiques varois. Outre les 38 postes de dirigeants de la chambre de commerce, l'Union détient aussi 800 mandats patronaux.

    Poids, pouvoir, influence? Gérard Cerruti ne renie aucun de ces mots, mais préfère parler de «résonance» ou de «maillage». Le fait est que l'organisation a réparti ses vice-présidents par secteur géographique et par branche professionnelle: Marcel Herrero pour le BTP, Madeleine Jauffret pour la métallurgie, René Montolivo pour les services, et Jacques Rouard, l'influent patron de la librairie Charlemagne, pour le commerce. Ces deux derniers étant, également, des «frères» influents, l'un à la GLNF et l'autre à la GLF. Quant à Gérard Cerruti, il se défend d'appartenir à la franc-maçonnerie. Et souligne que ce n'est pas un «critère d'admission» pour son organisation.

    Jeune chambre économique, Centre des jeunes dirigeants, Conseil économique et social ou Club des décideurs économiques varois et ses présidents successifs (Patrice Blin et Rémi Bour hier, comme Dominique Poggi aujourd'hui), les membres de l'UPV occupent tous les terrains. Celui du rugby aussi car, dit Patrice Blin, fondateur du Club 83, un groupe d'entrepreneurs engagé dans la sauvegarde du RCT, «le rugby donne une bonne image du département».

    Tout ce petit monde ne dédaigne pas croiser les autorités. «L'UPV entretient des relations étroites avec le préfet», assure son président. En septembre dernier, ils étaient plus de 300 réunis, sur le thème de l'intercommunalité, au palais des congrès Neptune, à l'initiative de Rémi Bour, urbaniste et conseiller municipal (divers droite) du nouveau maire. Le préfet Daniel Canepa et Hubert Falco étaient là, ainsi que tout le gratin du monde économique et politique.

  • Toulon = FN ?

    Cette note est destinée à ceux qui croient que Toulon est encore entre les mains du Front National. Elle est aussi destinée à ceux qui pensent que Toulon=FN.

    Pourquoi un politique du FN a été élu à Toulon ? Car les les Toulonnais ne voulaient plus de "magouilles". Ils ne voulaient plus entendre parler de Maurice Arreckx, ni de François Trucy, un très proche.

    Le FN a "géré la ville" tant bien que mal (plutôt mal que bien) de 1995 à 2001, et a laissé une trace indélébile.

    De nombreuses résistances se sont formées. Ci-joint un article de Var Matin (peu après sa mandature) : lechevallier.jpg

    L'ancien Maire FN dit être au Maroc depuis plusieurs mois. Un agent de la Caisse d'allocations familiales tombe sur l'article, et, après vérification, s'aperçoit que ce dernier perçoit encore des Allocations familiales, alors qu'il ne devrait plus. Sur ce, ses prestations sont donc suspendus. Il n'est jamais venu contester...

    A ceux qui pensent encore qu'à Toulon le FN est plus présent qu'ailleur, je leur réponds simplement qu'ils se trompent.

    medium_Blason_de_Toulon.png

     la devise de la ville : Concordia parva crescunt (Par la concorde les petites choses deviennent grandes)