politique - Page 12
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La CGT évolue, mais toujours pour la défense du salarié. Soyez acteurs de cette évolution
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John, ton rêve devient réalité !
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C'est avec une goutte d'eau que naît l'océan
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Et si une des solutions était une sixième République ?
Voici le début du livre de Corinne Lepage (Cap 21) :
"Certains pourraient penser qu’une VIème
République, c’est-à-dire une révision profonde de
la Constitution de 1958, n’est pas le premier souci
des français. Bien avant les préoccupations liées au
fonctionnement des Institutions, c’est plutôt la crise
économique, les difficultés de pouvoir d’achat, l’aug-
mentation du taux de chômage, les problèmes de
santé et de sécurité dans tous les sens du terme qui
occupent l’esprit de nos concitoyens.
Et pourtant Le fonctionnement, ou plutôt, les
!
dysfonctionnements de notre démocratie expliquent
au moins en partie l’importance de nos difficultés
au regard de celles de nos voisins. En effet, la cohé-
sion nationale et le sens du collectif sont mis à mal
par un système devenu oligarchique et même plou-
tocratique, en raison de la dérive d’institutions
conçues — comble du paradoxe — pour mettre
l’Etat à l’abri des partis et des lobbys.
La réforme Constitutionnelle, à laquelle Nicolas
Sarkozy a procédé aux forceps et grâce à quelques
ralliements particulièrement suspects n’a en fait
servi, mis à part deux mesures, qu’au renforcement
de son propre et unique pouvoir."...Vous pouve l'achetez pour 3,5 euros ou le télécharger gratuitement ici :
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Un tramway pour Toulon ?
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Le trou de la Sécu... encore et toujours
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Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves
Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves
LEMONDE.FR avec AFP | 29.08.11 | 16h49 • Mis à jour le 29.08.11 | 17h13
Le SNES-FSU, premier syndicat des collèges et lycées, a qualifié lundi 29 août la rentrée dans le secondaire de "sans précédent". Le syndicat déplore 4 800 suppressions de postes d'enseignant alors que dans le même temps le nombre d'élèves va augmenter, selon ses calculs, de près de 80 000.
"C'est une rentrée assez inédite au point de vue des chiffres, avec 79 536 élèves en plus pour 4 800 profs en moins. En comparaison, en 2007 il y avait 6 100 profs en moins, mais aussi 46 500 élèves en moins", a déclaré Frédérique Rolet, cosecrétaire générale du SNES, lors d'une conférence de presse.
C'est la première fois depuis au moins huit ans que le nombre d'élèves augmente en lycées généraux et technologiques, selon le SNES, qui justifie ainsi l'appel unitaire à la grève du 27 septembre.
Et compte tenu de la natalité française (de moins de 780 000 naissances avant 2000, on est passé à plus de 820 000 aujourd'hui), "l'augmentation du nombre d'élèves va être durable, donc il faut prévoir des recrutements", a ajouté Daniel Robin, autre cosecrétaire général.
Or il y a "crise" en la matière, "de 2002 à 2011, le nombre de postes aux concours externes a baissé de 50 %" et en cette rentrée "976 postes ne sont pas pourvus par les concours", a déploré Mme Rolet.
SOURCE :
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Personne n'a jamais réussi à "faire l'Europe" de force !
Il y a eu les Romains, Charlemagne, Napoléon, Hitler.
A chaque fois, il y a eu guerres, conflits, révoltes.
Ils ont échoués.
Aujourd'hui, "ils" essayent une autre méthode. Le peuple a voté, à plusieurs reprises, parfois sans trop comprendre, pour une perte de souveraineté, pour la création d'une entité supranationale.
Et quand le peuple a fermement dit non, les soit-disant représentants du peuple ont forcé un peu la main, avec des tours de passe-passe, pour la création de cette Europe, que le peuple, dans sa majorité, ne veut pas.
Mais le peuple est bête. Il ne comprend pas. Il ne sait pas ce qui est bien pour lui. Alors, "nous" ("eux", quoi), les grands de ce monde, allons continuer le chemin vers la prochaine étape (pas ultime, je dis bien prochaine) : l'Europe fédérale. Et là, vous ne serez plus Français que par le nom. La France, comme elle existe depuis sa création, avec toutes ses particularités, toutes ses richesses, son influence, ne sera plus.
Il sera alors trop tard.
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Le décret qui entube en douce les assos pour l'environnement
Les mauvais coups se font généralement le 14 juillet ou le 15 août. C'est encore plus tentant en période de crise majeure, comme actuellement. C'est sans doute pour cette raison que le Journal officiel du 13 juillet publie un nouveau décret concernant les associations.
Celui-ci fixe les modalités d'application au niveau national de la condition prévue au premier point de l'article R.141-21 du code de l'environnement, concernant les associations et fondations souhaitant participer au débat sur l'environnement dans le cadre de certaines instances.
Pour pouvoir participer, une association devra désormais compter au moins 2 000 adhérents. Quant aux associations d'utilité publique, elles devraient exercer leur action sur la moitié des régions au moins, et disposer d'un minimum de 5 000 donateurs, pour pouvoir se faire entendre.
Les seuls organismes ayant le droit de le faire entendre leur voix sur les politiques environnementales sont des organismes publics au sein desquels seules ces grandes associations ont le droit d'être représentées. De plus, l'Etat s'octroie le droit de vérifier les conditions de financement des associations pour s'assurer « de leur indépendance ».
lire la suite sur : rue89.com
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Le pacte pour l'Euro : pour une régression sociale
Sous prétexte de "stabiliser l'euro", l'Europe va institutionnaliser la régression sociale. La solution pour éviter ça ? La fin de l'Euro. C'est dur à dire ou à entendre. Mais oui, c'est bien à cause de l'Euro qu'on a vu ces dernières années la destruction pure et simple de tous les services publics.
http://www.latinreporters.com/espagnepol20062011di.html
Le Mouvement 15-M semble s'inscrire dans la duréeEspagne: plus de 200.000 "indignés" contre le Pacte pour l'euro et la criseMADRID, lundi 20 juin 2011 (LatinReporters.com) - Le rejet du Pacte pour l'euro et des reculs sociaux qu'il institutionnalise était dimanche le leitmotiv de la mobilisation la plus massive du Mouvement des "indignés", né le 15 mai dernier. Plus de 200.000 manifestants ont défilé en Espagne dans des dizaines de villes, conspuant aussi banques, partis politiques, chômage, corruption, privatisations, système électoral et autres attributs du "système" en crise.
Marée humaine "d'indignés", le 19 juin 2011 à Madrid, sur la Plaza de Neptuno, à 300 m du Congrès des députés (Photo EFE / Ballesteros)
Cinq semaines après son apparition, le mouvement des "indignés", appelé aussi Mouvement du 15 mai ou Mouvement 15-M, conserve sur Internet sa force de convocation et conforte son ambition de s'inscrire dans la durée. Des médias le soupçonnaient d'essoufflement après la levée, le 12 juin, de son campement sur l'emblématique Puerta del Sol, au centre de Madrid. Les "indignés" avaient pourtant alors écrit sur un calicot "Nous ne partons pas, [car] nous nous installons dans ta conscience".