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politique - Page 12

  • La CGT évolue, mais toujours pour la défense du salarié. Soyez acteurs de cette évolution


    VotezCGT par cgteduc69

  • John, ton rêve devient réalité !

  • Et si une des solutions était une sixième République ?

    Voici le début du livre de Corinne Lepage (Cap 21) :

    "Certains pourraient penser qu’une VIème
    République, c’est-à-dire une révision profonde de
    la Constitution de 1958, n’est pas le premier souci
    des français. Bien avant les préoccupations liées au
    fonctionnement des Institutions, c’est plutôt la crise
    économique, les difficultés de pouvoir d’achat, l’aug-
    mentation du taux de chômage, les problèmes de
    santé et de sécurité dans tous les sens du terme qui
    occupent l’esprit de nos concitoyens.
    Et pourtant  Le fonctionnement, ou plutôt, les
    !
    dysfonctionnements de notre démocratie expliquent
    au moins en partie l’importance de nos difficultés
    au regard de celles de nos voisins. En effet, la cohé-
    sion nationale et le sens du collectif sont mis à mal
    par un système devenu oligarchique et même plou-
    tocratique, en raison de la dérive d’institutions
    conçues  —  comble du paradoxe  —  pour mettre
    l’Etat à l’abri des partis et des lobbys.
    La réforme Constitutionnelle, à laquelle Nicolas
    Sarkozy a procédé aux forceps et grâce à quelques
    ralliements particulièrement suspects n’a en fait
    servi, mis à part deux mesures, qu’au renforcement
    de son propre et unique pouvoir."...

    Vous pouve l'achetez pour 3,5 euros ou le télécharger gratuitement ici :

    http://www.avosdroitscitoyens.fr/

  • Le trou de la Sécu... encore et toujours

    Ce qui me désole, ce sont les pseudo journalistes qui ne font que répéter les propos du gouvernement au lieu de faire un vrai travail de journaliste. Oui, le trou de la Sécu est dû à toutes ces exonérations de charges aux grandes entreprises (pas au PME), et l'Etat ne rembourse pas la Sécu (d'où le trou), car, à cause du traité européen (et maintenant la règle d'or...), l'Etat doit avoir un budget équilibré ! (et pourtant, il n'y jamais eu autant d'argent qui circule : voir les chiffres officiels ou les journaux spécialisés, c'est ça, le vrai travail d'un journaliste : faire des recherches ! Pas être le péroquet d'un ministre ou des telex de l'AFP !). Voilà, bien résumé en quelques mots. En bref, on nous prend toujours et encore pour des cons. Mais le pire, c'est que les Français croient les journalistes, et donc acceptent, entre autre, le déremboursement des médicament, etc. D'où l'information à passer, d'où la résistance à mettre en place, etc.

  • Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves

    Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves

    LEMONDE.FR avec AFP | 29.08.11 | 16h49   •  Mis à jour le 29.08.11 | 17h13

     

    Des écoliers rentrent en classe, le 2 septembre 2010 à Strasbourg, le jour de la rentrée scolaire.

    Des écoliers rentrent en classe, le 2 septembre 2010 à Strasbourg, le jour de la rentrée scolaire.AFP/FREDERICK FLORIN

    Le SNES-FSU, premier syndicat des collèges et lycées, a qualifié lundi 29 août la rentrée dans le secondaire de "sans précédent". Le syndicat déplore 4 800 suppressions de postes d'enseignant alors que dans le même temps le nombre d'élèves va augmenter, selon ses calculs, de près de 80 000.

    "C'est une rentrée assez inédite au point de vue des chiffres, avec 79 536 élèves en plus pour 4 800 profs en moins. En comparaison, en 2007 il y avait 6 100 profs en moins, mais aussi 46 500 élèves en moins", a déclaré Frédérique Rolet, cosecrétaire générale du SNES, lors d'une conférence de presse.

    C'est la première fois depuis au moins huit ans que le nombre d'élèves augmente en lycées généraux et technologiques, selon le SNES, qui justifie ainsi l'appel unitaire à la grève du 27 septembre.

    Et compte tenu de la natalité française (de moins de 780 000 naissances avant 2000, on est passé à plus de 820 000 aujourd'hui), "l'augmentation du nombre d'élèves va être durable, donc il faut prévoir des recrutements", a ajouté Daniel Robin, autre cosecrétaire général.

    Or il y a "crise" en la matière, "de 2002 à 2011, le nombre de postes aux concours externes a baissé de 50 %" et en cette rentrée "976 postes ne sont pas pourvus par les concours", a déploré Mme Rolet.

    SOURCE :

    http://www.lemonde.fr/education/article/2011/08/29/une-rentree-scolaire-avec-moins-d-enseignants-et-plus-d-eleves_1565049_1473685.html

    Merci qui ? Merci Sarkozy. Merci l'Europe. Merci le FMI, qui n'ont qu'un objectif commun à terme : la suppression massive des fonctionnaires, la suppression des Etats, la totale privatisation de l'Education de la Santé, de tous les services public (transport, police...).
    A lire : "Qui veut la peau des services public", de Jacques COTTA.
  • Personne n'a jamais réussi à "faire l'Europe" de force !

    Il y a eu les Romains, Charlemagne, Napoléon, Hitler.

    A chaque fois, il y a eu guerres, conflits, révoltes.

    Ils ont échoués.

    Aujourd'hui, "ils" essayent une autre méthode. Le peuple a voté, à plusieurs reprises, parfois sans trop comprendre, pour une perte de souveraineté, pour la création d'une entité supranationale.

    Et quand le peuple a fermement dit non, les soit-disant représentants du peuple ont forcé un peu la main, avec des tours de passe-passe, pour la création de cette Europe, que le peuple, dans sa majorité, ne veut pas.

    Mais le peuple est bête. Il ne comprend pas. Il ne sait pas ce qui est bien pour lui. Alors, "nous" ("eux", quoi), les grands de ce monde, allons continuer le chemin vers la prochaine étape (pas ultime, je dis bien prochaine) : l'Europe fédérale. Et là, vous ne serez plus Français que par le nom. La France, comme elle existe depuis sa création, avec toutes ses particularités, toutes ses richesses, son influence, ne sera plus.

    Il sera alors trop tard.

  • Le décret qui entube en douce les assos pour l'environnement

    Les mauvais coups se font généralement le 14 juillet ou le 15 août. C'est encore plus tentant en période de crise majeure, comme actuellement. C'est sans doute pour cette raison que le Journal officiel du 13 juillet publie un nouveau décret concernant les associations.

    Celui-ci fixe les modalités d'application au niveau national de la condition prévue au premier point de l'article R.141-21 du code de l'environnement, concernant les associations et fondations souhaitant participer au débat sur l'environnement dans le cadre de certaines instances.

    Pour pouvoir participer, une association devra désormais compter au moins 2 000 adhérents. Quant aux associations d'utilité publique, elles devraient exercer leur action sur la moitié des régions au moins, et disposer d'un minimum de 5 000 donateurs, pour pouvoir se faire entendre.

    Les seuls organismes ayant le droit de le faire entendre leur voix sur les politiques environnementales sont des organismes publics au sein desquels seules ces grandes associations ont le droit d'être représentées. De plus, l'Etat s'octroie le droit de vérifier les conditions de financement des associations pour s'assurer « de leur indépendance ».

    lire la suite sur : rue89.com

  • Le pacte pour l'Euro : pour une régression sociale

    Sous prétexte de "stabiliser l'euro", l'Europe va institutionnaliser la régression sociale. La solution pour éviter ça ? La fin de l'Euro. C'est dur à dire ou à entendre. Mais oui, c'est bien à cause de l'Euro qu'on a vu ces dernières années la destruction pure et simple de tous les services publics.

    http://www.latinreporters.com/espagnepol20062011di.html

    Le Mouvement 15-M semble s'inscrire dans la durée
    Espagne: plus de 200.000 "indignés" contre le Pacte pour l'euro et la crise
     


    MADRID, lundi 20 juin 2011 (LatinReporters.com) - Le rejet du Pacte pour l'euro et des reculs sociaux qu'il institutionnalise était dimanche le leitmotiv de la mobilisation la plus massive du Mouvement des "indignés", né le 15 mai dernier. Plus de 200.000 manifestants ont défilé en Espagne dans des dizaines de villes, conspuant aussi banques, partis politiques, chômage, corruption, privatisations, système électoral et autres attributs du "système" en crise.

    Marée humaine "d'indignés", le 19 juin 2011 à Madrid, sur la Plaza de Neptuno, à 300 m du Congrès des députés (Photo EFE / Ballesteros)

    Cinq semaines après son apparition, le mouvement des "indignés", appelé aussi Mouvement du 15 mai ou Mouvement 15-M, conserve sur Internet sa force de convocation et conforte son ambition de s'inscrire dans la durée. Des médias le soupçonnaient d'essoufflement après la levée, le 12 juin, de son campement sur l'emblématique Puerta del Sol, au centre de Madrid. Les "indignés" avaient pourtant alors écrit sur un calicot "Nous ne partons pas, [car] nous nous installons dans ta conscience".