Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

loi

  • Article 521 -1 du code pénal

    l'Article 521 -1 du code pénal. "Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.

  • TILT !

    Je vous ai déjà parlé des recommandations des pierres de Géorgie :

    1. Maintenez l'humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
    2. Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
    3. Unissez l'humanité avec une nouvelle langue mondiale.
    4. Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération.
    5. Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
    6. Laissez toutes les nations gérer leurs problèmes internes, et réglez les problèmes extra-nationaux devant un tribunal mondial.
    7. Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles.
    8. Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux.
    9. Faites primer la vérité, la beauté, l'amour en recherchant l'harmonie avec l'infini.
    10. Ne soyez pas un cancer sur la terre. Laissez de la place à la nature. Laissez de la place à la nature. »
    _____________________________

    Maintenant, une analyse personnelle, qui n'engage que moi :

    1. Maintenez l'humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.

    Avant tout, ce nombre semble terrible quand on sait qu'il y a 7 milliards d'humains.
    Epandages, grippe aviaire, vaccinations de masse, stérilisations, nourriture (pesticides, ogm, etc.), la pornographie de masse. Les idées ne manquent pas pour réduire le nombre de naissance.
    De plus, les aides pour les familles diminuent. Est-ce pour inciter à avoir moins d'enfant ?
    Mais là nos gouvernants se trompent. Car c'est dans les périodes de crises que les humains font le plus d'enfants. C'est donc contre-productif.


    2. Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.

    Des campagnes publicitaires, ou en ajouts sur les publicités (exemple : « pour votre santé, ne mangez pas trop gras, trop sucré, trop salé ») sont déjà en cours dans certains pays ;
    les moyens de contraception.


    3. Unissez l'humanité avec une nouvelle langue mondiale.

    Tâche en cours de finalisation. L'expérience d'union de l'Europe semble bien se concrétiser, malgré des dysfonctionnements. La langue mondiale existe : l'espéranto. L'anglais comme langue mondiale n'est pas exclue. Ça serait même plus logique, et surtout plus rapide.


    4. Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération.

    Là, c'est pas gagné ! Une fois encore, c'est en période de crise que les religions "recrutent". Deuxième élément contre-productif de nos dirigeants.


    5. Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.

    Le tribunal international de la Haye existe. Prendra-t-il plus de poids dans l'avenir ?


    6. Laissez toutes les nations gérer leurs problèmes internes, et réglez les problèmes extra-nationaux devant un tribunal mondial.

    En lien avec la recommandation précédente. L'ONU, le FMI, l'OTAN, et toutes les autres organisations supra nationales vont-elles prendre encore plus de poids ?


    7. Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles.

    En cours ! Projet déjà bien avancé. Mais le rythme s'accélère. Ça craint...


    8. Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux.

    Droits et devoirs.... avez-vous lu une demande de RSA, ou d'une autre administration. Les droits et devoirs, c'est à la mode.
    En cours. Idem recommandation précédente.


    9. Faites primer la vérité, la beauté, l'amour en recherchant l'harmonie avec l'infini.

    Recommandation plus abstraite. Là, je ne sais pas quoi dire. Je reste muet. Il faut savoir dire "j'sais pô !"


    10. Ne soyez pas un cancer sur la terre. Laissez de la place à la nature. Laissez de la place à la nature. (C'est bien écrit deux fois).

    Pour ce dernier point, il n'y a qu'à regarder les media.

  • La crise de la dette : l'origine

    En janvier 1973 a été votée une loi (n°73-7) interdisant à la Banque de France de faire crédit à l'État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts. C'est à partir de cette année qu'à augmenté la dette publique. En gros cette dette publique avec laquelle on nous rabat les oreilles a été voulue par le gouvernement de l'époque, et approuvé par les suivant puisque rien n'a été fait pour changer ce système.

  • Le décret qui entube en douce les assos pour l'environnement

    Les mauvais coups se font généralement le 14 juillet ou le 15 août. C'est encore plus tentant en période de crise majeure, comme actuellement. C'est sans doute pour cette raison que le Journal officiel du 13 juillet publie un nouveau décret concernant les associations.

    Celui-ci fixe les modalités d'application au niveau national de la condition prévue au premier point de l'article R.141-21 du code de l'environnement, concernant les associations et fondations souhaitant participer au débat sur l'environnement dans le cadre de certaines instances.

    Pour pouvoir participer, une association devra désormais compter au moins 2 000 adhérents. Quant aux associations d'utilité publique, elles devraient exercer leur action sur la moitié des régions au moins, et disposer d'un minimum de 5 000 donateurs, pour pouvoir se faire entendre.

    Les seuls organismes ayant le droit de le faire entendre leur voix sur les politiques environnementales sont des organismes publics au sein desquels seules ces grandes associations ont le droit d'être représentées. De plus, l'Etat s'octroie le droit de vérifier les conditions de financement des associations pour s'assurer « de leur indépendance ».

    lire la suite sur : rue89.com

  • La privatisaton annoncée de la Sécurité sociale

  • Que risque un Etat qui viole des articles de la déclaration des droits de l'Homme de l'ONU ?

    Apparemment rien, puisque la France, non seulement signataire de cette charte, mais en plus, l'ayant en préambule dans sa propre constitution, viole plusieurs de ces articles. Lisez-les, tout simplement, et forgez-vous votre opinion.

    source du texte : http://www.un.org/fr/documents/udhr/

    Article premier

    Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

    Article 2

    1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
    2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

    Article 3

    Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

     

    Article 4

    Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

    Article 5

    Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

    Article 6

    Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

    Article 7

    Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

    Article 8

    Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

    Article 9

    Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

    Article 10

    Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

    Article 11

    1. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.
    2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis.

    Article 12

    Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

    Article 13

    1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat.
    2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

    Article 14

    1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.
    2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.

    Article 15

    1. Tout individu a droit à une nationalité.
    2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

    Article 16

    1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.
    2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux.
    3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

    Article 17

    1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.
    2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

    Article 18

    Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

    Article 19

    Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

    Article 20

    1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques.
    2. Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.

    Article 21

    1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.
    2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.
    3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.

    Article 22

    Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

    Article 23

    1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
    2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
    3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
    4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

    Article 24

    Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

    Article 25

    1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.
    2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

    Article 26

    1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.
    2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
    3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.

    Article 27

    1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.
    2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

    Article 28

    Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

    Article 29

    1. L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible.
    2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.
    3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

    Article 30

    Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

    source du texte : http://www.un.org/fr/documents/udhr/

     

  • Les lois qui dérangent : votons-les vite pendant les vacances !

    Puisqu'on y est, pourquoi ne pas voter une loi permettant d'ouvrir les magasins 24h/24 ?

    open24hoursneon.jpg

    Et pourquoi voter une loi pour rétablir l'esclavage ? Mais que fait le MEDEF ? Il est où ?