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Science - Page 13

  • Lettre à WIDGECOLO

    Des petits messages pratiques, sur la colonne de droite. Tous les jours un conseil. Aujourd'hui (mardi), voici le message :



    Salle de bains
    Médicaments

    Des médicaments vous ont guéris. Très bien.
    Mais la poubelle n'a pas contracté la même maladie et lui donner les médicaments non utilisés ne lui convient pas.
    Rapportez-les à votre pharmacien.

    Oui, c'est bien de rapporter les boites, et les médicaments non utilisés. Mais savez-vous qu'en France, une grande partie du trou de la Sécu est dû à l'industrie pharmaceutique ? A cause, justement, des boites de médicaments ?

    Explication :

    Exemple 1 : Une prescription de 5 jours : 1 médicament le matin, 1 le soir : total : besoin de 10 comprimés. Pourquoi la boite contient 12 comprimés ? Pourquoi ?

    Exemple 2 : Un traitement de 30 jours. 1 comprimé par jour. La boite contient 28 comprimés : résultats : il faut acheter une autre boite de 28 médicaments : résultats : les fabricants de médicaments se frottent les mains. Les politiques sont complices. Les journalistes aussi, car ils sont bien contents d'annoncer, régulièrement, "le déficit de la sécurité socilale se monte à...", mais au lieu de faire des recherches (travail d'un bon journaliste incorruptible), ils répètent ce que les hommes politiques leur disent de dire : c'est la faute aux fraudeurs. Et ça passe comme une lettre à la poste. Y a-t-il un journaliste qui aura le courage de s'attaquer à l'industrie pharmaceutique ?

    La France est un des seuls pays au monde à vendre ses médicaments de la sorte. En Italie, en Hollande, et ailleurs, les médicaments sont vendus à la dose juste, ce qui a pour concéquence :

    1. d'éviter les déchets inutiles

    2. d'éviter un gaspillage d'argent public

    Alors moi, je ne rapporte pas les médicaments à la pharmacie : je n'achète pas de médicaments !

     

     

  • Cette pollution qu'on ne voit pas

    J'ai ajouté un livre, sur la colonne de gauche.

    Guide de l'électricité biocompatible : Pollutions électromagnétiques

    Guide de l'électricité biocompatible : Pollutions électromagnétiques

    Auteur : Claude Bossard

    Editeur : Des Dessins et des Mots

    Année : 2006

     

     

     

     

    Lignes à haute tension, transformateurs, fours à micro-ondes, écrans d'ordinateur, WI-FI, téléphones portables, installations électriques domestiques... les sources d'émission de pollutions électromagnétiques se multiplient. Si nous ne prenons pas de précautions, nous pouvons être très exposés à des rayonnements électromagnétiques. Des études scientifiques mettent en évidence la nocivité de ces champs électromagnétiques auxquels est soumise une part croissante de la population.

    Ce livre, simple et facile d'accés, a pour but de donner les éléments permettant d'apprivoiser les champs électriques et magnétiques de notre cadre de vie et de répondre aux questions :
    - Que sont ces rayonnements électromagnétiques ?
    - Quels sont les risques pour notre santé ?
    - Comment les détecter ou les mesurer ?
    - Comment se préserver ?...

    A lire rapidement.

  • USA : Les groupes agroalimentaires entravent et interdisent la recherche indépendante

    26 chercheurs de renom étudiant l’interaction insectes/plantes se sont plaints auprès de l’EPA (Environmental Protection Agency): Il est banane-ogm.jpegdésormais impossible de mener une recherche véritablement indépendante sur de nombreuses questions en matière de risques induits par les plantes transgéniques. Etant donné que les plantes GM sont brevetées, les entreprises agroalimentaires posent leurs conditions: soit ils refusent de fournir aux scientifiques les semences nécessaires à leurs recherches, soit ils essaient d’influencer les résultats de la recherche, soit ils interdisent certains projets de recherche. Ainsi, se référant à la convention sur le brevet du maïs GM, Syngenta complique, voire interdit non seulement la recherche en général, mais spécifie qu’un acheteur de semence n’est pas autorisé à comparer le produit Syngenta avec d’autres plantes.

    Source: The New York Times, USA, Andrew Pollack, 19..02.2009 (zitiert von GENET-news, archive: http://www.genet-info.org/)

    Gentech-news 193 http://www.blauen-institut.ch.

  • Le coton Bt de Monsanto détruit la terre et les agriculteurs

    Le 24 fevrier 2009

    Institute of Science in Society

    L'Inde est le 3ème producteur mondial de coton après la Chine et les USA. L'état du Gujarat est tourné vers l'agriculture et en particulier vers la production de coton

    La biosécurité vise à faire en sorte que les OGM ne nuisent ni à l'environnement ni à la santé.

    La terre, sa fertilité et les organismes qui entretiennent sa fertilité, sont un élément vital de l'environnement, en particulier dans le contexte de la production alimentaire et agricole.

    coton.jpgUne récente étude scientifique réalisée par Navdanya, a comparé la terre des champs où du coton Bt a été planté pendant 3 ans avec celle des champs adjacents, plantés de coton naturel ou d'autres cultures. La région couverte incluait le Nagpur, l’Amravati et le Wardha de Vidarbha, ce qui représente les plus grandes plantations de coton OGM en Inde, et le taux le plus haut de suicides de fermiers (4000 par an).

    En 3 ans, le coton Bt a réduit la population d’actinomycètes de 17%. Les actinomycètes sont indispensables pour dissocier la cellulose et créer l'humus.

    La population bactérienne a été réduite de 14%. La biomasse microbienne totale a été réduite de 8,9%.

    Les enzymes bénéfiques, vitales pour la terre, qui rendent les nutriments disponibles pour les plantes, ont aussi été considérablement réduites. Le phosphatase acide, qui contribue à l'assimilation des phosphates, a été réduit de 26,6%. Le nitrogénase, les enzymes qui catalysent la fixation de l'azote moléculaire, a été réduit de 22,6%.

    À ce rythme, une dizaine d'années de culture de coton OGM, ou de tout type de culture génétiquement modifiée dotée de gènes Bt, pourrait entraîner la destruction totale des organismes du sol, laissant la terre morte, incapables de produire la nourriture.

    Dans son dernier communiqué, l’International Service for the Acquisition of Agri-Biotech Applications a déclaré qu’il y a 7,6 millions d’hectares de coton Bt en Inde. Cela veut dire que 7,6 millions d’hectares de terre sont en train de mourir.

    Habituellement, l'impact des OGM sur les organismes du sol n’est pas étudié. C'est une lacune redoutable, car la toxine Bt des cultures comme le maïs MON 810, le coton Bt ou l’aubergine Bt, a un grave impact sur les organismes bénéfiques du sol.

    Le gouvernement de l'Inde cherche à ratifier l’homologation de l’aubergine Bt sans faire l’étude de biosécurité concernant les conséquences sur les organismes du sol. La Commission européenne tente de faire pression sur les pays exempts d'OGM pour introduire le maïs MON 810.

    L’étude de Navdanya, la première à avoir examiné l'impact à long terme du coton Bt sur les organismes du sol, est un appel au réveil pour les organismes de réglementation du monde entier. Elle montre aussi que les affirmations de l'industrie biotechnologique sur l’innocuité des cultures génétiquement modifiées sont mensongères.

    Pour obtenir une copie du rapport de l’étude et pour de plus amples renseignements, veuillez contacter :

    Navdanya
    A-60, Hauz Khas

    New Delhi – 110 016

    Téléphone : 91-11-26535422 / 26532124

    Courriel : vandana@vandanashiva.com

    Site Internet : www.navdanya.org

     

    Source : http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=12437

  • OGM = Nouveau "Tchernobyl" ?

    Vu sur : http://www.lablondeecolo.com/archive/2009/02/12/rapports-afssa-efsa-mais-810.html

    Lepageok.jpgLes soi-disants rapports de l'AFSSA et de l'EFSA pour valider le maïs MON 810 apparaîtront dans l'histoire comme les rapports des années Tchernobyl niant une contamination de la France: des autojustifications destinées à réitérer des avis précédents pour éviter toute mise en cause ultérieure de la responsabilité de ceux qui les ont donnés.

    Quand on sait qu'aucune étude publique n'a été menée directement pour étudier le comportement de rats ayant consommé des OGM et que les seules études disponibles sont celles des producteurs de maïs, quand on sait que ces études sont secrètes et que Michel Barnier, malgré la prétendue loi sur la transparence votée par le Parlement sur les OGM, refuse de communiquer les études précisément sur le MON 810, quand on sait que la composition de l'EFSA et son mode de fonctionnement sont si critiquables que l'Union a enfin décidé de les changer (cf rapport sur la gouvernance écologique remis à Jean-Louis Borloo), quand on sait comment le sénateur Legrand a été conspué et sali par les parlementaires amis des OGM  pour avoir simplement émis des doutes, quand on sait que ces mêmes parlementaires ont rejeté la candidature d'un Président du haut Comité des biotechnologies parce qu'il souhaitait prendre en considération l'avis du collège de la société civile et ne pas se  limiter à celui des experts noyautés par les défenseurs de Monsanto, on comprend l'opération de manipulation en cours.

    Il faut rappeler que les assurances refusent de couvrir les risques liés à la dissémination d'OGM et à leur impact potentiel sur la santé, que les producteurs d'OGM et leurs amis qui cherchent aujourd'hui à couvrir leur responsabilité future se cachent derrière le risque inhérent au développement des nouvelles technologies  qui exclut toute responsabilité lorsque l'état des connaissances ne permet pas de connaître précisément les risques. Niant les risques qui pourtant sont fondés sur des éléments d’étude disponibles sur des rats (exemple du MON 863),  les "experts" cherchent à établir que les connaissances d'aujourd'hui ne permettent pas des connaître ces risques et qu'ainsi ni eux ni Monsanto ne seront dans l'avenir responsables de rien.

    Il est impératif que des études indépendantes financées par l’Etat soient réalisées et portées à la connaissance du public avant que ne soit affirmé que le maïs MON 810 est sans danger pour la santé.

    Corinne Lepage
    Présidente du CRII-GEN
    Ancien Ministre de l’Environnement (1995-1997)

  • AREVA A PERDU !

    AREVA ne voulait pas la diffusion qui va passer ce soir sur France 3 à 20h35.

    PERDU !

    Pièces à conviction - Uranium : le scandale de la France Depleted-Uranium-Ethics9may05p05.jpgcontaminée

    Depuis plusieurs décennies, des déchets radioactifs extrêmement dangereux ont été disséminés en toute discrétion dans les campagnes, à proximité de zones habitées. Entre 1945 et 2001, la France a exploité 210 mines d'uranium, produisant 300 millions de tonnes de déchets radioactifs, abandonnés sans mesure de protection particulière. Qui sont les responsables ? Pourquoi l'Etat n'a-t-il pas alerté les riverains ? Et enfin, les populations concernées sont-elles en danger ?

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  • Il était (beau) temps !

    Le Var se met enfin au solaire. Il était temps !

    VAR MATIN :

    Ampus

    Signature du projet de parc photovoltaïque le 10 février

    Le conseil municipal a donné un avis favorable au projet de parc photo voltaïque qui doit être réalisé sur 30 ha dans le bois de Prannes.

    Vinon-sur-Verdon

    La communauté sous le charme du photovoltaïque

    Sous la conduite de Claude Cheila, les élus de Lubéron-Durance en Verdon sont tombés dans le panneau et sous le charme de la future centrale.

    Au-delà des chiffres pharaoniques (lire par ailleurs), figure l'évidence. Avant même sa mise en service en mars prochain, la centrale photovoltaïque est devenue un modèle du genre.

    nm-photo-231463.jpg
  • 21 décembre 2012 : la fin du monde ?

    On nous avait prédit la fin du monde pour 1980, pour l'an 2000... Là, on le prédit pour le 21 décembre 2012 !

    Comme on dit, qui vivra verra !

     

  • AREVA refuse la diffusion d'une émission sur les déchets des mines d'uranium

    Déchets radioactifs: France 3 et Areva se fritent

    Sur Le Post, Areva reproche à France 3 d'avoir présenté son reportage sur les déchets des mines d'uranium, avant d'avoir recueilli sa position. La chaîne riposte.

    Centrale nucléaire - Image d'illustration

    Centrale nucléaire - Image d'illustration
    © Norbert Schaefer/CORBIS/Norbert Schaefer

     

    En pleine polémique sur le second réacteur EPR, c'est à un sujet très sensible que s'attaque le prochain numéro de "Pièces à Convictions": les déchets issus des mines d'uranium. Comme à son habitude, le magazine comportera des enquêtes avec des plateaux animés par Elise Lucet. L'un des faits exposés par le reportage est le fait que des mines françaises n'étant plus en activité depuis longtemps pourraient encore être dangereuses.

     

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