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Science - Page 12

  • Dans le secret du nucléaire

    Vers 2h00, cette nuit, j'ai été réveillé par un bruit de verre cassé. Je regarde par la fenêtre : rien.  Je me recouche. Quelques minutes plus tard, j'entends un autre bruit de verre cassé. Comme un verre ou une bouteille jetée par une fenêtre. Toujours rien.

    Donc, j'étais bien réveillé. Dans ces cas-là, j'allume la télé, par curiosité, car il y a toujours une émission intéressante pendant que tout le monde est dans les bras de Morphée.

    Ca n'a pas raté ! Je tombe sur une émission qui s'appelle "Dans le secret du nucléaire". Je ne vais pas résumer l'émission. Pour cela, il suffit de cliquer sur le lien.

    J'en ressors avec 2 sentiments :

    1. De colère : que ce type d'émission soit diffusé à 2h00 et non à 20h35.

    2. D'incompréhension : certains disent que les secrets d'incidents nucléaires doivent être gardés, entre autre, pour éviter la panique.

    A la fin de l'émission, je change de chaine, et qu'est-ce que je vois ? Le ministre Brice Hortefeux qui rend visite dans un centre de stockage de masques, en prévision d'une pandémie de grippe porcine (oui, on dit A, et non porcine, pour éviter l'effondrement des ventes de porcs, jambon, etc.)

    D'un côté, pour éviter la panique, on cache. De l'autre, on "informe"......un peu trop à mon goût.... A vous de juger.

  • Coccinelle solaire

    Bon, j'avoue.... j'adore le bruit du moteur "traditionnel" de la "beetle" :

  • Paradoxe ?

    Peut-on à la fois avoir peur des araignées, et les admirer ?

    C'était ce matin, sur la route du sel, à Hyères :

     

    Araignée

  • Enercoop - le Parisien

    MES DÉPENSES ÉNERGÉTIQUES

    «J’ai choisi un fournisseur d’électricité 100 % vert»

    ALEXIS MICHAUD, 33 ans, chercheur au CNRS

    15.06.2009, 07h00

    Alexis Michaud, 33 ans, chercheur au CNRS, est ce que l’on appelle un « consom’acteur » et s’efforce de mettre ses actes en conformité avec ses convictions environnementales.
    En 2007, l’ouverture à la concurrence du marché de l’électricité lui en fournit l’occasion.
    Il découvre alors une campagne de publicité intitulée : « EDF, demain j’arrête ».

    Le slogan le séduit. « Je me suis dit que j’étais peut-être un pollueur sans le savoir. » Le locataire se met donc en quête d’un « fournisseur d’électricité 100 % vert ».
    « Je suis tombé dans la presse sur un comparatif », se souvient-il. Les opérateurs étaient notés sur 20, Enercoop avait obtenu 17/20, la société Gaz et Electricité de Grenoble avait la moyenne et « toutes les autres offres soit-disant vertes étaient des attrape-nigauds ». Il opte pour Enercoop, une coopérative issue de la galaxie de l’économie sociale et solidaire. Habitant avec sa compagne un petit logement social à Châtillon (Hauts-de-Seine), il signe son contrat dès octobre 2007. « Je continue à recevoir de l’électricité qui peut provenir de centrales nucléaires, explique-t-il. Mais avec Enercoop, je suis sûr que de l’argent sera reversé à des petits producteurs locaux d’énergie éolienne ou solaire. »
    Certes, « notre facture a augmenté d’environ 10 € par mois, à peine plus que le prix d’une pizza », calcule Alexis qui a le sentiment de contribuer à un « vrai projet de société ». Client mais aussi adhérent d’Enercoop, il participe aussi aux réunions de la coopérative pour « rencontrer des gens qui ont les mêmes convictions ». Pour l’heure, Enercoop ne compte encore que 3 500 clients. « Pour qu’un vrai mouvement s’enclenche, admet Alexis, il faudrait qu’on soit au moins 10 000. »

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    En ce qui me concerne, ma facture n'a pas augmenté. A l'inverse, elle a baissé ! J'espère qu'il n'y a pas d'erreur !!!!!
    Comme je vous le disais le 31 janvier 2009, je ferai le point dans 1 an, soit début 2010. En espérant faire des émules.

  • HOME - Ce soir sur France 2

    HOME - 20h40

    En quelques décennies, l'homme a rompu un équilibre fait de près de quatre milliards d'années d'évolution de la Terre. Il met désormais son avenir et celui de la planète en péril. Le prix à payer est lourd mais il est trop tard pour être pessimiste : il reste à peine dix ans à l'humanité pour prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre et changer son mode de consommation et de production. En offrant les images inédites de plus de cinquante pays vus du ciel, en faisant partager son émerveillement autant que son inquiétude, Yann Arthus-Bertrand pose avec ce film une pierre à un édifice qu'il s'agit désormais de préserver ensemble.

    COMMENT SAUVER LA PLANETE ? - 22h20

    Suite à la diffusion du documentaire «Home», de Yann Arthus-Bertrand, Yves Calvi, entouré de spécialistes, s'interroge sur les solutions existantes pour sauver la planète. En quelques décennies à peine, la surconsommation a mis la Terre sur les genoux. Pollution de l'air, des sols et des mers, épuisement des ressources énergétiques, bouleversement des écosystèmes et changements climatiques sont les résultats d'une politique économique axée sur le profit immédiat au détriment de la gestion à long terme de la planète. Les plus pessimistes estiment qu'il est déjà trop tard. Qu'en est-il réellement ? Comment inverser le cours de l'Histoire ?

     

  • Retour de manivelle "naturel" pour Monsanto !

    Effet boomerang chez Monsanto

    MONSANTO : Une super nouvelle pour la terre et pour la liberté de culture : Monsanto n'est pas le plus fort... la nature lui fait un pied de nez !

    Aux États-Unis, cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont du être abandonnés par les agriculteurs et cinquante mille autres sont gravement menacés. Cette panique est due à une « mauvaise » herbe qui a décidé de s’opposer au géant Monsanto, connu pour être le plus grand prédateur de la Terre. Insolente, cette plante mutante prolifère et défie le Roundup, l’herbicide total à base de glyphosphate, auquel nulle « mauvaise herbe ne résiste ».

    Quand la nature reprend le dessus.

    C’est en 2004, qu’un agriculteur de Macon, en Géorgie, ville située à environ 130 kilomètres d’Atlanta, remarqua que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait ses cultures de soja.

    Les champs victimes de cette envahissante mauvaise herbe ont été ensemencés avec des graines Roundup Ready, qui comportent une semence ayant reçu un gène de résistance au Roundup auquel nulle « mauvaise herbe ne résiste ».

    Depuis cette époque, la situation s’est aggravée et le phénomène s'est étendu à d'autres états, Caroline du Sud, et du Nord, Arkansas, Tennessee et Missouri. Selon un groupe de scientifiques du Centre for Ecology and Hydrology, organisation britannique située à Winfrith, dans le Dorset, il y aurait eu un transfert de gènes entre la plante OGM et certaines herbes indésirables, comme l’amarante. Ce constat contredit les affirmations péremptoires et optimistes des défenseurs des OGM qui prétendaient et persistent à affirmer qu'une hybridation entre une plante génétiquement modifiée et une plante non-modifiée est tout simplement « impossible ».

    Pour le généticien britannique Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « Il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme, et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium, a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation. » Ainsi, un gène de résistance aux herbicides a, semble-t-il, donné naissance à une plante hybride issue d’un saut entre la graine qu’il est censé protéger et l’amarante, devenue impossible à éliminer.

    La seule solution est d’arracher les mauvaises herbes à la main, comme on le faisait autrefois, mais ce n’est pas toujours possible étant donné l’étendue des cultures. En outre, ces herbes, profondément enracinées sont très difficiles à arracher et 5 000 hectares ont été tout simplement abandonnés.

    Nombre de cultivateurs envisagent de renoncer aux OGM et de revenir à une agriculture traditionnelle, d’autant que les plants OGM coûtent de plus en plus cher et la rentabilité est primordiale pour ce genre d’agriculture. Ainsi Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja à Dudley, dans le Missouri, affirme que plus personne ne lui demande de graines Monsanto de type Roundup Ready alors que ces derniers temps, ce secteur représentait 80 % de son commerce. Aujourd’hui, les graines OGM ont disparu de son catalogue et la demande de graines traditionnelles augmente sans cesse.

    Déjà, le 25 juillet 2005, The Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés de céréales avaient transité vers des plantes sauvages, créant ainsi une « supergraine » résistante aux herbicides, croisement « inconcevable » par les scientifiques du ministère de l’environnement . Depuis 2008, les media agricoles américains rapportent de plus en plus de cas de résistance et le gouvernement des États-Unis a pratiqué d’importantes coupes budgétaires qui ont contraint le Ministère de l’Agriculture à réduire, puis arrêter certaines de ses activités.

    Plante diabolique ou plante sacrée

    Il est amusant de constater que cette plante, « diabolique » aux yeux de l’agriculture génétique, est une plante sacrée pour les Incas. Elle fait partie des aliments les plus anciens du monde. Chaque plante produit en moyenne 12 000 graines par an, et les feuilles, plus riches en protéines que le soja, contiennent des vitamines A et C et des sels minéraux.

    Ainsi ce boomerang, renvoyé par la nature sur Monsanto, non seulement neutralise ce prédateur, mais installe dans des lieux une plante qui pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson et les hautes terres tropicales et n’a de problèmes ni avec les insectes ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimiques.

    Ainsi, « la marante » affronte le très puissant Monsanto, comme David s’opposa à Goliath. Et tout le monde sait comment se termina le combat, pourtant bien inégal ! Si ces phénomènes se reproduisent en quantité suffisante, ce qui semble programmé, Monsanto n’aura bientôt plus qu’à mettre la clé sous la porte. À part ses salariés, qui plaindra vraiment cette entreprise funèbre ?

    Sylvie SIMON
    (on trouve cet article entre autres là http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article10632)

  • Le vente pyramidale existe toujours. Soyez vigilents !

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    Méfiez-vous, surtout en ces temps de "crise".

    Je sais d'autant plus de quoi je parle, car il y a quelques années, j'ai failli tomber dans le panneau. J'étais jeune, encore naïf et au chômage.

    Surtout, quand vous tombez dans le piège, vous tombez dans un cercle infernal, où vous ne pouvez plus vous en sortir. Si vous reconnaissez vous être fait avoir, vous avez honte, et vous perdez votre honneur. En plus, si vous arrêtez vous perdez de l'argent avant même d'avoir gagné ce qu'on vous a promis !

    Au début, on m'a prêté des cassettes (oui, des cassettes, avec les bandes qui parfois restaient accrochées au magnétophone... c'était il y a loonnnngtemps...).

    Il fallait écouter ces cassettes tous les jours. On me demandait de faire une liste de toutes les personnes que je connaissais, susceptible sd'être mes futurs clients, à qui je devrais vendre une malette, que je n'avais pas encore moi-même achetée.

    Le but était donc de me faire acheter une petite malette. Et moi, ensuite, je devrais en vendre aussi.vente_pyramidale.jpg

    Heureusement, j'ai parlé autour de moi de ce nouveau "travail". Une personne m'a dit qu'il s'agissait d'une vente pyramidale. Je ne savais pas ce que c'était. Maintenant, oui. J'ai juste eu le temps de me "réveiller". Au moment d'acheter la malette à cette personne, j'ai eu un moment de lucidité ou de courage, ou de "je ne sais quoi", où j'ai pu dire que je ne souhaitais pas acheter cette malette.

    La personne semblait très déçue. Elle m'a demandé les cassettes. Je regrette de ne pas en avoir fait des copies. Je les auraient mises en lignes. Si vous lisez ces lignes, et vous avez des copies de ce genre de cassettes, ça serait bien de les mettre en ligne, pour mettre en garde les futurs pigeons, que j'ai fallis être !

    Ca peut vous sembler bête, et vous vous dites que vous ne vous ferez jamais prendre. Mais vous côtoyez peut-être quelqu'un depuis longtemps. Peut-être même votre meilleur(e) ami(e), qui n'attend que le bon moment (pour cette personne) pour vous arnaquer (chômage, rupture, deuil, etc.). Souvenez-vous que lorsqu'on se fait prendre, il est très difficile de s'en sortir, et qu'on n'a plus aucun scrupule !