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urssaf

  • Notre fiche de paie finance la protection sociale

    "Sur mon salaire brut on me prélève différents pourcentages, à mon employeur aussi. C’est le financement de « Notre protection sociale ».
    Toutes ces cotisations assises sur mon salaire vont dans le « pot commun » et quand j’ai un problème, je bénéficie de droits. C’est le salaire Socialisé.
    Les cotisations permettent d’assurer la protection sociale de TOUS car nous sommes tous des assurés sociaux ! C’est la solidarité.

    Martin gagne un SMIC : 1.398,37 € bruts par mois, soit 1.055,91 € nets, il cotise 342,46 €, son employeur 615,14 € théoriquement *

    Fabienne gagne un salaire de : 3.031 € bruts par mois, soit 2.288 € nets, elle cotise 742,29 €, son employeur 1.333,34 € théoriquement *

    *Les calculs ne tiennent pas compte des exonérations de cotisations sociales dont bénéficient les employeurs (Loi Fillon).

    Dans le monde réel : Martin cotise 342,46€ et son employeur seulement 251,56€"


    Lire la suite :

    http://www.orgasociaux.cgt.fr/spip.php?article1181

  • Rassemblement contre la «casse de la santé et la protection sociale»

    «Pour la première fois, on réunit un collectif «protection sociale» qui comprend la sécurité sociale au sens large (CAF, URSSAF, CPAM, MSA, Pôle Emploi), avec nos collègues de l’action sociale et de la santé» explique Abdallazar Atia, délégué CGT à l’URSSAF09.

    Car tout ses structures sont liées, «si on simplifie le circuit: la sécurité sociale est un organisme avec les URSSAF qui recouvre les cotisations auprès des employeurs.

    Avec cela on vient financer les cotisations versées par les CPAM, les CAF, mais qui garantit aussi le remboursement quand les gens vont dans les hôpitaux pour des problèmes de santé, etc.
    »

    Un mode de fonctionnement qui est aujourd’hui gravement menacé selon la CGT.

    On ne compte plus le nombre d’attaques subies par ce système ces dernières années argumente le syndicat: fusions, restructurations, régionalisations, abandon de certaines activités, ou encore réduction d’effectifs.

    lire la suite + vidéo :

    http://www.ariegenews.com/ariege/debats_opinions/2012/45765/rassemblement-contre-la-casse-de-la-sante-et-la-protection-sociale.html

  • Pour une protection sociale

    La CGT avait appelé à un « grand 29 mars de luttes, de grèves et de manifestations ».

    « Notre pays est malade ! », estiment les fédérations santé-action sociale et organismes sociaux. Cette pathologie, Jacques Badets, délégué syndical CGT- Urssaf Midi-Pyrénées, la résumait ainsi, hier : « Gouvernement et patronat ont repris la main sur la protection sociale ». Et d'expliquer que « dans la Sécurité sociale, toutes les branches sont touchées par des fusions ou des restructurations. à Pôle Emploi, la fusion a conduit à une situation désastreuse, mêmes causes et mêmes effets dans la MSA et le RSI… ». Doléances identiques au niveau de l'action sociale ou du médico-social. Selon la CGT, les suppressions d'effectifs devraient se poursuivre. C'est pourquoi ce syndicat réclame « une autre politique adossée à un véritable service public ». Près de 70 personnes se sont donné rendez-vous place au Bois, pour le pique-nique de la colère. Suivi d'une manifestation, au même endroit. « En période préelectorale, il est difficile de faire bouger les autres centrales syndicales », constate Jacques Badets.

    La CGT considère donc qu'il est nécessaire « d'agir sur tous les leviers qui contribuent au financement et au développement de la protection sociale ». Elle demande l'augmentation des salaires, des retraites et des minima sociaux. Ainsi que la taxation des revenus financiers et l'arrêt des suppressions d'emplois et des licenciements.

    « Chacun paye selon ses moyens et reçoit selon ses besoins », résume le syndicat qui reprend la devise des créateurs de la Sécu en 1945. « Elle n'a jamais été autant d'actualité. »

    source :

    http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/30/1319011-pour-une-protection-sociale.html

  • SCANDALEUX !

    En guise de dialogue social, l'Ucanss et son comité exécutif, le
    Comex, ont montré leur vrai visage : gaz lacrimo, CRS et pas
    d'augmentation de la valeur du point.

    Nous étions environ 5000 à venir des 4 coins de la France, à Paris,
    place de la Nation, pour une manifestation en direction des locaux de
    l'Ucanss.

    Un rassemblement des manifestants s'est tenu devant l'Ucanss.
    Une délégation de 25 personnes (représentants nationaux des syndicats
    cgt, fo, cftc, cfe-cgc, sud, snfocos et des représentants salariés
    des régions pour la cgt).

    Philippe Ferrand a porté la voix des salariés caf-cpam-urssaf du var
    et a insisté sur l'appauvrissement du personnel, la politique de casse
    de la Sécu et a demandé oú celle ci s'arrêterait et quelle
    considération le Comex avait des employés et des usagers.

    Petit tour de table pour rappeler la situation des organismes mais
    surtout pour exiger des réponses concrètes en terme d'augmentation de
    la valeur du point.

    Le Comex n a rien trouvé mieux de ressortir du chapeau le lissage des
    14 mois sur 13 et d' argumenter l'impossibilité d'augmenter la valeur
    du point car le ministère ne l'agréerait pas.

    Dans le même temps, les crs sont entrés en action : gaz lacrimo lachés
    et arrestations de deux manifestants heureusement rapidement relâchés.

    Quel mépris face à des milliers de grévistes dans les organismes dont
    5000 manifestaient pacifiquement.

    S'ensuivit une suspension de séance.

    Puis M. Mayer, président du Comex, déclara l'abandon, a priori
    définitif du lissage de la prime vacances et la réouverture de
    négociations salariales rapprochées au 15 février.

    C'est un véritable scandale, nous n'avons pas fait des milliers de
    kilomètres pour entendre cela.

    La pression des salariés doit se poursuivre.

    Un appel national intersyndical est lancé pour le 15 février.

    Nous proposons un mouvement unitaire a la cftc, a fo et au snfocos à
    la caf du var : grève au choix journée ou 55 mn de 15h05 à 16h00 pour
    le 15 février.

    8 février, la cgt de la caf du var.