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europe - Page 3

  • Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves

    Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves

    LEMONDE.FR avec AFP | 29.08.11 | 16h49   •  Mis à jour le 29.08.11 | 17h13

     

    Des écoliers rentrent en classe, le 2 septembre 2010 à Strasbourg, le jour de la rentrée scolaire.

    Des écoliers rentrent en classe, le 2 septembre 2010 à Strasbourg, le jour de la rentrée scolaire.AFP/FREDERICK FLORIN

    Le SNES-FSU, premier syndicat des collèges et lycées, a qualifié lundi 29 août la rentrée dans le secondaire de "sans précédent". Le syndicat déplore 4 800 suppressions de postes d'enseignant alors que dans le même temps le nombre d'élèves va augmenter, selon ses calculs, de près de 80 000.

    "C'est une rentrée assez inédite au point de vue des chiffres, avec 79 536 élèves en plus pour 4 800 profs en moins. En comparaison, en 2007 il y avait 6 100 profs en moins, mais aussi 46 500 élèves en moins", a déclaré Frédérique Rolet, cosecrétaire générale du SNES, lors d'une conférence de presse.

    C'est la première fois depuis au moins huit ans que le nombre d'élèves augmente en lycées généraux et technologiques, selon le SNES, qui justifie ainsi l'appel unitaire à la grève du 27 septembre.

    Et compte tenu de la natalité française (de moins de 780 000 naissances avant 2000, on est passé à plus de 820 000 aujourd'hui), "l'augmentation du nombre d'élèves va être durable, donc il faut prévoir des recrutements", a ajouté Daniel Robin, autre cosecrétaire général.

    Or il y a "crise" en la matière, "de 2002 à 2011, le nombre de postes aux concours externes a baissé de 50 %" et en cette rentrée "976 postes ne sont pas pourvus par les concours", a déploré Mme Rolet.

    SOURCE :

    http://www.lemonde.fr/education/article/2011/08/29/une-rentree-scolaire-avec-moins-d-enseignants-et-plus-d-eleves_1565049_1473685.html

    Merci qui ? Merci Sarkozy. Merci l'Europe. Merci le FMI, qui n'ont qu'un objectif commun à terme : la suppression massive des fonctionnaires, la suppression des Etats, la totale privatisation de l'Education de la Santé, de tous les services public (transport, police...).
    A lire : "Qui veut la peau des services public", de Jacques COTTA.
  • Personne n'a jamais réussi à "faire l'Europe" de force !

    Il y a eu les Romains, Charlemagne, Napoléon, Hitler.

    A chaque fois, il y a eu guerres, conflits, révoltes.

    Ils ont échoués.

    Aujourd'hui, "ils" essayent une autre méthode. Le peuple a voté, à plusieurs reprises, parfois sans trop comprendre, pour une perte de souveraineté, pour la création d'une entité supranationale.

    Et quand le peuple a fermement dit non, les soit-disant représentants du peuple ont forcé un peu la main, avec des tours de passe-passe, pour la création de cette Europe, que le peuple, dans sa majorité, ne veut pas.

    Mais le peuple est bête. Il ne comprend pas. Il ne sait pas ce qui est bien pour lui. Alors, "nous" ("eux", quoi), les grands de ce monde, allons continuer le chemin vers la prochaine étape (pas ultime, je dis bien prochaine) : l'Europe fédérale. Et là, vous ne serez plus Français que par le nom. La France, comme elle existe depuis sa création, avec toutes ses particularités, toutes ses richesses, son influence, ne sera plus.

    Il sera alors trop tard.

  • Le pacte pour l'Euro : pour une régression sociale

    Sous prétexte de "stabiliser l'euro", l'Europe va institutionnaliser la régression sociale. La solution pour éviter ça ? La fin de l'Euro. C'est dur à dire ou à entendre. Mais oui, c'est bien à cause de l'Euro qu'on a vu ces dernières années la destruction pure et simple de tous les services publics.

    http://www.latinreporters.com/espagnepol20062011di.html

    Le Mouvement 15-M semble s'inscrire dans la durée
    Espagne: plus de 200.000 "indignés" contre le Pacte pour l'euro et la crise
     


    MADRID, lundi 20 juin 2011 (LatinReporters.com) - Le rejet du Pacte pour l'euro et des reculs sociaux qu'il institutionnalise était dimanche le leitmotiv de la mobilisation la plus massive du Mouvement des "indignés", né le 15 mai dernier. Plus de 200.000 manifestants ont défilé en Espagne dans des dizaines de villes, conspuant aussi banques, partis politiques, chômage, corruption, privatisations, système électoral et autres attributs du "système" en crise.

    Marée humaine "d'indignés", le 19 juin 2011 à Madrid, sur la Plaza de Neptuno, à 300 m du Congrès des députés (Photo EFE / Ballesteros)

    Cinq semaines après son apparition, le mouvement des "indignés", appelé aussi Mouvement du 15 mai ou Mouvement 15-M, conserve sur Internet sa force de convocation et conforte son ambition de s'inscrire dans la durée. Des médias le soupçonnaient d'essoufflement après la levée, le 12 juin, de son campement sur l'emblématique Puerta del Sol, au centre de Madrid. Les "indignés" avaient pourtant alors écrit sur un calicot "Nous ne partons pas, [car] nous nous installons dans ta conscience". 
  • La privatisaton annoncée de la Sécurité sociale

  • Il a tout compris !


    L'auditorium de Jean-Luc Mélenchon épisode 1
    envoyé par lepartidegauche. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

  • Pourquoi les Irlandais doivent voter NON au traité de Lisbone

  • Le déficit entre production et consommation bio se creuse

    03-06-2009

    A l’occasion du « printemps du bio » du 1er au 15 juin, l’Agence Bio révèle les chiffres de sa nouvelle enquête. De 1999 à 2008, les surfaces cultivées en bio ont plus que doublé, pour atteindre, sur le territoire français, 580 000 ha. Une augmentation notable du nombre de producteurs mais qui ne parvient pas à suivre la demande. Avec une croissance de 25 % par rapport à l’année dernière, les produits bio couvrent aujourd’hui 1,7 % du marché alimentaire. Or, si les Français achètent plus de produits bio pour leur consommation courante, l’Agence note qu’ils en consomment aussi plus qu’avant à l’extérieur de chez eux. La restauration collective a en effet fait de remarquables progrès, en 2008, 36 % des cantines publiques ou d’entreprises servaient des repas bio, au moins de façon occasionnelle.

    Des quatre circuits de distribution identifiés par l’Agence Bio, les grandes surfaces alimentaires (GSA) représentent 42 % des ventes, le reste se répartissant entre différents types de magasins spécialisés et la vente directe par les producteurs. Sur les trois dernières années, la vente directe, à la ferme, sur les marchés ou en paniers, est restée relativement stable. C’est surtout dans les GSA et les magasins spécialisés que la croissance a été importante, de plus de 75 % depuis 2005.
    Tous les produits sont concernés, en passant par les produits laitiers, le pain, la viande, l’épicerie ou encore les boissons. Au total, il convient tout de même de remarquer qu’un tiers de la consommation est importé de l’étranger. Comprenant des produits exotiques, tels le café, le thé ou le cacao, les importations concernent également les produits peu familiers de la production française : le soja, les produits de l’aquaculture ou les fruits et légumes méditerranéens. Pour le reste, les produits importés compensent souvent les déficits en volume de la production française en céréales bio, viandes ou encore légumes.
    Un renfort national semble nécessaire donc, car même s'il y a une légère progression, les producteurs bio français ne représentent encore que 2,4 % du total des exploitations de l’hexagone pour couvrir 2,12 % de la surface agricole (hors surfaces en cours de conversion), soit quasiment la même surface qu'en 2007. La progression a été importante de 1995 à 2003, puis s’est bien ralentie. Il semblerait néanmoins que l’année 2008 marque une nouvelle inflexion de la courbe de croissance (voir graphique).
    Dans cette évolution des productions bio, certaines régions françaises, Pays de la Loire, Rhône-Alpes ou Midi-Pyrénées sont chefs de file. Plus de légumes, de fruits et de bétails, et un record de progression pour la viticulture, mais, en zone de grandes cultures, le bio ne représente toujours qu’1% du total national.

    Si l’Agence bio se félicite, la France reste toujours le plus mauvais élève de l’Europe, loin derrière l’Italie par exemple qui a déjà deux fois plus de terres allouées au bio. Nous sommes aussi, semble-t-il, encore loin du quasi triplement de surface souhaité par le gouvernement pour 2012 (6 % de la surface agricole utile, contre 2,1% en 2007), il y a 18 mois. La bio ne connaît pas la crise de la consommation, or si la demande continue sa progression, notamment avec l’engagement attendu des restaurants collectifs dont 1/3 pourrait bien passer au bio d’ici 2012, des efforts devront certainement être consentis pour soutenir les producteurs et ceux qui souhaitent se convertir. Vincent Perrot de la Fnab (Fédération Nationale d’Agriculture Biologique) reconnaît que « l’actuel ministre de l’agriculture, Michel Barnier, s’est montré volontariste » mais « que le soutien n’a pas encore été suffisant ».

    Elisabeth Leciak

    source :

    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3779


    Espérons que le résultat de la liste Europe écologie va accélérer les choses, et augmenter "l'offre du bio", tout en diminuant "l'offre pesticide".

  • APPEL A TOUS LES ECOLOS D'EUROPE !

    Le 7 juin prochain (6 juin pour les DOM-TOM) auront lieu les élections européennes.

    Contrairement aux élections présidentielles, je ne voterai pas pour quelqu'un en espérant faire perdre quelqu'un d'autre.

    Je sais... je sais... la politique, ce n'est pas parfait... les écolos... ils n'ont pas la majorité ; voter, ça sert à rien, etc.

    Bref, même si la liste n'est pas parfaite, même s'il y a une personne qui vous déplaît, si vous vous sentez vraiment écolo, ne gaspillez pas votre voix vers un autre parti.

    François Fillon souhaite un circuit de Formule 1, dans la région parisienne. Un circuit de plus ? Si ça c'est pas de la connerie pur ! Ou bien c'est pour détourner l'attention (une fois de plus). Une idée lancée, qui ne sera pas réalisée, mais qui cache quelque chose d'autre. Rappelons que la France compte déjà de nombreux circuits automobiles, dont les 2 plus célèbres sont ceux de Magny-Cours (Nièvres), et du Castellet (Var).

    Non ! Non ! J'ai beau être écolo, j'aime la F1. Ou plus précisément, j'ai aimé la F1, surtout à l'époque des duels Prost-Senna :

    Mais les choses ne sont plus les mêmes aujourd'hui.

    Si vous être VRAIMENT écolo (ce mot veux tout dire et rien dire, mais seul vous pouvez savoir ce qui est plutôt bon pour l'avenir de votre descendance), le 7 juin prochain, votez :

    EUROPE ECOLOGIE

     

    http://www.europeecologie.fr/