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bio

  • Trémargat (Côtes-d'Armor)

    Imaginez le générique des envahisseurs...

    Un jour, perdu sur une route déserte, en plein centre de la Bretagne, entouré d'arbres, je conduisais avec appréhension, me demandant où le prochain virage allait aboutir.

    Je ne sais plus quand. Je ne sais plus pourquoi j'étais sur cette route. Mais ce dont je me souviens, c'est de trois choses. "Trémargat", "Bar associatif", Restaurant Coriandre".

    Trémargat, c'est le nom du village. Muni d'une carte ou d'un GPS, vous trouverez. Moi, j'ai découvert par hasard. Une belle route. Ici, un potier, là, un artisan de chanvre.

    Et puis j'arrive au village. Fatigué par la route, je suis heureux de tomber sur un bar. Le décor est original. En discutant un peu, j'apprends que c'est un bar associatif, où se produisent certains soirs des groupes musicaux. J'apprends également qu'il y a un restaurant, pas très loin du bar.

    Quelques jours plus tard, j'allais donc manger dans ce restaurant, nommé Coriandre. On y est très bien accueilli. Toujours du monde. On refuse même du monde. On vient de loin. Je suis toujours étonné de voir des routes désertes, et les restaurants complets ! Donc, bon accueil. Entrée à volonté, et toujours originales. Choix de menus (sauf le lundi, menu imposé et tarif libre !). C'est beau, c'est bon, c'est copieux, c'est bio, c'est local, et c'est pas cher. Pas étonnant ce succès !

    Village "écolo-résistant", un peu différent de ce que j'avais vu jusqu'ici en Bretagne, mais qui me ressemble tellement ! A chaque vacances, Trémargat, passage obligatoire !

  • Le déficit entre production et consommation bio se creuse

    03-06-2009

    A l’occasion du « printemps du bio » du 1er au 15 juin, l’Agence Bio révèle les chiffres de sa nouvelle enquête. De 1999 à 2008, les surfaces cultivées en bio ont plus que doublé, pour atteindre, sur le territoire français, 580 000 ha. Une augmentation notable du nombre de producteurs mais qui ne parvient pas à suivre la demande. Avec une croissance de 25 % par rapport à l’année dernière, les produits bio couvrent aujourd’hui 1,7 % du marché alimentaire. Or, si les Français achètent plus de produits bio pour leur consommation courante, l’Agence note qu’ils en consomment aussi plus qu’avant à l’extérieur de chez eux. La restauration collective a en effet fait de remarquables progrès, en 2008, 36 % des cantines publiques ou d’entreprises servaient des repas bio, au moins de façon occasionnelle.

    Des quatre circuits de distribution identifiés par l’Agence Bio, les grandes surfaces alimentaires (GSA) représentent 42 % des ventes, le reste se répartissant entre différents types de magasins spécialisés et la vente directe par les producteurs. Sur les trois dernières années, la vente directe, à la ferme, sur les marchés ou en paniers, est restée relativement stable. C’est surtout dans les GSA et les magasins spécialisés que la croissance a été importante, de plus de 75 % depuis 2005.
    Tous les produits sont concernés, en passant par les produits laitiers, le pain, la viande, l’épicerie ou encore les boissons. Au total, il convient tout de même de remarquer qu’un tiers de la consommation est importé de l’étranger. Comprenant des produits exotiques, tels le café, le thé ou le cacao, les importations concernent également les produits peu familiers de la production française : le soja, les produits de l’aquaculture ou les fruits et légumes méditerranéens. Pour le reste, les produits importés compensent souvent les déficits en volume de la production française en céréales bio, viandes ou encore légumes.
    Un renfort national semble nécessaire donc, car même s'il y a une légère progression, les producteurs bio français ne représentent encore que 2,4 % du total des exploitations de l’hexagone pour couvrir 2,12 % de la surface agricole (hors surfaces en cours de conversion), soit quasiment la même surface qu'en 2007. La progression a été importante de 1995 à 2003, puis s’est bien ralentie. Il semblerait néanmoins que l’année 2008 marque une nouvelle inflexion de la courbe de croissance (voir graphique).
    Dans cette évolution des productions bio, certaines régions françaises, Pays de la Loire, Rhône-Alpes ou Midi-Pyrénées sont chefs de file. Plus de légumes, de fruits et de bétails, et un record de progression pour la viticulture, mais, en zone de grandes cultures, le bio ne représente toujours qu’1% du total national.

    Si l’Agence bio se félicite, la France reste toujours le plus mauvais élève de l’Europe, loin derrière l’Italie par exemple qui a déjà deux fois plus de terres allouées au bio. Nous sommes aussi, semble-t-il, encore loin du quasi triplement de surface souhaité par le gouvernement pour 2012 (6 % de la surface agricole utile, contre 2,1% en 2007), il y a 18 mois. La bio ne connaît pas la crise de la consommation, or si la demande continue sa progression, notamment avec l’engagement attendu des restaurants collectifs dont 1/3 pourrait bien passer au bio d’ici 2012, des efforts devront certainement être consentis pour soutenir les producteurs et ceux qui souhaitent se convertir. Vincent Perrot de la Fnab (Fédération Nationale d’Agriculture Biologique) reconnaît que « l’actuel ministre de l’agriculture, Michel Barnier, s’est montré volontariste » mais « que le soutien n’a pas encore été suffisant ».

    Elisabeth Leciak

    source :

    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3779


    Espérons que le résultat de la liste Europe écologie va accélérer les choses, et augmenter "l'offre du bio", tout en diminuant "l'offre pesticide".

  • Oui au bio dans ma cantine !

     

    A l’issue du Grenelle de l’environnement, il a été décidé de passer à 20% de bio dans les cantines à l’horizon 2020.
    Le WWF-France agit dès à présent, en lançant la première campagne nationale pour l’introduction de produits issus de l’agriculture biologique locale dans les cantines scolaires. Avec la campagne « Oui au bio dans ma cantine » le WWF-France appelle tous les parents d’élèves à se mobiliser le 18 juin pour convaincre le maire de leur commune de privilégier les produits issus de l’agriculture biologique dans chaque cantine scolaire et de mettre en œuvre des mesures concrètes pour inciter les agriculteurs de son territoire à passer au bio.

    Le bio c’est bon pour la santé car riche en éléments nutritifs mais surtout, exempt d’OGM, de pesticides et de conservateurs potentiellement nocifs pour l’organisme ! Le bio, c’est bon pour l’environnement en privilégiant un mode de production qui respecte les ressources naturelles, les sols et la biodiversité. S’il est local et de saison, c’est moins d’énergie consommée pour sa production et son transport et du coup, moins de gaz à effet de serre pour la planète !
    Enfin, le bio, c’est bon pour les finances ! En bio, les agriculteurs touchent un revenu décent, la production locale bio crée 20 à 30% d’emplois supplémentaires et permet de faire économiser aux contribuables les frais de décontamination et frais médicaux générés par l’utilisation des pesticides.

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  • Pour la bonne cause !

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    Normal, Marcel ainsi que moi, sommes les spécialistes (doctorat en t-shirterie pour Marcel et ingénierie métrique et spatiale du t-shirt pour moi).

    Bon sérieusement, nous proposons des t-shirts en série exclusive et très limitées à des tarifs tout doux (allez un peu voir ci-dessous le programme de fidélité). De plus, régulièrement, des projets humanitaires sont réalisés grâce à la vente de tee-shirts spécifiques. Le service est le cœur de notre métier, votre satisfaction notre attention de chaque instant. Par exemple chez nous c'est satisfait ou remboursé, même si c'est vous qui vous êtes trompés...

    http://www.marceletmoi.fr/index.htm

  • Du maïs bio contaminé à 35 kilomètres de distance

    "Deux agriculteurs spécialisés dans la culture de maïs alimentaire biologique, Julien Veillat et son père Christian, dont l'exploitation est située àMais_380.jpg Villiers-en-Plaine, dans les Deux-Sèvres, ont déposé une plainte à la gendarmerie locale. Leur production a en effet été contaminée par des gènes de maïs transgénique, alors que les parcelles de maïs OGM les plus proches sont officiellement distantes de plus de 35 kilomètres de leurs champs."

    -> le monde.fr

  • Mois de mai, mois des foires

    Personellement, je devrais être à Signes ce dimanche (juste promener, je ne tiens pas de stand) :

    20ème FOIRE BIOLOGIQUE:
    Pour notre santé et celle de la terre

    Dimanche 11 Mai 2008 9h-19h Place Marcel Pagnol
    Entrée gratuite- Parking gratuit

     

  • Vêtements bio et équitable

    Un peu de pub :

    Cliquez sur l'image pour découvrir un site de vente de vêtement bio et équitable, pour les personnes que ça intéressent. Ils se nomment Pachama.

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