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Politique - Page 35

  • Darty : le contrat de méfiance

    NEUILLY-SUR-SEINE

    Jean Sarkozy et Jessica Sebaoun-Darty sont fiancés

    NOUVELOBS.COM | 24.06.2008 | 03:34

    Le fils cadet du président de la République, âgé de 21 ans, s'est fiancé dimanche avec l'héritière de la chaîne de magasins d'électroménager.

    Jean Sarkozy et Jessica Darty

    Jean Sarkozy et Jessica Darty

    Jean Sarkozy, le fils cadet du président de la République, s'est fiancé dimanche 15 juin avec Jessica Sebaoun-Darty, l'héritière de la chaîne de magasins d'équipement électroménager, écrit Le Parisien paru lundi 16 juin 2008. Une fête de famille a eu lieu dans l'après-midi à Neuilly-sur-Seine, dans un hôtel particulier près de la mairie. Selon le quotidien, "Nicolas Sarkozy et son épouse Carla sont passés dans la soirée ainsi que le ministre de l'Immigration Brice Hortefeux, Isabelle et Patrick Balkany".
    Jean Sarkozy, âgé de 21 ans, est conseiller général des Hauts-de-Seine. Selon LePoint.fr dimanche, "Jean est follement amoureux depuis toujours de celle qu'il connaît depuis l'école. Ils ont tous deux fréquenté les bancs de Saint James, à Neuilly... Une longue histoire qui s'épanouit aujourd'hui."
    D'après Le Parisien, le jeune homme a offert à sa belle "un diamant de chez Tiffany en guise de bague de fiançailles".
    Selon LePost.fr, Jean Sarkozy et Jessica Darty s'étaient auparavant rendus en Israël afin de s'imprégner de la culture juive.
  • TGV ? LGV ? Au détriment du TER ?

    Monsieur le Sénateur-Maire de Toulon, Hubert Falco,

    Avant de demander haut et fort le passage par Toulon de la Ligne à grande vitesse (LGV), je vous demande le développement du TER en PACA.

    En effet, en bon petit écolo, j'ai voulu prendre le train pour aller de Toulon à Manosque. En plus du changement à Marseille, je devais ensuite prendre un car !

    J'ai finalement pris la voiture...

    Est-il normal de mettre moins de temps en trajet Provence-Paris que Provence-Provence ? Dites-moi ! La vérité... Vous trouvez ça normal ? Non, c'est pas normal. Alors ?

    Messieurs FALCO, GAUDIN, VAUZELLE..., vous savez ce qui vous reste à faire !

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  • RSA : des propositions surprenantes

    La conférence de concertation sur le RSA qui s'est tenue le 9 juillet a vu deux parlementaires UMP prôner la gestion de la PPE par les Caf. Au-delà de la confusion des genres qu'induirait une telle gestion, la charge de travail énorme que cela représente n'est pas envisageable avec la politique de baisse des effectifs en cours dans les Caf et celle envisagée par le gouvernement pour la Convention d'objectifs et de gestion en cours de construction dont la signature Etat/Cnaf doit intervenir pour la fin 2008.

    La conférence de concertation sur le RSA qui s'est tenue le 9 juillet a vu deux parlementaires UMP prôner la gestion de la PPE par les Caf. Au-delà de la confusion des genres qu'induirait une telle gestion, la charge de travail énorme que cela représente n'est pas envisageable avec la politique de baisse des effectifs en cours dans les Caf et celle envisagée par le gouvernement pour la Convention d'objectifs et de gestion en cours de construction dont la signature Etat/Cnaf doit intervenir pour la fin 2008.

    Par ailleurs la réaffirmation d'une généralisation du RSA au 1er juin 2009 en accord avec le Président de la Cnaf, est incompatible avec les moyens humains et techniques de gestion disponibles dans les organismes de la Branche des Allocations familiales de la Sécurité sociale, pas plus que la prise en compte mensuelle des déclarations de revenus servant au calcul du RSA qui paraît acquise avec le même consensus.

    Les services de la Cnaf affirment pouvoir assurer dans de bonnes conditions une généralisation du RSA au 1er janvier 2010 et une bonne gestion de ce nouveau minimum social en prenant en compte les revenus trimestriels des bénéficiaires. C'est ce qu'ils ont démontré il y a quelques jours aux administrateurs de la Cnaf. Il n'a jamais été question jusqu ‘alors d'une gestion de la PPE par les Caf.

    Martin HIRSCH opère donc un forcing inacceptable auprès de la Cnaf. Dans ces conditions les déclarations et engagements pris par le Président de la Cnaf lors de cette conférence sont pour le moins surprenants, voire choquants. Les personnels de l'Institution ne sont pas taillables et corvéables à merci. Les administrateurs quant à eux ne peuvent pas être mis devant le fait accompli sans débat, concertation et consensus. En démocratie sociale le fait du prince n'est pas acceptable. La qualité et la nature des services rendus aux familles et allocataires en dépendent et les responsabilités doivent être assumées collectivement. En tout état de cause la création du RSA, un minimum social d'une grande complexité sur lequel la Cgt a exprimé les plus grandes réserves, ne doit pas mettre en péril la bonne gestion des prestations dues à l'ensemble des familles.

     

    Montreuil le 10 juillet 2008

    --> Source : les Caf en danger 

  • Il ne manque pas d'air !

    Ah ! Bon ? Quand il y a une grève en France, personne ne s'en aperçoit ? 


    envoyé par anti-sarkomania
    Les syndicats prennent note... 

     

  • L’abus de cartésianisme nuit gravement à la Santé ! l’exemple de la méthode SCAM

    Par William Freudenburg, Robert Gramling et Debra Davidson
    Illustrations par William I. Brown

    Le 21 décembre 2004, un groupe de travail américain du gouvernement fédéral a rendu public son rapport final concernant des propositions visant à permettre aux citoyens américains d’importer du Canada des médicaments sur prescription. Parce que le groupe de travail « ne pouvait être certain » que les médicaments importés seraient sûrs, ses membres ont recommandé que la pratique demeure illégale.

    Le lendemain, une autre agence fédérale, le Service des forêts, a décidé qu’elle ne pouvait déterminer avec certitude si la coupe de forêts était mauvaise pour l’environnement. Elle élimina donc des plans forestiers les exigences induites par les Déclarations d’impacts environnementaux et pour la protection d’espèces « viables » lors de la coupe de forêts.

    Ces deux annonces se faisant suite illustrent l’importance d’une réalité souvent sous-estimée : plusieurs décisions d’agences « scientifiques » se fondent non pas sur de faits scientifiques éprouvés, mais sur des incertitudes scientifiques troublantes. Un jour, les autorités décident que l’incertitude constitue un risque trop important concernant l’importation de médicaments ; le lendemain, d’autres responsables décident que l’incertitude signifie que la coupe de forêts est sûre. Il en va ainsi de milliers de décisions chaque jour. Malgré une demande croissante des éclairages de la science, l’élément principal des conclusions des études est toujours à la base de la décision que prendra une agence lorsqu’elle n’a pas la certitude de savoir si quelque chose est sûr ou non.

    La suite -> http://www.delaplanete.org/Politiques-environnementales-et.html
  • Il faut supprimer les pauvres

    La disparition des pauvres est un des éléments, un des buts du nouvel ordre mondial.pauvre_4.jpg

    -> Voir mes notes précédentes sur le Nouvel Ordre Mondial

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    Nicolas Sarkozy est en train de mettre en pratique, petit à petit, par ses lois, par ses agissement, par ses liens politiques, économiques et religieux, la politique du Nouvel Ordre Mondial : l'uniformisation de la planète, sur un modèle unique, celui des Etats-Unis.
  • Un coup de gueule de Nicolino : y a t-il encore des militants écologistes ?

    Un texte qui questionne.

    40 ans mais plus toutes ses dents
    http://fabrice-nicolino.com/index.php


    Publié le 31 mai 2008

    L'autre jour, à l'assemblée générale d'une association de journalistes dont je suis membre, les Journalistes pour la nature et l'écologie (JNE). (..), j'ai entrepris Thierry Jaccaud, lui aussi JNE et par ailleurs rédacteur-en-chef de la revue L'Écologiste. Sur quel sujet ? Celui-là même que je vais vous exposer. En un mot, le mouvement écologiste et de protection de la nature, en France, est dans une situation de faillite.

    De quand date ce mouvement ? De 1969. Avant cette date, le discours sur la nature et sa protection était la propriété privée des vieilles barbes et des sociétés savantes.

    Depuis la fin du 19ème siècle jusqu'à l'après 68 en effet, il y a eu monopole. Seuls les scientifiques, les naturalistes - et quelques poètes déjà chevelus - ont pu, ont su évoquer le sort de la planète et de ses équilibres naturels. Il n'y a pas l'ombre d'un reproche. Le reste de la société était occupé ailleurs.

    Survient mai 1968. Survient du coup une génération en rupture avec ses aînés. L'écologie, très présente dans la culture underground des États-Unis tout au long des années soixante, devient chez nous une force intellectuelle et bientôt sociale. Cette même année 1968 se crée la Fédération française des sociétés de protection de la nature (FFSPN), qui deviendra en 1990 France Nature Environnement (FNE).

    Les professeurs y font toujours la loi, mais cela ne va pas durer.

    Cela ne dure pas, car le réel se manifeste enfin. Décrété en 1963, notre premier parc national, celui de la Vanoise, est menacé en 1969 d'une amputation sauvage, pour faire plaisir aux promoteurs d'une station de ski. Tel est le point de départ, le point zéro. Des centaines de milliers de personnes signent une pétition portée par une partie notable du tout jeune mouvement de mai. Et les bagarreurs gagnent, contre l'État.

    Le combat pour la Vanoise dope toute une série de grandes associations régionales, à commencer par la Frapna, mais aussi Bretagne Vivante (alors Sepnb) ou Alsace nature. À cette époque, la plupart des militants sont de jeunes enthousiastes, antinucléaires et, osons le gros mot, anticapitalistes. Presque tous, au fil des ans, feront le choix de la longue marche dans les institutions.

    Je ne juge pas, je vous le jure. Confrontées à une menace qu'elles analysaient mal, les associations ont tout misé sur la concertation, la discussion et le rapprochement, dût-il parfois être difficile. Ils ont cru de bonne foi que la France était le cadre nécessaire et suffisant, que la création du ministère de l'Environnement en 1971 était une bonne nouvelle, que leurs partenaires locaux finiraient par jouer le jeu dès lors qu'ils auraient suffisamment été informés. Mais ils se sont lourdement trompés.

    Pendant des décennies, et jusqu'à aujourd'hui, des milliers, des dizaines de milliers de bénévoles ont investi les structures officielles les plus abstruses : les commissions départementales d'hygiène, des sites, des déchets, des carrières, que sais-je ? Ils se sont engloutis, la machine les a intégralement digérés. Parallèlement, par un processus inévitable, et qui ne met pas en cause les personnes, les associations se sont institutionnalisées. Elles ont réclamé des subsides publics, les ont obtenus, et se sont progressivement enchaînées elles-mêmes.

    Aujourd'hui, FNE fédère officiellement 3 000 associations locales, thématiques ou régionales. C'est un réseau impressionnant, mais le drame est qu'il ne sert à rien. J'entends déjà les cris, y compris d'amis, et qu'on me pardonne, mais je persiste : à rien.

    Je sais la quantité d'efforts consentie, ou plutôt, je l'imagine (mal). Des centaines de milliers de soirées ont été offertes en cadeau à la société, mais allons de suite au résultat, cela m'évitera d'être méchant.

    En 1969, par aveuglement, nul ne comprenait. L'affaire de la Vanoise est d'ailleurs symptomatique. Le mouvement naissant croyait qu'il fallait, qu'il suffisait d'aligner des victoires locales pour inverser le courant général. On gagnerait dans la montagne, puis dans la plaine, puis sur la mer, etc. La pédagogie ferait le reste. Nul ne voyait la nature des forces en présence, et le caractère connecté, écosystémique, global des menaces sur la vie.

    Ce mouvement s'est alors engagé dans une impasse totale, en traitant chaque jour avec des acteurs inconscients, mais imposants, de la destruction du monde. Et ces derniers ont gagné, car ils étaient la force, tandis que le mouvement s'est enlisé, épuisé, avant de s'arrêter au bas d'une côte qu'il ne montera jamais.

    Qui oserait me dire que la situation générale est meilleure qu'en 1969 ?

    Qui ? Nous sommes passés d'une situation inquiétante à un état du monde angoissant. Tous les grands équilibres - de la planète, pas de notre minuscule pays - sont proches d'un point de rupture qui peut nous mener au chaos général. Et FNE continue de siéger, impavide, dans toutes les structures que l'État, son financier principal, lui désigne. Je viens de lire une « lettre » de FNE à notre président Sarkozy sur les biocarburants, que je juge déshonorante pour nous tous (ici). Usant de tournures alambiquées, ce texte, qui aborde la question de la faim de manière incidente, ne réclame même pas l'arrêt des subventions françaises à cette industrie criminelle. Nous en sommes là !

    Pas question de mordre la main qui vous nourrit.

    Bien entendu, ce bilan calamiteux ne se limite pas à FNE. Un jour peut-être, la véritable histoire du WWF sera écrite. Et ce jour-là, la surprise sera au programme, croyez-moi. Car cette association internationale financée par l'industrie n'aura cessé de chercher et de trouver des accommodements avec les pires transnationales. Par exemple en osant « vendre » à la société l'idée d'un usage soutenable du bois tropical. Ou du soja. Ou des biocarburants. Cette politique-là est simplement scandaleuse, et tout le monde se tait.

    Mais pas moi.

    Disant cela, je n'oublie pas que d'authentiques écologistes, dont certains sont des amis, travaillent pour le WWF. Je ne les cite pas, car je ne veux pas les mettre dans l'embarras. Et je ne souhaite pas même qu'ils quittent l'association, car ils y font malgré tout un travail utile. Mais enfin, regardons les choses en face : le WWF accompagne la marche à l'abîme des sociétés humaines et du vivant.

    Greenpeace ? J'ai été membre du Conseil statutaire de ce groupe pendant des années. Ne me demandez pas ce que c'est, car je l'ignore. Pour moi, cela signifiait participer à des réunions inutiles, une à deux fois par an. Ce qui me reste de Greenpeace, c'est que j'y compte des proches, à commencer par ma chère Katia Kanas, présidente actuelle en France. Et alors ? Et alors, Greenpeace a suivi une pente redoutable, et peut-être inévitable. Les sociologues qui étudient l'histoire des associations parlent classiquement de deux phases. La première, dite « charismatique », est celle des fondateurs et de l'exaltation. La suivante est celle de « l'institutionnalisation ». Nous y sommes.

    Pour ce que j'ai pu voir, Greenpeace n'est plus. Les cinglés de 1971 voguaient à bord du Phyllis Cormack en direction de l'Alaska, pour y occuper le site des essais nucléaires américains. Ceux d'aujourd'hui gèrent la manne du fundraising, méthode éprouvée pour récolter du fric auprès de millions de donateurs. Certes, et ce n'est pas rien, Greenpeace ne dépend ni de l'État ni de l'industrie. Mais ses cadres supérieurs, souvent recrutés par petite annonce hors du mouvement écologiste, sont des cadres supérieurs. Et Greenpeace-France est une PME de l'écologie, tristement incapable, par exemple, de mener la bagarre pourtant essentielle contre les biocaburants. Dieu sait pourtant que je les y ai invités !

    Toutes les tendances de cette écologie officielle, plus quelques autres que je n'ai pas le temps de citer, se sont retrouvés à la table de Borloo et Kosciuko-Morizet l'automne dernier. Je veux parler du Grenelle de l'Environnement, bien sûr. À cette occasion, le mouvement a montré où il en était, c'est-à-dire au même point qu'en 1969. C'est-à-dire bien plus bas en réalité. Car c'est une chose de croire au Père Noël quand on est un gosse qui découvre le monde. Et une autre quand on approche des quarante ans.

    Ce mouvement aura bientôt quarante ans, en effet, et c'est le mien. Ma famille. Je ne suis pas partisan de la table rase, qui n'est que fantasme. Mais d'évidence, il est temps de faire un bilan. Selon moi, il est limpide : nous avons échoué, tous, à empêcher l'emballement de la machine à détruire la vie. Il est donc certain que les moyens utilisés ne sont pas adaptés au seul objectif qui vaille. Je ne crois pas, en effet, qu'on puisse se contenter de risettes de Borloo, de bises de Kosciucko et de passages à la télé. À moins que je sois le roi des imbéciles, et que personne ne m'ait prévenu du changement de programme ?

    Nous avons échoué, soyons sérieux. Il faut le dire, il faut l'écrire, il faut même le proclamer. Sur cette base-là, essentielle, il s'agira de reconstruire un mouvement différent, plus fort, plus conquérant, partant avec ceux qui le voudront à l'assaut du ciel, pour la restauration du monde vivant. Je vous lance donc, je me lance aussi, bien sûr, un appel au sursaut. Arrêtons la dégringolade. Ouvrons les yeux, fermons la télé, et osons dire cette évidence que le roi écologiste est nu. Pour commencer.

    PS : Exceptionnellement, je vous demande de diffuser ce qui est bel et bien un appel à tous les réseaux de votre connaissance. Je ne prétends pas avoir raison, mais je suis certain que nous avons besoin d'un grand débat. Et donc, je vous en prie, faites circuler.

    Merci.

    Publié dans Mouvement écologiste, Politique

  • Merci les Irlandais !

    Ce traité (quasi identique à celui proposé en France et aux Pays-bas) a été imposé aux Français qui avaient voté non.

    Nicolas Sarkozy se vente de dire que les Français l'ont élu à une forte majorité. Alors pourquoi imposer un traiter qui a été refusé par ces derniers ?

    MERCI L'IRLANDE !

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    Pour ceux qui ne le savent pas, la BCE (organe créé par le traité de Maastricht (j'avais voté "oui")) conseille fortement aux pays européens de ne pas augmenter les salaires, par crainte d'une spirale inflationiste. Ils ont peut-être raison, mais on s'aperçoit que la France a de moins en moins de pouvoir et de dépendance.