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  • Cinéma Olbia à Hyères le jeudi 25 octobre à 19H30

    L’association CHANGER d’ERE  ouvre le débat sur le nucléaire avec la projection du film de par Michale Boganim   « LA TERRE OUTRAGEE » au cinéma Olbia à Hyères  le jeudi 25 octobre à 19H30.
    Premier film à avoir obtenu le droit de tourner sur les lieux, La Terre outragée est une variation fictionnelle autour de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Il met en scène trois destins qui se croisent, celui de Valery, qui a grandi sans père,  celui de Nikolaï, hédoniste têtu cultivant la terre morte et surtout  celui d’Anya, mariée de l'apocalypse, à qui Tchernobyl  a volé son amour
     
    Voici un extrait de l’interview donné par Michale Boganim, la réalisatrice au magazine Télérama :
     
    « On est à Pripiat, le 26 avril 1986. C’est le jour du mariage de l’héroïne du film, Anya, qui est jouée par Olga Kurylenko. La catastrophe nucléaire a eu lieu pendant la nuit mais personne n’est au courant de ce qui s’est passé. Aucune information n’a été donnée. Des mariages ont donc lieu, comme si c’était un jour normal. Je me suis appuyée, pour écrire ce film, sur des faits réels. J'ai découvert que, le jour de la catastrophe de Tchernobyl, seize mariages avaient été célébrés à Pripiat ! C’est hallucinant. Anya se marie avec un pompier, qui va être appelé pour éteindre un feu de forêt, en fait pour intervenir sur l'incendie du réacteur, ce qui le condamne à mort.
     
    La principale caractéristique de la catastrophe de Tchernobyl, c’est son invisibilité : pas de grand bruit d’explosion, pas de traces immédiates. C’est ce qui a permis aux autorités soviétiques de mentir à la population pendant trois jours. En tant que cinéaste, cela m'intéressait de parler de l’invisibilité, de raconter ce désastre qui ne se donne pas tout de suite à voir ».
     
    A l’issue de la projection  un débat aura lieu entre les spectateurs guidés par Claude MARTINO, critique de cinéma et Anthony GREGOIRE, membre du collectif varois SORTIR DU NUCLEAIRE.
     

  • Politique fiction

    [...] L'EU et le FMI prêtent de l'argent aux pays afin que ces derniers s'endettent. Au préalable, on aura fait signé à ces pays des traités dont il sera très difficile, voire impossible de s'en dépêtrer. Ces pays devront donc faire des économies. Moins de dépense publiques. Donc moins de fonctionnaires. Moins de moyen dans l'éducation. Donc, une population encore plus ignorante et peu éduquée. Seuls les meilleurs s'en sortirons. Moins d'hôpitaux. Donc moins de soins. Moins de remboursement de médicaments. L'espérance de vie diminuera d'elle-même. Mais aujourd'hui, on s'aperçoit que ça ne va pas assez vite. Au contraire, Ces cons... pardon... l'Homme, en période de crise ne pense qu'à faire des enfants, alors qu'ils ne peuvent même pas manger à leur faim !

    Pour finir avec ce chapitre, il y aura bien sûr une diminution des aides sociales. Là encore, seuls les plus aidés s'en sortiront le mieux. C'est notre objectif. Restaurer la loi de la jungle, où seuls les plus forts, les plus intelligents survivront. C'est avec ces gens-là, qui resteront bien entendu toujours des subalternes, que nous comptons mettre en place le « Nouvel ordre mondial ». Nous aurons toujours besoin de main-d’œuvre obéissante. Enfin, pour les personnes intelligentes et instruites mais qui osent dire ce qu'elles pensent... ces personnes-là ne devront pas survivre. [...]

  • L'Homme

    L'Homme peut être bon.

    Mais il peut aussi être con.

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    Photo prise à Toulon, le 7 octobre 2012.