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environnement - Page 3

  • Cette pollution qu'on ne voit pas

    J'ai ajouté un livre, sur la colonne de gauche.

    Guide de l'électricité biocompatible : Pollutions électromagnétiques

    Guide de l'électricité biocompatible : Pollutions électromagnétiques

    Auteur : Claude Bossard

    Editeur : Des Dessins et des Mots

    Année : 2006

     

     

     

     

    Lignes à haute tension, transformateurs, fours à micro-ondes, écrans d'ordinateur, WI-FI, téléphones portables, installations électriques domestiques... les sources d'émission de pollutions électromagnétiques se multiplient. Si nous ne prenons pas de précautions, nous pouvons être très exposés à des rayonnements électromagnétiques. Des études scientifiques mettent en évidence la nocivité de ces champs électromagnétiques auxquels est soumise une part croissante de la population.

    Ce livre, simple et facile d'accés, a pour but de donner les éléments permettant d'apprivoiser les champs électriques et magnétiques de notre cadre de vie et de répondre aux questions :
    - Que sont ces rayonnements électromagnétiques ?
    - Quels sont les risques pour notre santé ?
    - Comment les détecter ou les mesurer ?
    - Comment se préserver ?...

    A lire rapidement.

  • Le coton Bt de Monsanto détruit la terre et les agriculteurs

    Le 24 fevrier 2009

    Institute of Science in Society

    L'Inde est le 3ème producteur mondial de coton après la Chine et les USA. L'état du Gujarat est tourné vers l'agriculture et en particulier vers la production de coton

    La biosécurité vise à faire en sorte que les OGM ne nuisent ni à l'environnement ni à la santé.

    La terre, sa fertilité et les organismes qui entretiennent sa fertilité, sont un élément vital de l'environnement, en particulier dans le contexte de la production alimentaire et agricole.

    coton.jpgUne récente étude scientifique réalisée par Navdanya, a comparé la terre des champs où du coton Bt a été planté pendant 3 ans avec celle des champs adjacents, plantés de coton naturel ou d'autres cultures. La région couverte incluait le Nagpur, l’Amravati et le Wardha de Vidarbha, ce qui représente les plus grandes plantations de coton OGM en Inde, et le taux le plus haut de suicides de fermiers (4000 par an).

    En 3 ans, le coton Bt a réduit la population d’actinomycètes de 17%. Les actinomycètes sont indispensables pour dissocier la cellulose et créer l'humus.

    La population bactérienne a été réduite de 14%. La biomasse microbienne totale a été réduite de 8,9%.

    Les enzymes bénéfiques, vitales pour la terre, qui rendent les nutriments disponibles pour les plantes, ont aussi été considérablement réduites. Le phosphatase acide, qui contribue à l'assimilation des phosphates, a été réduit de 26,6%. Le nitrogénase, les enzymes qui catalysent la fixation de l'azote moléculaire, a été réduit de 22,6%.

    À ce rythme, une dizaine d'années de culture de coton OGM, ou de tout type de culture génétiquement modifiée dotée de gènes Bt, pourrait entraîner la destruction totale des organismes du sol, laissant la terre morte, incapables de produire la nourriture.

    Dans son dernier communiqué, l’International Service for the Acquisition of Agri-Biotech Applications a déclaré qu’il y a 7,6 millions d’hectares de coton Bt en Inde. Cela veut dire que 7,6 millions d’hectares de terre sont en train de mourir.

    Habituellement, l'impact des OGM sur les organismes du sol n’est pas étudié. C'est une lacune redoutable, car la toxine Bt des cultures comme le maïs MON 810, le coton Bt ou l’aubergine Bt, a un grave impact sur les organismes bénéfiques du sol.

    Le gouvernement de l'Inde cherche à ratifier l’homologation de l’aubergine Bt sans faire l’étude de biosécurité concernant les conséquences sur les organismes du sol. La Commission européenne tente de faire pression sur les pays exempts d'OGM pour introduire le maïs MON 810.

    L’étude de Navdanya, la première à avoir examiné l'impact à long terme du coton Bt sur les organismes du sol, est un appel au réveil pour les organismes de réglementation du monde entier. Elle montre aussi que les affirmations de l'industrie biotechnologique sur l’innocuité des cultures génétiquement modifiées sont mensongères.

    Pour obtenir une copie du rapport de l’étude et pour de plus amples renseignements, veuillez contacter :

    Navdanya
    A-60, Hauz Khas

    New Delhi – 110 016

    Téléphone : 91-11-26535422 / 26532124

    Courriel : vandana@vandanashiva.com

    Site Internet : www.navdanya.org

     

    Source : http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=12437

  • Il était (beau) temps !

    Le Var se met enfin au solaire. Il était temps !

    VAR MATIN :

    Ampus

    Signature du projet de parc photovoltaïque le 10 février

    Le conseil municipal a donné un avis favorable au projet de parc photo voltaïque qui doit être réalisé sur 30 ha dans le bois de Prannes.

    Vinon-sur-Verdon

    La communauté sous le charme du photovoltaïque

    Sous la conduite de Claude Cheila, les élus de Lubéron-Durance en Verdon sont tombés dans le panneau et sous le charme de la future centrale.

    Au-delà des chiffres pharaoniques (lire par ailleurs), figure l'évidence. Avant même sa mise en service en mars prochain, la centrale photovoltaïque est devenue un modèle du genre.

    nm-photo-231463.jpg
  • AREVA refuse la diffusion d'une émission sur les déchets des mines d'uranium

    Déchets radioactifs: France 3 et Areva se fritent

    Sur Le Post, Areva reproche à France 3 d'avoir présenté son reportage sur les déchets des mines d'uranium, avant d'avoir recueilli sa position. La chaîne riposte.

    Centrale nucléaire - Image d'illustration

    Centrale nucléaire - Image d'illustration
    © Norbert Schaefer/CORBIS/Norbert Schaefer

     

    En pleine polémique sur le second réacteur EPR, c'est à un sujet très sensible que s'attaque le prochain numéro de "Pièces à Convictions": les déchets issus des mines d'uranium. Comme à son habitude, le magazine comportera des enquêtes avec des plateaux animés par Elise Lucet. L'un des faits exposés par le reportage est le fait que des mines françaises n'étant plus en activité depuis longtemps pourraient encore être dangereuses.

     

    -> LIRE LA SUITE

  • Giscard a tué dans l'oeuf l'AEROTRAIN, il veut maintenant la mort des éoliennes

    L'ancien Président Valéry Giscard d'Estaing, après avoir mis fin à l'expérimentation de l'aérotrain au profit du TGV, mettra-t-il fin aux éoliennes au profit du nucléaire ?

    Au passage, remarquer la dernière image : la destruction d'une partie de la ligne expérimentale de "l'ex tranport en commun du futur", au profit d'une autoroute.

  • Sous les pavés... la Terre

  • Nos enfants nous accuseront

  • Réfugiés climatiques

    Conférence sur les réfugiés climatiques organisée par écoforum, Amnesty international jeunes, la Ligue des droits de l'homme et la Cimade qui s'est déroulé lundi 8 décembre 2008 au Point de Bascule, à Marseille.

    (Si vous regardez jusqu'au bout, les questions (et les réponses !) sont intéressantes).

    Source : http://democratie.tv/

    Sites des intervenants :

    - Ecoforum (Victor Hugo Espinosa)

    - ALFA (Pierre Ferretti)

    - Amnesty international jeune marseille

    - Ligue des droits de l'Homme

    - Cimade

     

  • The story of stuff

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  • Inondation du site nucléaire du Tricastin

    Réseau "Sortir du nucléaire" - Fédération de 840 associations
    Communiqué du lundi 15 décembre 2008 - Contact : 06.64.100.333

    Inondation du site nucléaire du Tricastin :
    "Sortir du nucléaire" demande d'urgence
    des mesures de radioactivité indépendantes
    Dans la nuit de dimanche à lundi, un plan d'urgence interne a été déclanché sur le site nucléaire du Tricastin, du fait de l'inondation des installations nucléaires SOCATRI-AREVA et BCOT-EDF. Cette alerte est due à la montée des eaux de la Gaffière, le fameux cours d'eau qui traverse le site du Tricastin, et qui a été contaminé à plusieurs reprises ces dernières semaines - et particulièrement du fait de la grave fuite d'uranium de début juillet.
    Les exploitants AREVA et EDF prétendent qu'aucune contamination n'est ressortie du site, mais l'expérience a montré que leurs discours étaient très peu fiables. Il est donc nécessaire que des mesures soient faites dès ce mardi par des organismes indépendants, par exemple la Criirad, ou des laboratoires étrangers. C'est au ministère de l'écologie de contacter au plus vite de tels organismes.
    De façon générale, alors que le site nucléaire du Tricastin existe depuis près de 50 ans, il est stupéfiant que les exploitants soient surpris par la montée des eaux de la Gaffière. C'est une nouvelle démonstration de l'incompétence et de l'irresponsabilité de l'industrie nucléaire, et de l'impuissance des organismes de sûreté (ASN, IRSN). Ces organismes passent le plus clair de leur temps à "démontrer" que la sûreté des installations nucléaires est assurée, mais ils sont régulièrement démentis par les faits.
    De toute évidence, il va y avoir tôt ou tard en France un accident grave, voire une catastrophe nucléaire. Pour l'éviter, il faut au plus vite mettre en oeuvre un plan de sortie du nucléaire, accompagné de mesures très ambitieuses en faveur des économies d'énergie et du développement des énergies renouvelables.

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    Montée des eaux : plan d'urgence interne sur le site nucléaire du Tricastin
    AFP - 15.12.08 - Les exploitants des installations nucléaires SOCATRI et BCOT ont déclenché dans la nuit de dimanche à lundi un plan d'urgence interne au vu d'une montée rapide du niveau des eaux de la Gaffière, le cours d'eau qui traverse le site du Tricastin, a annoncé lundi soir l'ASN. Le déclenchement de ce "plan d'urgence interne" a débuté lundi à 02H00 du matin, a précisé l'ASN (Autorité de sûreté nucléaire) dans un communiqué. SOCATRI est exploitée par le groupe AREVA, et BCOT (Base chaude opérationnelle du Tricastin) est exploitée par EDF.
    La montée du niveau des eaux s'est poursuivie jusqu'à 3 heures du matin, et plusieurs locaux de la SOCATRI et de la BCOT ont été inondés. "Les plans d'urgence internes ont été levés par les exploitants aux alentours de 5h du matin après un reflux des eaux", précise le communiqué. Les exploitants ont informé l'ASN que l'eau entrée dans les locaux est restée à l'intérieur et qu'elle fera l'objet d'un traitement adapté. Cette montée des eaux est due à d'importantes précipitations et à des manoeuvres de régulation des eaux.
    L'ASN procèdera à l'analyse de cette situation en liaison avec les exploitants et les services de l'Etat en charge des contrôles de l'exploitation des barrages. Dans son communiqué, l'ASN rappelle que SOCATRI exerce des activités sur les matériels et effluents en provenance d'EURODIF (assainissement et maintenance sur les composants). Elle réalise également des prestations pour le compte de l'ANDRA (tri et conditionnement de déchets, notamment en provenance du milieu hospitalier).
    L'installation BCOT est exploitée par EDF. Elle a pour vocation l'entretien et l'entreposage des matériels et outillages provenant des circuits et matériels contaminés des réacteurs électronucléaires, à l'exclusion d'éléments combustibles, notamment les tubes guides, les outillages d'intervention, les matériels voués au démantèlement et les couvercles de cuve, ajouté le communiqué.