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  • Jeudi 2 juillet - envoyé spécial

    "ENVOYE SPECIAL" (Carnet de voyage), le jeudi 2 juillet, sur France 2, à 20h35.

    Le deuxième reportage de l'émission ("Bornéo : la forêt assassinée") est consacré à KALAWEIT et à la problématique de l'huile de palme (33 minutes).

    Diffusion aussi sur TV5 Monde, regardez les horaires de diffusion sur http://www.tv5. org

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  • RSA : faites le test

    Vous travaillez. Vous pensez que vous avez un salaire qui vous permet de vivre ou de survivre ?

    Vous pensez que voous n'avez droit à rien ?

    Peu importe. Prenez 10 minutes de votre temps, et allez faire le test RSA. Quoi qu'on en pense, si vous avez droit à quelque chose, ne serait-ce que 20 euros, ne crachez pas dessus !

    -> Cliquez ici pour faire le test (lisez bien attentivement et répondez précisément aux questions posées)

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  • Labévière - Sa Conference de presse depuis le Liban

  • Sarkozy, vampire des médias

    Que se passe-t-il dans les médias de l'Hexagone ? L'humoriste Stéphane Guillon, qui sévit sur France Inter, est dans le collimateur de l'Elysée. Des journalistes sont convoqués par la police et des patrons de presse démis de leur fonctions, par la seule grâce présidentielle. Alors que des voix s'élèvent pour dénoncer une mainmise tentaculaire de Nicolas Sarkozy sur les médias, Temps Présent dissèque les relations dangereuses existant entre le pouvoir français et l'information.


    -> source et vidéo complète : temps présent.ch
  • Lettre ouverte à Madame Boutin, première Vice-présidente des Yvelines

    Lettre ouverte à Madame Boutin, première Vice-présidente des Yvelines

    exerçant la Présidence du Conseil général

    Le 15 juin 2009

    Madame la première Vice-présidente, madame la Ministre,

    Depuis presque un an avec le circuit de F1, le Conseil général des Yvelines, avec votre prédécesseur, s’est engagé dans une aventure en totale contradiction avec la demande exprimée des Français en matière de respect de l’environnement.

    Le coût de ce projet est exorbitant au regard de la biodiversité, de la ressource en eau potable, de l’agriculture biologique de proximité et plus généralement du climat. Il n’apporte pas non plus de réponses satisfaisantes en termes d’emplois et de développement économique. Il véhicule en outre avec lui son lot de nuisances pour l’ensemble des habitants de ce secteur très urbanisé au niveau du bruit, de la pollution atmosphérique et de l’augmentation de la saturation des routes.

    Au final, d’un point de vue environnemental, ce projet apparaît comme la quintessence des projets auxquels l’esprit du Grenelle de l’Environnement était supposé mettre un terme. Nicolas Sarkozy dans son discours de clôture du Grenelle de l’Environnement avait pourtant été très clair :

    · « tous les grands projets seront arbitrés en intégrant leur coût pour le climat et la biodiversité. Très clairement, un projet dont le coût environnemental est trop lourd sera refusé.

    · « ce sera aux projets non écologiques de prouver qu’il n’était pas possible de faire autrement. Les décisions dites non écologiques devront être motivées et justifiées comme ultime et dernier recours ; »

    Il n’est, en effet, pas imaginable de profiter de la désespérance d’une partie de la population de la vallée de la Seine en agitant le chiffon rouge d’emplois hypothétiques pour faire passer un projet contraire à ces deux grands principes. Il faut des solutions durables et investir dans du développement respectueux de l’environnement et véritablement créateur d’emplois pérennes.

    Vous avez reçu et écouté une délégation de Flins sans Circuit F1, nous vous en remercions. Nous vous exhortons à constater sur le terrain auprès des populations locales nos dires. Il faut abandonner ce projet au plus vite et rendre ces terres à l’agriculture biologique de proximité qui manque cruellement en Ile-de-France.

    A la tête d’une grande collectivité territoriale, vous avez, avec l’ensemble du Conseil général des Yvelines, une responsabilité importante et un rôle essentiel à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique.

    Nous n’avons plus le temps d’être pessimistes Nous vous demandons d’agir et d’agir vite.

    Nous comptons sur vous, Madame la première Vice-présidente.

    En vous remerciant de l’attention que vous prêterez à ce message, nous vous prions d’agréer, Madame la première Vice-présidente, l’expression de notre très haute considération.

    Les signataires :

    Hélène Danel, Présidente de Flins sans Circuit F1 ;

    Yann Arthus-Bertrand, Président de Goodplanet ;

    Marc Barrier, Président de la FDSEA Ile-de-France ;

    Pascal Husting, Directeur général de Greenpeace France ;

    Serge Orru, Directeur général du WWF-France ;

  • CAF : la part de la fraude représente 0,1%

    Oui ! La fraude aux Allocations familiales ne représente que 0,1% des prestations versées au niveau national (CNAF). Dans certains départements, elle représente seulement 0,0001% !

    Quid des chefs d'entreprises qui fraude l'URSSAF ? Et le travail au noir ?

    Et le trou de la Sécu, dans tout ça ? La faute à qui ?

     

  • La retraite à 75 ans ?

    Déficit record pour la Sécu. La faute à la crise ! La faute au chômage !

    Et si c'était la faute à Sarkozy ? "Grâce" à ses énormes exonérations de charges faites aux grandes entreprises ?

    La faute au chômage ? Pauvres entreprises, qui sont "obligées" de supprimer des emplois, à cause de la crise ? Mais que néni ! Parce qu'elle ne font pas assez de bénéfices !

    Et dire que les Français ont voté UMP aux européennes.

    Aujourd'hui, j'ai honte de vivre dans ce pays.

    Je vais m'exiler.... tiens ! En Bretagne !

    -> MES ARCHIVES SUR LA SECURITE SOCIALE (j'espère qu'un élu, ou un journaliste incorruptible prendra le temps de lire, et fera passer l'info).

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  • Enercoop - le Parisien

    MES DÉPENSES ÉNERGÉTIQUES

    «J’ai choisi un fournisseur d’électricité 100 % vert»

    ALEXIS MICHAUD, 33 ans, chercheur au CNRS

    15.06.2009, 07h00

    Alexis Michaud, 33 ans, chercheur au CNRS, est ce que l’on appelle un « consom’acteur » et s’efforce de mettre ses actes en conformité avec ses convictions environnementales.
    En 2007, l’ouverture à la concurrence du marché de l’électricité lui en fournit l’occasion.
    Il découvre alors une campagne de publicité intitulée : « EDF, demain j’arrête ».

    Le slogan le séduit. « Je me suis dit que j’étais peut-être un pollueur sans le savoir. » Le locataire se met donc en quête d’un « fournisseur d’électricité 100 % vert ».
    « Je suis tombé dans la presse sur un comparatif », se souvient-il. Les opérateurs étaient notés sur 20, Enercoop avait obtenu 17/20, la société Gaz et Electricité de Grenoble avait la moyenne et « toutes les autres offres soit-disant vertes étaient des attrape-nigauds ». Il opte pour Enercoop, une coopérative issue de la galaxie de l’économie sociale et solidaire. Habitant avec sa compagne un petit logement social à Châtillon (Hauts-de-Seine), il signe son contrat dès octobre 2007. « Je continue à recevoir de l’électricité qui peut provenir de centrales nucléaires, explique-t-il. Mais avec Enercoop, je suis sûr que de l’argent sera reversé à des petits producteurs locaux d’énergie éolienne ou solaire. »
    Certes, « notre facture a augmenté d’environ 10 € par mois, à peine plus que le prix d’une pizza », calcule Alexis qui a le sentiment de contribuer à un « vrai projet de société ». Client mais aussi adhérent d’Enercoop, il participe aussi aux réunions de la coopérative pour « rencontrer des gens qui ont les mêmes convictions ». Pour l’heure, Enercoop ne compte encore que 3 500 clients. « Pour qu’un vrai mouvement s’enclenche, admet Alexis, il faudrait qu’on soit au moins 10 000. »

    ________________________________________________

    En ce qui me concerne, ma facture n'a pas augmenté. A l'inverse, elle a baissé ! J'espère qu'il n'y a pas d'erreur !!!!!
    Comme je vous le disais le 31 janvier 2009, je ferai le point dans 1 an, soit début 2010. En espérant faire des émules.

  • Le déficit entre production et consommation bio se creuse

    03-06-2009

    A l’occasion du « printemps du bio » du 1er au 15 juin, l’Agence Bio révèle les chiffres de sa nouvelle enquête. De 1999 à 2008, les surfaces cultivées en bio ont plus que doublé, pour atteindre, sur le territoire français, 580 000 ha. Une augmentation notable du nombre de producteurs mais qui ne parvient pas à suivre la demande. Avec une croissance de 25 % par rapport à l’année dernière, les produits bio couvrent aujourd’hui 1,7 % du marché alimentaire. Or, si les Français achètent plus de produits bio pour leur consommation courante, l’Agence note qu’ils en consomment aussi plus qu’avant à l’extérieur de chez eux. La restauration collective a en effet fait de remarquables progrès, en 2008, 36 % des cantines publiques ou d’entreprises servaient des repas bio, au moins de façon occasionnelle.

    Des quatre circuits de distribution identifiés par l’Agence Bio, les grandes surfaces alimentaires (GSA) représentent 42 % des ventes, le reste se répartissant entre différents types de magasins spécialisés et la vente directe par les producteurs. Sur les trois dernières années, la vente directe, à la ferme, sur les marchés ou en paniers, est restée relativement stable. C’est surtout dans les GSA et les magasins spécialisés que la croissance a été importante, de plus de 75 % depuis 2005.
    Tous les produits sont concernés, en passant par les produits laitiers, le pain, la viande, l’épicerie ou encore les boissons. Au total, il convient tout de même de remarquer qu’un tiers de la consommation est importé de l’étranger. Comprenant des produits exotiques, tels le café, le thé ou le cacao, les importations concernent également les produits peu familiers de la production française : le soja, les produits de l’aquaculture ou les fruits et légumes méditerranéens. Pour le reste, les produits importés compensent souvent les déficits en volume de la production française en céréales bio, viandes ou encore légumes.
    Un renfort national semble nécessaire donc, car même s'il y a une légère progression, les producteurs bio français ne représentent encore que 2,4 % du total des exploitations de l’hexagone pour couvrir 2,12 % de la surface agricole (hors surfaces en cours de conversion), soit quasiment la même surface qu'en 2007. La progression a été importante de 1995 à 2003, puis s’est bien ralentie. Il semblerait néanmoins que l’année 2008 marque une nouvelle inflexion de la courbe de croissance (voir graphique).
    Dans cette évolution des productions bio, certaines régions françaises, Pays de la Loire, Rhône-Alpes ou Midi-Pyrénées sont chefs de file. Plus de légumes, de fruits et de bétails, et un record de progression pour la viticulture, mais, en zone de grandes cultures, le bio ne représente toujours qu’1% du total national.

    Si l’Agence bio se félicite, la France reste toujours le plus mauvais élève de l’Europe, loin derrière l’Italie par exemple qui a déjà deux fois plus de terres allouées au bio. Nous sommes aussi, semble-t-il, encore loin du quasi triplement de surface souhaité par le gouvernement pour 2012 (6 % de la surface agricole utile, contre 2,1% en 2007), il y a 18 mois. La bio ne connaît pas la crise de la consommation, or si la demande continue sa progression, notamment avec l’engagement attendu des restaurants collectifs dont 1/3 pourrait bien passer au bio d’ici 2012, des efforts devront certainement être consentis pour soutenir les producteurs et ceux qui souhaitent se convertir. Vincent Perrot de la Fnab (Fédération Nationale d’Agriculture Biologique) reconnaît que « l’actuel ministre de l’agriculture, Michel Barnier, s’est montré volontariste » mais « que le soutien n’a pas encore été suffisant ».

    Elisabeth Leciak

    source :

    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3779


    Espérons que le résultat de la liste Europe écologie va accélérer les choses, et augmenter "l'offre du bio", tout en diminuant "l'offre pesticide".