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France

  • Le temps est venu que vous sachiez.

    Vous ne pourrez pas dire "Ah ? Bon ? Je ne savais pas."
    Le temps est venu que vous sachiez.

    Si je n'arrête pas de dire de ne plus regarder la télé, c'est qu'il y a une raison.

    Qu'on le veuille ou non, c'est comme ça. Ils le veulent. Et la fausse migration en cours est voulu. Ils veulent, en plus de diviser le peuple pour qu'il s'entre-tue, un monde uniforme, mélangé. Oh ! Non, je n'ai pas changé de bord, rassurez-vous. J'ai décidé de faire "mon" monde à moi, de vivre avec ceux d'en-bas, et ignorer ceux d'en-haut, à ma manière.

    Bon visionnage tout est dit ici en 2 fois 10 minutes

     

  • Mais que fait la Franc-maçonnerie ?

     

    Il y a quelques années, je m'intéressais beaucoup à la Franc-maçonnerie. Je souhaitais même y « entrer », comme beaucoup de monde. Mais non pas, comme le veulent certains, pour avoir des privilèges, mais dans le but d'améliorer les choses.

     

    Aujourd'hui, j'en sais un peu plus sur cette confrérie. Ou plutôt sur ces, au pluriel, sociétés secrètes. Où il existe, comme dans la société civile, des maîtres et des esclaves, qu'ils appellent « apprentis ».

     

    Et puis il y a les « bonnes confréries », et les « moins bonnes ». Et parmi les individus qui la composent, il y a de bons éléments, et les moins bons, qui sont parfois gênants. Enfin, il y a les corruptions, les passe-droits, où l'intérêt d'un confère passe avant le droit ou la morale.

     

    Oui, il fut un temps où je pensais que la Franc-maçonnerie était une bonne chose. Un contre-pouvoir à la toute puissante Eglise. Et d'ailleurs, il est fort probable que la loi de séparation entre l'Eglise et l'Etat fut impulsée par les Franc-maçons. C'est mon avis. C'est peut-être vrai, c'est peut-être faux, mais c'est fort probable.

     

    Donc, je souhaitais devenir un des leurs, pensant que je pouvais participer à l'amélioration de la société. Mais quand je vois d'une part, de plus en plus, comment ils fonctionnent (là encore, je ne les mets pas tous dans le même panier), et surtout, comment la société devient, comment l'Etat français disparaît, je me pose des questions. Je me dis :

     

    • soit ce sont eux qui font disparaître la France, et rendent les habitants de moins en moins instruits, de moins en moins soignés ; etc.

    • soit ce ne sont pas eux, et, finalement, ils n'ont vraiment aucun pouvoir, aucune influence.

     

    Dans un cas comme dans l'autre, la Franc-maçonnerie part en cacahuète. Et je suis heureux de ne pas participer à ce chaos qui se déroule devant nos yeux, même si encore aujourd'hui, certains usent et abusent de privilèges.

     

     

     

  • Les média n'en parlent pas. C'est donc faux !

    La grève des cheminots suédois légitime celle des cheminots français !
    Elle devrait devenir un de nos arguments pour dire : exproprier Véolia est nécessaire

    Les Médias n'en parlent pas, mais pendant que les cheminots Français sont en grève, en Suède les cheminots entament leur deuxième semaine de grève ... contre l'opérateur français Véolia !

    Face au désastre de la privatisation sauvage du rail en Grande-Bretagne, la Suède est montrée en modèle au sein de l'Union européenne d'une « libéralisation contrôlée ». La grève actuelle montre bien qu'on a affaire à un mythe, éclairant en ces temps de « réforme ferroviaire » en France. On va avoir droit dans la presse aux poncifs sur la « culture du conflit » en France, idéologique et particulariste, face aux mythifiés pays nordiques où règne une « culture du compromis », empreinte de pragmatisme et d'intérêt général.

    Manque de chance, au moment où le mouvement se construit en France contre la réforme ferroviaire, la Suède connaît une grève dans le secteur du rail qui paralyse déjà depuis deux semaines toute la partie

    méridionale du réseau et menace désormais de s'étendre à tout le pays.

    De la casse des Chemins de fer suédois, à l'ouverture à la concurrence puis la privatisation : un avertissement
    Le système ferroviaire suédois est semi-privatisé. Tout a commencé en 1988 par la séparation de l'infrastructure confiée à BV (Railnational suédois) et maintenu dans le giron public, et un opérateur SJ (Chemins de fer suédois) public, fragmenté en 2001 en sept entreprises, une partie d'entre elles privatisées depuis.

    Il a fallu néanmoins attendre 2010 pour que le gouvernement décide de mettre fin au monopole public de SJ sur le transfert de passagers intérieur.

    Depuis 2010 : une série d'opérateurs privés ont fait leur apparition, comme la Deutsche Bahn allemande dans les lignes du nord ou le luxembourgeois CFL pour le fret à partir du Goteborg.

    Toutefois, le principal investisseur reste le français Veolia qui s'est emparé en quelques années de plusieurs lignes de trains inter-régionaux (ex : Stockholm-Goteborg), des lignes trans-frontalières avec la Norvège ainsi que la majeure partie du réseau méridional suédois.

    Véolia, enfer des cheminots suédois : le règne du contrat « zéro heure »

    Quelle conséquence de cette introduction de la concurrence pour les salariés ?

    La réponse vient du mouvement de grève lancé ce lundi 2 juin sur la « ligne sud » (Södra Stambanan) reliant Malmo à Linkoping, la 4 ème plus importante en taille du pays, paralysant le trafic pour 75 000 passagers.

    La mobilisation est partie de 250 travailleurs, allant des contrôleurs aux conducteurs de train : ce qu'ils reprochaient à Veolia, d'avoir résilié leur contrat à temps plein, avec droits garantis pour les ré-embaucher par la suite en contrat « zéro heure ».

    Des contrats « zéro heure » qui, rappelons-le, permet à l'employeur de confier des tâches à la mission à un salarié, payé à la tâche … et bien sûr non-payé entre-temps, soumis à la volonté despotique de son patron. La précarité ultime.

    Le syndicat réputé combatif SEKO (Syndicat des services et communications) dénonce cette situation et pose deux revendications :

    • limiter le nombre de travailleurs temporaires autorisés à être utilisés dans l'année (maximum de 40 000 h),

    • qu'une année d'emploi temporaire conduise à un recrutement en contrat stable.

    Vers un élargissement de la mobilisation

    Ces revendications, pourtant modestes, ont pour l'instant reçu une fin de non-recevoir de la part de la confédération patronale ALMEGA et de l'entreprise française Veolia.

    Le mouvement va entrer désormais dans sa deuxième semaine de grève, il devraits'étendre : « Nos négociateurs n'ont pas avancé, donc nous devons étendre l'action et faire monter la mobilisation » a confié

    le dirigeant syndical Erik Sandberg au journal suédois The Local. Des trains ont déjà cessé de circuler sur la ligne Malmo-Stockholm, le syndicat a annoncé son intention de lancer un mouvement de grève à Stockholm à partir du 20 juin, si il n'obtenait passatisfaction, en pleine période de vacances estivales.

    Le mouvement de grève qui impliquait à l'origine 250 salariés en touche à présent plus de 1 260. 70 % des Suédois favorables au retour au monopole public !

    Certes, le patronat, la presse locale essaient de monter les usagers contre les cheminots utilisant l'argument économique (« 2 millions de pertes par jour »)… et celui éculé de l'écologie (la pollution causée par la hausse du trafic sur le port d'Oresund, si!).

    Toutefois, cette campagne médiatique que nous connaissons si bien en France ne semble pas marcher en Suède. Car, bien que l'expérience soit courte, la dégradation du service est déjà sensible depuis

    l'ouverture à la concurrence.

    Le système ferroviaire suédois, réputé pour être un des plus efficaces, fiables, égalitaires d'Europe, semble se déliter dangereusement : retards de plus en plus fréquents, hausse des tarifs, sous-investissement, inégalités entre régions.

    Ainsi, les compte-rendus mettent en avant le soutien apporté par les usagers de Malmo, principale ville du sud du pays frappée par la grève, aux travailleurs en lutte.

    Un sondage récent dans le quotidien suédois Dagens Nyheter montre même le haut niveau de conscience de la population suédoise, dépassant les mots d'ordre du syndicat des transports.

    En effet, 70 % des Suédois se déclarent favorables à la ré-introduction du monopole public sur les chemins de fer. Un camouflet pour les partisans zélés de la privatisation du rail !

    Serait-ce tabou de dire que les « réformes ferroviaires » de libéralisation-privatisation ont conduit à des échecs, qu'elles unissent cheminots et usagers dans la volonté de retour au monopole public ?

  • Connards. C'est le mot qui me vient après avoir vu ce film. Et vous ?

  • Retraites. Les contre-arguments de la CGT

    Mardi prochain, 10 septembre, à l'appel de plusieurs organisations syndicales, mais aussi étudiantes, de nombreuses manifestations sont prévues partout en France.

    La raison ?

    Une réforme des retraites qui favorise les grands patrons (ne pas confondre avec les artisans) et qui défavorise, une fois de plus, les salariés.

    Alors que le niveau de vie en bonne santé est en baisse, il devient insupportable de continuer à allonger l'âge de la retraite.

    Vous trouverez les contre-arguments de la CGT ci-dessous, dans les liens, et la vidéo

    - UD CGT du Var

    - UD CGT Gironde

    SOYONS NOMBREUX DANS LA RUE LE 10 SEPTEMBRE !


    Argumentaire pour garder notre système de... par chewi59

  • Le vrai trou de la Sécu


    Ep 14 - A ta santé par CN-PCF

  • Et dans votre boîte, c'est comment ?

  • Pourquoi la France et la Russie ne sont pas des démocraties ?

    Définition du Larousse de "démocratie" : "Système politique, forme de gouvernement dans lequel la souveraineté émane du peuple."

    Une démocratie n'est pas seulement un endroit où on peut dire se qu'on pense sans aller en prison. On peut appeler ça une dictature. Mais si en France on peut dire "nique Sarkozy" sans aller en prison, cela ne fait pas pour autant le pays une démocratie.

    D'après la définition, une démocratie est un pays dont lequel le peuple est souverain.

    Les exemples sont nombreux. Le plus voyant étant le non au référendum européen, passé en force, malgré quelques modifications.

    La France n'est donc pas une démocratie. C'est une oligarchie, est plus justement, une ploutocratie.

  • Le plan de bataille des financiers. Que ce soit Hollande ou Sarkozy

    Le plan de bataille des financiers from mutins on Vimeo.