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syndicat - Page 2

  • A l'attention des politiques et des syndicats (notamment CGT) et des Francs maçons.

  • Centrale nucléaire de Chinon - paroles de salariés

    La privatisation a totalement brouillé les repères et enlevé son sens au travail. Avant, la mission de l'agent était de fournir de l'électricité la moins chère à la nation. Aujourd'hui, il faut vendre de l'énergie.
    Guy Cléraux, secrétaire général du syndicat CGT à la centrale de Chinon.

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    EDF : Les tarifs régulés, c'est fini ?

    1,9 % d'augmentation ? Que nenni ! C'est à une véritable remise à plat des tarifs que se livre en douce EDF. La tarification des plus faibles consommateurs devrait augmenter; celle des gros baisser : un exemple avec le prix de l'abonnement pour les plus petites installations qui passe de 21 euros à 58 euros, soit 172 % d'augmentation. Loin, très loin de l'engagement public de s'en tenir à l'inflation.

     Source : la CGT ensemble
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    Philippe Billard, décontamineur. En procès avec son employeur, le sous-traitant Endef.

    Les relations entre EDF et ses prestataires se sont fortement dégradées en 15 ans.

    On est des bêtes à dose, payées au SMIC.

    Pour ne pas perdre leur contrat, certains vont jusqu'à déclarer en maladie des accidents du travail.

    Il y a la vitrine affichée par EDF : la technologie, la sûreté... Sur le terrain, il y a une profonde détresse, des gens atteints de cancers, victimes de radiation ionisantes.

     Source : la CGT ensemble

  • Une manifestation des salariés de la CAF a dégénéré à Aix-les-Bains (le 25 novembre 2010) le gaz, la nouvelle arme contre la Sécu

    Ce jeudi 25 novembre une manifestation des salariés de la CAF a dégénéré à Aix-les-Bains.

    Venus dénoncer la "casse sociale" dans les CAF, des salariés se sont retrouvés nez à nez avec les forces de l'ordre. La manifestation était organisée par la CGT, devant le Palais des Congrès d'Aix-les-Bains, à l'occasion des Rencontres des présidents des Caisses d'Allocations Familiales de France.

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    Jeudi 25 novembre, ils n'étaient qu'une quarantaine, mais un jet œuf a suffi à déclencher la réaction des forces de police qui ont riposté au gaz lacrymogène. Au-delà de l'incident, pour ces salariés en colère, l'heure n'est pas à la résignation. Ils dénoncent la dégradation des conditions de travail et, par conséquence, du service rendu aux allocataires.

    Une délégation a été reçue par le président du Conseil d'administration et le directeur de la Caisse Nationale d'Allocations Familiales. Ces derniers ont promis de se faire le relais des revendications des salariés auprès du ministre des solidarités et de la cohésion sociale, Roselyne Bachelot-Narquin, attendue ce vendredi à Aix-les-Bains.

    Selon les syndicats, entre 2005 et 2008 les CAF auraient perdu près de 1.000 postes (des départs en retraite non remplacés). Rien que depuis juillet, 200 personnes seraient encore parties et la CGT parle de 900 nouveaux postes supprimés d'ici à 2012.

    SOURCE : France 3 Alpes

  • Entre beau discours et les faits, il y a un "gap", comme dirait un certain directeur !

    Ce vieux Renard, est-ce qu'il serait assez courageux d'expliquer aux Français et aux journalistes que le décifit provient de miliards d'euros d'exonérations de charges ?*

    Non, au lieu de ça, pour faire des économies de personnel et dégrader encore plus la qualité du service rendu, il veut que ce soit les "clients", comme ils les appellent en interne, qui travaillent à la place des salariés (la "dématérialisation" : le "client" enregistre lui-même son dossier par internet, de chez lui). Des bénévoles, quoi. Vous savez, comme dans les magasins Carrefour, où les clients travaillent gratuitement pour "Monsieur Carrefour", avec les petites machines bleues".

    *Les exonérations de cotisations de sécurité sociale, qui bénéficient principalement aux employeurs, ont encore augmenté en 2008 à 30,7 milliards d'euros. Cela représente l'équivalent du déficit record prévu pour la Sécu en 2010, selon des chiffres publiés lundi par l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) qui fédère le réseau des Urssaf chargé de la collecte des cotisations en proportion de la feuille de salaire. […].Le montant des exonérations de cotisations sociales ne cesse d'augmenter depuis les années 1990 et a plus que doublé entre 1999 et 2007

    Source : AFP + http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-12-20/les-exonerations-de-charges-ont-coute-trente-milliards-a-la/916/0/406792


    Philippe Renard, UCANSS
    envoyé par Acteurspublics. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

  • SCANDALEUX !

    En guise de dialogue social, l'Ucanss et son comité exécutif, le
    Comex, ont montré leur vrai visage : gaz lacrimo, CRS et pas
    d'augmentation de la valeur du point.

    Nous étions environ 5000 à venir des 4 coins de la France, à Paris,
    place de la Nation, pour une manifestation en direction des locaux de
    l'Ucanss.

    Un rassemblement des manifestants s'est tenu devant l'Ucanss.
    Une délégation de 25 personnes (représentants nationaux des syndicats
    cgt, fo, cftc, cfe-cgc, sud, snfocos et des représentants salariés
    des régions pour la cgt).

    Philippe Ferrand a porté la voix des salariés caf-cpam-urssaf du var
    et a insisté sur l'appauvrissement du personnel, la politique de casse
    de la Sécu et a demandé oú celle ci s'arrêterait et quelle
    considération le Comex avait des employés et des usagers.

    Petit tour de table pour rappeler la situation des organismes mais
    surtout pour exiger des réponses concrètes en terme d'augmentation de
    la valeur du point.

    Le Comex n a rien trouvé mieux de ressortir du chapeau le lissage des
    14 mois sur 13 et d' argumenter l'impossibilité d'augmenter la valeur
    du point car le ministère ne l'agréerait pas.

    Dans le même temps, les crs sont entrés en action : gaz lacrimo lachés
    et arrestations de deux manifestants heureusement rapidement relâchés.

    Quel mépris face à des milliers de grévistes dans les organismes dont
    5000 manifestaient pacifiquement.

    S'ensuivit une suspension de séance.

    Puis M. Mayer, président du Comex, déclara l'abandon, a priori
    définitif du lissage de la prime vacances et la réouverture de
    négociations salariales rapprochées au 15 février.

    C'est un véritable scandale, nous n'avons pas fait des milliers de
    kilomètres pour entendre cela.

    La pression des salariés doit se poursuivre.

    Un appel national intersyndical est lancé pour le 15 février.

    Nous proposons un mouvement unitaire a la cftc, a fo et au snfocos à
    la caf du var : grève au choix journée ou 55 mn de 15h05 à 16h00 pour
    le 15 février.

    8 février, la cgt de la caf du var.

  • Une manifestation des salariés de la CAF a dégénéré à Aix-les-Bains

    Ce jeudi 25 novembre une manifestation des salariés de la CAF a dégénéré à Aix-les-Bains.

    Venus dénoncer la "casse sociale" dans les CAF, des salariés se sont retrouvés nez à nez avec les forces de l'ordre. La manifestation était organisée par la CGT, devant le Palais des Congrès d'Aix-les-Bains, à l'occasion des Rencontres des présidents des Caisses d'Allocations Familiales de France.

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    Jeudi 25 novembre, ils n'étaient qu'une quarantaine, mais un jet œuf a suffi à déclencher la réaction des forces de police qui ont riposté au gaz lacrymogène. Au-delà de l'incident, pour ces salariés en colère, l'heure n'est pas à la résignation. Ils dénoncent la dégradation des conditions de travail et, par conséquence, du service rendu aux allocataires.

    Une délégation a été reçue par le président du Conseil d'administration et le directeur de la Caisse Nationale d'Allocations Familiales. Ces derniers ont promis de se faire le relais des revendications des salariés auprès du ministre des solidarités et de la cohésion sociale, Roselyne Bachelot-Narquin, attendue ce vendredi à Aix-les-Bains.

    Selon les syndicats, entre 2005 et 2008 les CAF auraient perdu près de 1.000 postes (des départs en retraite non remplacés). Rien que depuis juillet, 200 personnes seraient encore parties et la CGT parle de 900 nouveaux postes supprimés d'ici à 2012.

    SOURCE : France 3 Alpes

  • 7 décembre 2010 : la fin des banques ?

    Voici, en quelques mots simples, l'explication par un homme connu :


    Eric Cantona et les Banques
    envoyé par neho9250. - L'info video en direct.


    Pour ceux qui veulent aller plus loin pour mieux comprendre, prennez 50 minutes, et vous saurez tout !


    L'Argent Dette de Paul Grignon (FR intégral)
    envoyé par bankster2008. - L'info video en direct.

  • Retraites : un oubli qui en dit long…

    Retraites : un oubli qui en dit long…

               
                Dans son article « Financement des retraites : l’enjeu des cotisations patronales », Bernard FRIOT, professeur d’économie et sociologie à l’
    université Paris X, écrivait : « On oublie toujours, quand on raisonne sur l’avenir des retraites, que le PIB progresse d’environ 1,6 % par an, en volume, et donc qu’il double, à monnaie constante, en 40 ans. C’est pourquoi nous avons pu multiplier par 4,5 les dépenses de pension depuis 1960 ».

                Pourquoi une information aussi déterminante est-elle censurée ?    Parce que tout simplement un petit calcul facile, montrerait que ceux qui nous gouvernent, nous prennent pour des demeurés.

             - En effet : si aujourd’hui 10 actifs produisent un gâteau de 100 et qu’ils ont à charge 4 retraités. C’est 14 personnes qui se partagent un gâteau de 100. Ainsi la part de chaque personne est de (100 : 14) soit 7,14.
             - Si dans quarante ans, 10 actifs produisent un gâteau de 200 et qu’ils ont à charge 8 retraités. Ce seront 18 personnes qui se partageront un gâteau de 200. Ainsi la part de chaque personne sera de (200 : 18) soit 11,1.

                C’est limpide ! Il sera donc possible de financer des retraites au même niveau qu’avant leurs réformes à remonter le temps. De plus, la part de gâteau restante pour l’investissement et l’élévation du niveau de vie sera bien plus importante en 2040 (en monnaie constante).

                Alors, où est donc le problème ?
               
    Pourquoi cet acharnement à détruire un système qui fonctionne bien ? Parce que le système social français, mis en place par le Conseil national de la résistance (CNR) en 1945, met en rage les hommes d’affaires et les financiers pour des raisons évidentes.
                Par exemple, il leur est impossible de réaliser des plus values « boursières » sur 40% de notre part salariale (les fameuses cotisations sociales patronales) qui payent notre retraite et notre santé, en toute dignité et responsabilité. N’oublions pas que ces cotisations sociales représentent notre salaire différé qui est le fruit de notre travail. Il ne s’agit ni d’assistanat ni de charité patronale comme le laisse entendre une mauvaise propagande.


                Et c’est bien là que se situe tout l’enjeu de leurs réformes : les classes dirigeantes rêvent de faire main basse sur notre salaire différé.          Pour s’emparer de cette « galette », leur stratégie consiste à réduire nos droits pour nous contraindre, de plus en plus, à financer notre santé et notre retraite par des assurances privées.
                Ils ont d’ailleurs déjà commencé : les réductions de cotisations patronales se multiplient depuis 2002 et atteignent déjà près de 30 milliards chaque année. Combien de ces 30 milliards sont allés aux investissements productifs ? Combien d’emplois créés ? Quelle efficacité au regard des sommes englouties ? Quelle évaluation ? De plus, le fait que notre système fonctionne bien sans aller faire un tour sur les tapis verts des casinos boursiers met en évidence l’inutilité et le rôle prédateur des acteurs de la sphère financière.

                           
    Ceci est confirmé de façon magistrale dans le Monde Diplomatique de Février sous le titre :                               « Faut-il fermer la bourse? »

  • Dans la lignée de "l'appel de Coluche" pour l'élection présidentielle, j'appelle à être nombreux DANS LA RUE LE 1er MAI :

    Dans la lignée de "l'appel de Coluche" pour l'élection présidentielle, j'appelle à être nombreux DANS LA RUE LE 1er MAI :

    - ceux qui n'arrivent pas à boucler les fins de mois
    - ceux qui en ont marre de faire la queue et d'attendre des mois que leur dossier soit traité, quelque soit l'administration concernée
    - ceux qui en ont marre de pa...yer de plus en plus pour la santé
    - ceux qui en ont marre que l'Etat verse de l'argent aux banques, à l'industrie pharmaceutique au lieu de rembourser ce qu'il doit à la sécu, et nous font croire que "les caisses sont vides" !
    - ceux qui ne comprennent pas pourquoi des entreprises qui font des bénéfices puissent fermer des usines et délocaliser pour faire encore plus de bénéfices
    - ceux qui ne comprennent pas le gouvernement quand il dit "il faut baisser les charges des entreprises", et les petits commerçants ne voient rien venir !
    - ceux qui se sentent traités comme des moins que rien dans leur entreprise
    - ceux qui essayent de travailler, mais dont on se fout complètement, qu'on utilise, qu'on presse, qu'on jette pour en prendre des tous neufs qu'on fait espérer
    - ceux qui n'ont jamais fraudé l'Assédic, la Sécu, la Caf ou l'Urssaf (ou très peu...) et qui sont écœurés de voir des hommes politiques mafieux en liberté !

    JE NE VEUX PLUS VOUS ENTENDRE VOUS PLAINDRE ! JE VEUX VOUS VOIR DANS LA RUE !!!