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Sarkozy - Page 15

  • Sécurité sociale

    "Sécurité sociale : Sarkozy propose une cinquième branche spécifique pour la dépendance - 11/06/07
     
    Lors du 47ème congrès de l'Union nationale des associations de parents et amis de personnes handicapées mentales (UNAPEI), Nicolas Sarkozy a annoncé samedi que le gouvernement projette de "mettre en place une cinquième branche de la protection sociale pour prendre en charge la dépendance". La dépendance concerne actuellement en France 2 millions de personnes."
     
    C'est bien beau tout ça, mais comment il va financer ? Je rappelle que la politique actuelle de la Sécurité sociale est la réduction des effectifs. Alors comment peut-on créer une nouvelle branche de la Sécu, en réduisant les effectifs ? Bayrou avait raison sur le financement douteux des 2 "grands" candidats. 

  • Sarko Bourré en public

    Certains trouveront ça drôle. Je trouve ça désolant. Quand je dis qu'il ne tiendra pas 5 ans... Pour être Président, il faut non seulement avoir la carrure, mais aussi tenir l'alcool !

     

    Sarkozy bourré au G8 ! - Jubii TV
    Le président Français qui ne boit pas, qui se veut un grand homme a fait bien pâle figure à cette conférence de presse.

    Le monde peut commencer à rire :P
     
     
  • Créer des problèmes, pour obtenir des solutions

     

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     Stratégies et techniques pour la manipulation de l'opinion publique et de la société...


    1 La stratégie de la diversion

    Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes.

    La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.


    « Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

    2 Créer des problèmes, puis offrir des solutions

    Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine ou  des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


    3 La stratégie du dégradé

    Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.


    4 La stratégie du différé

    Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
    Exemple récent: le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

     

    5 S'adresser au public comme à des enfants en bas-age

    La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?
    "Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

    6 Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion

    Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

    7 Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise

    Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

    "La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures."
    (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

     

    8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

    Encourager le public à trouver "cool" le fait d'être bête, vulgaire, et inculte...

     

    9 Remplacer la révolte par la culpabilité

    Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution!...

    10 Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes

    Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

     

     

  • Bon, M. Sarkozy, maintenant que vous êtes Président,

    j'espère que vous respecterez vos engagerements :

     http://lalliance-2007.org/

  • Petite précision

     Communiqués de presse

     

    03/05/2007
    Suites du débat Sarkozy - Royal : le nucléaire ne couvre que 17% de l'énergie consommée en France



    Suite aux chiffres erronés annoncés lors de leur débat par M Sarkozy et Mme Royal, le Réseau "Sortir du nucléaire" tient à rappeler quelques données fondamentales :

    Le nucléaire représente 78% de l'ELECTRICITE produite en France, mais il ne couvre finalement que 17% de l'ENERGIE consommée dans l'hexagone. Le nucléaire représente d'ailleurs à peine 2% de l'énergie consommée sur la planète, ce qui en fait une énergie marginale (bien que le risque nucléaire soit, lui, maximal).

    Le chiffre de 50% avancé par M. Sarkozy ne correspond tout simplement à rien. Il s'est d'ailleurs aussi lourdement trompé en confondant les générations de réacteurs.

  • Les notes des deux candicats

    L’écologie a-t-elle une place dans les programmes des candidats à la présidentielle ?medium_logo_allies.JPG
    C’est à cette question que l’Alliance pour la planète s’est efforcée de trouver une réponse en étudiant les programmes de 10 candidats.

  • Pour les indécis

    Pour ceux qui hésitent entre "Ségo et Sarko", voici le bilan et le programme de Sarko.medium_Sarkozy_ambition5.2.jpg

    En tout cas, j'aurais fait mon boulot, et avec d'autres, on vous aura prévenu (ça me rappelle un certain Chirac qui avait prévenu les Américains d'un truc, mais je ne me souviens plus très bien...)

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  • Nuage de Tchernobyl : Nicolas Sarkozy doit s'expliquer

    Communiqué de presse du mardi 24 avril 2007

    A deux jours de la date anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl (26 avril 1986), le Réseau "Sortir du nucléaire" demande à  Nicolas Sarkozy de s'expliquer sur son (in)action à propos des conséquences du passage du nuage de Tchernobyl sur la France et sur sa part de responsabilité dans le mensonge d'Etat qui a été mis en oeuvre à cette occasion et par la suite.

    En effet, en 1987, quelques mois à peine après la catastrophe de Tchernobyl et la contamination de la France par le nuage radioactif, M. Sarkozy était Chargé de mission pour la lutte contre les risques chimiques et radiologiques au ministère de l'Intérieur. (*)

    M. Sarkozy, qui prétend dire toutes les vérité
    s (**) et briser tous les tabous, ne s'est-il pas de lui-même posé des questions ? N'a-t-il pas entendu parler du nuage de Tchernobyl ?

    Plus tard, M. Sarkozy a occupé le poste de ministre de l'Intérieur de mai 2002 à mars 2004, puis de juin 2005 à mars 2007 : il a donc eu largement l'occasion de prendre connaissance des informations sur les conséquences du passage sur la France du nuage de Tchernobyl et de les rendre publiques. Il n'en a rien fait.

    Une telle mise au point est d'autant plus nécessaire que M. Sarkozy s'est révélé être un infatigable promoteur de l'industrie nucléaire, que ce soit lors de son passage au ministère de l'économie (de mars à novembre 2004) ou lors de différentes interventions en tant que Président de l'UMP.

    NB : Les associations membres du Réseau "Sortir du nucléaire" organisent ces jours-ci, un peu partout en France, des initiatives de commémoration de la catastrophe de Tchernobyl. Cf :

    http://groupes.sortirdunucleaire.org/spip.php?mot6 <http://groupes.sortirdunucleaire.org/spip.php?mot6>

    *********************************

    (*) Etrangement, cet épisode ne figure pas dans la biographie de M. Sarkozy présentée sur le site web de l'UMP :

    Par contre, on en trouve trace ici :
    www.lexpress.fr/info/france/dossier/sarkozy/dossier.asp?ida=433332 <http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/sarkozy/dossier.asp?ida=433332>


    (**) Le 19/10/2005, M. Sarkozy déclare : "Il n'est pas normal, dans une grande démocratie comme la nôtre, que le secret continue de régir l'action de l'administration, et, à la vérité, des élus qui la dirigent. Des erreurs comme celles de l'amiante, le mystère qui entoure le trajet exact du nuage de Tchernobyl, ne sont plus acceptables".
    http://www.u-m-p.org/site/index.php/ump/s_informer/discours/convention_de_l_ump_sur_l_ecologie_le_19_octobre_2005__1
  • Pour le "plaisir"

    J'ai essayé de ne pas prendre parti entre les 2 tours. C'est plus fort que moi... 

     

     

    MA PREFEREE :