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politique - Page 27

  • Strauss Kahn pour sauver la gauche ? Mais de qui se fout-on ?

    Un sondage récent dit que DSK serait en tête des personalités du PS pour les prochaines élections présidentielles (laissons déjà finir les 5 ans du riche con actuel).

    Vous n'avez pas compris qu'ils sont complices ? Ca serait prendre le relais, et continuer pour les intérêts de leurs amis banquiers, de l'industrie phamaceutique, et religieux.

    Je me souviens toujours de cette phrase de DSK (je ne la retrouve pas sur le net, mais l'INA doit l'avoir) : jamais un juif ne sera élu président en France car les Français sont anti-sémites.

    Non, jamais 1 mais 2 à la suite !

    Rendez-vous en 2012.

    strauss_kahn_sarkozy_S._de_Sakutin_AFP-3-40914.jpg
  • Nous ne sommes pas des numéros !

    De plus en plus trop souvent, pour ne pas dire toujours, les allocataires sont vraiment considérés comme des numéros par nos cadres et nos directeurs.

    "Nous n'atteignons pas les chiffres" ;  "Mets cette pièce en SSU ou SFG, mais je ne veux plus la voir !" ; "Je sais que ça vous frustre, mais ne restez pas plus de 3 minutes au téléphone" ;

    Les exemples sont nombreux.

    J'ai trouvé une vidéo, à l'attention des directeurs, des cadres, des gouvernants, pour rappeler à quoi sert la CAF, la caisse d'allocations familiales :

    vu sur :

    http://cgtcafvar.over-blog.com/article-non-je-ne-suis-pas-un-numero--39935604.html

  • Quand le RSA est taxé pour financer… le RSA

    source : politis.fr

     

    Quand le RSA est taxé pour financer… le RSA

    En recevant leur déclaration trimestrielle envoyée par leur Caisse d’allocations familiales, nombre de personnes éligibles au Revenu de solidarité active (RSA) découvrent avec surprise que leurs (maigres) ressources sont taxées pour financer le RSA…

    Un vent de panique est en train de souffler sur le Revenu de solidarité active (RSA) avec l’arrivée récente, selon les départements, des déclarations trimestrielles permettant de toucher ce revenu. Quelques personnes éligibles au RSA m’ont envoyé leur déclaration et, vérification faite, une subtile taxe a été mise en place, qui concerne tous les éligibles au RSA, qu’ils soient d’ex-RMistes, allocataires de l’allocation de parent isolé (API) ainsi que des salariés pauvres touchant une partie du RSA.

    Le gouvernement avait estimé à près de 3,5 millions de personnes qui pouvaient prétendre au RSA, dont 1 million de Rmistes et environ 2 millions de salariés. Le coût du RSA, estimé à 10 milliards d’euros, devait être financé pour moitié par les conseils généraux (les départements), l’autre moitié étant financée par l’Etat.

    En fait, ce mode de financement masque une taxation que le site Internet du Haut commissariat aux solidarités actives contre la pauvreté a été récemment contraint de mettre au jour. Le Haut commissariat a en effet été obligé de mettre en ligne, le 2 octobre, une réponse aux « inquiétudes [qui] se sont récemment manifestées sur le formulaire de demande du RSA à propos de la déclaration des revenus d’épargne ».

    La confirmation des inquiétudes des allocataires du RSA, une information qui a peu circulé ces dernières semaines, suscite quelques remous dans les CAF : « Oui les revenus de l’épargne quelle que soit la forme de cette épargne sont pris en compte au même titre que les autres revenus perçus par le foyer (salaires, pensions, retraites, etc.) », avoue le Haut commissariat (voir aussi l’encadré ci-dessous). Cette disposition, qui ne figure pas sur le formulaire de demande RSA, et qui est inscrite dans la rubrique 041 (autres revenus) des déclarations trimestrielles, concerne tous les livrets, y compris le livret A, et donc la petite épargne utilisée par les personnes les plus précaires qui ne peuvent avoir accès au système bancaire classique.

    Cette taxation des ressources des allocataires au RSA est très perverse : Par exemple, elle consiste à déduire du RSA 3 % du montant de l’indemnité de licenciement que vient de percevoir une personne au chômage. Et si cette somme a été déposé, par exemple sur un livret A, 4 % seront déduit du RSA.

    Explication : une personne au chômage éligible au RSA vient de percevoir une indemnité de licenciement s’élevant à 10 000 euros. La caisse d’allocations familiales déduira du RSA 3 % des 10 000 euros, soit 300 euros, soit 25 euros mensuels. Ôtez ces 25 euros sur les 447 euros (maximum) que peut percevoir une personne seule sans emploi alors que le seuil de pauvreté est évalué à 817 euros, et vous avez une (petite) idée de la situation de grande pauvreté qu’est en train de provoquer cette discrète taxation des revenus des pauvres qui sert finalement à financer… le RSA.

    K., qui vit dans un village de l’Ariège, salariée saisonnière avec contrat de son employeur, seule avec ses trois enfants, a perdu son boulot et n’en revient pas : « Je viens de toucher une prime de licenciement, je suis éligible au RSA, mais sur la prime de 1 000 euros on va m’enlever 3 % pour payer mon RSA ! ». Elle me parle de son voisin âgé de 42 ans, « séropositif depuis 23 ans, vivotant de petits boulots » : « Il n’a pas droit au crédit et il a des enfants. Il a mis de l’argent de côté, mais le cash est sur son livret A et il a un livret d’épargne populaire (LEP) avec 42 000 euros dessus. Il n’a plus droit au RSA, car le RSA vient compléter son revenu d’environ 800 euros, mais la somme dérisoire disparaît avec la taxe, ce qui n’était pas le cas avec le RMI ».

    Tous les comptes sont concernés : livret A, le LEP, le livret enfant, le compte courant, l’assurance vie, le PEL, etc., explique K. qui obtenu ses informations de la CAF, le service des impôts et sa banque ignorant l’existence de ce dispositif. « La CAF a accès aux informations bancaires via les impôts sans qu’il y ait besoin d’enquête. Le fait d’être au RSA est suffisant », précise aussi K. qui témoigne d’un phénomène en cours : « Les gens commencent à retirer en masse leurs économies pour les mettre dans les matelas et cela commence à se savoir ». La déclaration trimestrielle contient en effet cette mention : « Attention, vos déclarations seront systématiquement vérifiées l’année suivante auprès du service des impôts ».

    Résumons : ces personnes m’expliquent que «  pour les malades HIV, cancer et autre qui ne peuvent avoir de crédit, qui ont économisé pour payer cash les études des gamins ou le logement se retrouvent éligible au RSA mais ne touchent plus rien car le 3 % déduit du montant du RSA » le réduit à… peau de chagrin.

    Pour toucher le RSA, les allocataires ont aussi une autre charge à supporter, qui a fait l’objet d’une polémique récente et a été médiatisée parce qu’un élu de l’UMP s’en était étonné. Elle concerne les Rmistes inscrits au RSA. Un certain nombre d’entre eux ont réussi à trouver un petit boulot complété par le RSA. Surprise, ils sont « imposés au titre de la taxe d’habitation et de la redevance audiovisuelle », a reconnu le Haut commissariat. Ainsi les allocataires qui travaillent vont devoir payer la redevance audiovisuelle, à partir de 2011.

    « Le gain lié » au RSA reste toujours supérieur au montant de la taxe d’habitation et à la redevance audiovisuelle payées », assure le Haut Commissariat de Martin Hirsch. C’est sans compter sur lle bel édificice de taxation qui concerne la totalité des ressources et, surtout, c’est faire peu de cas de la situation vécue par ces personnes vivant sous le seuil de pauvreté.


    Encadré

    Dans les CAF, tous les revenus sont pris en compte

    Pour bénéficier du RSA, le demandeur doit justifier de ses revenus. Une démarche habituelle en matière d’allocation sociale. Les revenus pris en compte sont l’ensemble des ressources, « de quelque nature qu’elles soient, de toutes les personnes composant le foyer » (Art.r 262-6) pendant les 3 derniers mois précédant la demande. Le contrôle repose lui sur les dispositions du Code de l’action sociale et de la famille, qui autorise la Sécurité sociale à vérifier le « train de vie » des bénéficiaires. Concernant le RSA, les éléments d’évaluation à fournir sont très complets (Art.R. 262-74). Lors d’une conférence de presse, le 28 mai, les administrateurs CGT de la Caisse nationale d’allocations familiales (Cnaf) ont dénoncé cette situation qui oblige les futurs allocataires à signaler que toutes les démarches concernant l’obtention des droits liés à leur situation ont été entreprises y compris par voie judiciaire (exemple de la pension alimentaire qui doit être réclamée à ses ascendants), l’obligation d’inscription au pôle emploi avec sanctions à la clé (exemple des 2 emplois ou formations proposés à accepter sous menace de radiation), la déclaration des biens et éléments de train de vie (exemples : épargne, patrimoine et autres éléments dits de confort) qui font l’objet, pour leur contrôle par les Caf, d’une circulaire très précise établie par la Direction de la Sécurité sociale (voiture, équipement ménager et informatique, etc.).

  • Administrateurs corrompus : l'EPAD, oui, mais les CAF aussi !

    J'entends souvent dire "tout le monde le sait, mais personne ne dit rien".... Aaah... Cette fameuse loi sur la diffamation !
    Oui, pour accuser quelqu'un, il faut des preuves. Et c'est normal, sinon, où irions-nous ? C'est pourquoi les lignes qui suivent doivent être considérées comme une fiction. Une fiction d'un futur "roman-réalité", peut-être ?

    "L'administrateur : - bonjour

    Le "patron" : - bonjour. Tu veux un café ?

    - je veux bien, oui, oui.

    - j'ai appris que le contrat de ta fille n'était pas renouvelé ?

    - oui, oui, j'ai été surpris d'apprendre ça.

    - tu sais... les salariés... c'est une charge importante, et nous n'avons qu'un budget limité.

    - oui, oui, je sais.

    - je crois que ça peut s'arranger. Attends, je passe un coup de fil. [...]. Et voilà ! C'est arrangé !

    - je suis béni ! oui, oui... Mais... Je pensais, que le rôle des administrateurs était de veiller à ce que le service rendu aux allocataires soit le meilleur possible.

    - tu rigoles ! C'est juste une façade. Le vrai rôle des administrateurs se limite à arrondir ses fins de mois avec les indemnités de déplacement dans les diverses commissions à la noix, et à placer les membres de sa famille dans la boite !
    Euh... au fait...

    - oui ?

    - tu sais, il y a prochainement une réunion du conseil...

    - oui.

    - je vais présenter les grandes lignes de nos objectifs. C'est quelque chose de très important, et...

    - tu peux compter sur moi, va ! Tu as ma voix !

    - eh ! Bien... c'est vraiment professionnel de ta part.

    - oui, oui."

    http://cgtcafvar.over-blog.com/

  • 02 11 2009 SM

  • "Ce sera une vaccination facultative"

    Grippe A : les élèves invités à se faire vacciner

    France Info - Hier, 06:59

    "Ce sera une vaccination facultative", a précisé hier Luc Châtel, le ministre de l’Éducation nationale. Mais les douze millions d’élèves scolarisés en France de la maternelle au lycée vont tous recevoir un bon de vaccination, à partir du 25 novembre.

    Les parents vont recevoir ce bon de vaccination, par l’intermédiaire de la Caisse nationale d’assurance maladie. Les élèves du primaire pourront alors se rendre dans "des centres de vaccination de proximité", accompagnés de leurs parents. Tandis que les collégiens et lycéens volontaires, seront vaccinés dans leur établissement.

    "Il n’y aura donc aucune obligation", a insisté Luc Châtel hier sur France 2. "Ce sont les parents qui décideront si oui ou non leur enfant doit être vacciné". Le ministre en revanche n’a donné aucune indication sur la vaccination des 850.000 enseignants.

     

    MAIS...... est-ce vraiment facultatif ? déjà, le 16 octobre.... :

     

  • Le « ras-le-bol » de la CAF

    Le « ras-le-bol » de la CAF

    Les grévistes s'apprêtent à rejoindre le conseil d'administration

    SOCIAL. Hier au siège havrais de la CAF, les salariés ont manifesté pour réclamer une dizaine d'embauches.

     

    Dans les rangs de la CAF havraise, la queue des clients n'en finit pas de s'allonger. Et c'est chaque jour de pire en pire, à en croire la vingtaine d'employés de la Caisse d'allocations familiales, qui ont débrayé 55 minutes hier pour protester contre une politique de réduction des effectifs.

    Un manque à gagner
    Une première manifestation regroupant une cinquantaine de salariés s'est tenue le 22 octobre dernier, à l'issue de laquelle cinq employés en contrats à durée déterminée se sont vus titularisés. Les mesures prises ont néanmoins été jugées insuffisantes et ont donné lieu, hier après-midi, à une seconde grève. Les manifestants réclament alors, à l'occasion d'un conseil d'administration, dix embauches supplémentaires afin de pallier le manque de personnel.
    Car au sein des équipes de travail, le non-remplacement des départs en retraite et des mutations a engendré un certain « phénomène de ras-le-bol », constate Michel Marion, conseiller technique d'action sociale à la CAF et délégué CGT.

    Au quotidien, les équipes de la CAF gèrent les dossiers des allocataires et se chargent de l'accueil téléphonique et publique, avec un objectif : ne pas faire patienter les clients plus de vingt minutes.

    La pression monte
    Une mission qui engendre son lot de stress. « On nous met la pression pour avancer plus vite », dénonce Michel Marion.

    « C'est un cercle vicieux », enchaîne Josette Hernandez, itinérante conseil. « Plus nous prenons de retard dans le traitement des dossiers, plus les allocataires sont nombreux à se déplacer. Nous mettons donc tout en œuvre pour les accueillir, mais faute de personnel, les dossiers sont délaissés. Résultat, le retard s'accumule. » Actuellement, la CAF en est à traiter les dossiers du 28 septembre dernier. « Mais quand un dossier est trop arriéré, l'allocataire peut perdre un mois de droits », regrette Michel Marion. A ce constat, le délégué ajoute une certitude : « Avec la crise économique, les demandes d'allocations vont aller croissant. »


    Aline Chartrel

    source :

    http://cgtcafvar.over-blog.com

  • SM > LE FILS PREFERE

  • Suicides au travail : à quand la vérité des chiffres ?


    Alors qu’à France-Télécom on vient de déplorer un vingt-cinquième suicide en 18 mois, et que la direction du groupe semble encore peu prompte à reconnaître l’ampleur du phénomène « souffrance au travail » au sein de l’entreprise, voici quelques pistes de réflexion puisées dans ce que l’on sait déjà sur le suicide, et le suicide au travail en particulier. Car le phénomène n’est pas nouveau mais, sans doute ces dernières années, prend-t-il de l’ampleur. En témoigne le cas France-Télécom.
    [...]

    Le suicide mieux reconnu en accident du travail

    Autres chiffres annoncés tout récemment par la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam) et dévoilés par le quotidien « les Echos » : sur 72 demandes de reconnaissances de suicides comme accidents du travail, reçues entre janvier 2008 et juin 2009, la Cnam a répondu positivement pour 28 d’entre elles. Cinq demandes sont encore en cours d’examen.

    Parmi ces demandes, recense la Cnam, 85% des victimes étaient des hommes âgés de 40 à 57 ans. Dans un cas sur deux, le suicide s’est produit au travail. Ce qui tendrait à prouver que les suicides en-dehors du lieu de travail ont tendance à être mieux reconnus comme étant liés à l’activité professionnelle. Mais ces chiffres ne concernent, selon Les Echos, que les entreprises du secteur privé. S’ils ne rendent pas compte de la difficulté des démarches, pour les familles (3), ils ont le mérite de rendre concret le phénomène.

    -> lire l'article complet

  • Vaccination grippe A obligatoire ou pas ?