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Le revenu de base
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Manifestation du 19 octobre - Toulon
Journée du 19 Octobre 2010 TOULON
envoyé par ulcgtlaseyne. - Regardez les dernières vidéos d'actu. -
Si j'étais terroriste...
Si j'étais terroriste...
envoyé par Mecanopolis. - Regardez les dernières vidéos d'actu.Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelle "Sarko l'Américain". Il reproduit en France ce que les Etats-Unis ont faits ces dernières décennies :
- rendre dépendant les citoyens en les endettants (En disant "je veux une France de propriétaires",... il fait entendre : 'Je veux une France d'endettés").
- rendre de plus en plus difficile l'accès à l'éducation et à la santé (sous prétexte d'économies, Sarko l'Américain détruit tous les services publics, et rend ces services accessibles seulement à ceux qui en ont les moyens, ou bien les plus endettés recherche un travail supplémentaire !) -
Le gouvernement a peur !
Il a peur de la jeunesse, car elle est imprévisible. L'Autorité n'aime pas ce qu'il ne maîtrise pas !
Il a peur du blocage : il menace d'envoyer les forces de l'ordre face aux grévistes !
C'est la même France, qui donne des leçons à la Chine, à l'Iran, à l'Afrique...
Oui, il existe d'autres moyens de financements des retraites (faites les recherches). Le passage de l'âge de la retraite à 62 et 67 ans n'est puremennt idéologique, pour faire "plaisir" aux oganismes de notation et au FMI.
Lire ce diaporama intéressant :
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Des économistes « atterrés » lancent un manifeste
Ils sont économistes et se déclarent « atterrés » par l’archaïsme des politiques économiques européennes, élaborées sous la pression de la Commission européenne, du FMI et des agences de notation. Cette « orthodoxie néolibérale » risque bien d’accroître l’instabilité, les inégalités, et d’aggraver la crise européenne. Basta ! publie un extrait de leur manifeste, ouvert à signatures, qui dénonce de nombreux clichés, en particulier sur l’augmentation de la dette publique.
Le « Manifeste d’économistes atterrés » est téléchargeable intégralement ci-dessous. Ses auteurs ont créé un blog.
FAUSSE EVIDENCE N° 4 :
L’envolée des dettes publiques résulte d’un excès des dépenses
Michel Pébereau, l’un des « parrains » de la banque française, décrivait en 2005 dans l’un de ces rapports officiels ad hoc, une France étouffée par la dette publique et sacrifiant ses générations futures en s’adonnant à des dépenses sociales inconsidérées. L’État s’endettant comme un père de famille alcoolique qui boit au dessus de ses moyens : telle est la vision ordinairement propagée par la plupart des éditorialistes. L’explosion récente de la dette publique en Europe et dans le monde est pourtant due à tout autre chose : aux plans de sauvetage de la finance et surtout à la récession provoquée par la crise bancaire et financière qui a commencé en 2008 : le déficit public moyen dans la zone euro n’était que de 0,6% du PIB en 2007, mais la crise l’a fait passer à 7% en 2010. La dette publique est passée en même temps de 66% à 84% du PIB.
Cependant la montée de la dette publique, en France et dans de nombreux pays européens a d’abord été modérée et antérieure à cette récession : elle provient largement non pas d’une tendance à la hausse des dépenses publiques – puisqu’au contraire celles-ci, en proportion du PIB, sont stables ou en baisse dans l’Union européenne depuis le début des années 1990 – mais de l’effritement des recettes publiques, du fait de la faiblesse de la croissance économique sur la période, et de la contre-révolution fiscale menée par la plupart des gouvernements depuis vingt-cinq ans. Sur plus long terme la contre-révolution fiscale a continûment alimenté le gonflement de la dette d’une récession à l’autre.
Ainsi en France, un récent rapport parlementaire chiffre à 100 milliards d’euros en 2010 le coût des baisses d’impôts consenties entre 2000 et 2010, sans même inclure les exonérations de cotisations sociales (30 milliards) et d’autres « dépenses fiscales ». Faute d’harmonisation fiscale, les États européens se sont livrées à la concurrence fiscale, baissant les impôts sur les sociétés, les hauts revenus et les patrimoines. Même si le poids relatif de ses déterminants varie d’un pays à l’autre, la hausse quasi-générale des déficits publics et des ratios de dette publique en Europe au cours des trente dernières années ne résulte pas principalement d’une dérive coupable des dépenses publiques. Un diagnostic qui ouvre évidemment d’autres pistes que la sempiternelle réduction des dépenses publiques.
Pour restaurer un débat public informé sur l’origine de la dette et donc les moyens d’y remédier nous mettons en débat une proposition :
Mesure n° 9 : Réaliser un audit public et citoyen des dettes publiques, pour déterminer leur origine et connaître l’identité des principaux détenteurs de titres de la dette et les montants détenus.
FAUSSE EVIDENCE N°5 :
Il faut réduire les dépenses pour réduire la dette publique
Même si l’augmentation de la dette publique résultait en partie d’une hausse des dépenses publiques, couper dans ces dépenses ne contribuerait pas forcément à la solution. Car la dynamique de la dette publique n’a pas grand chose à voir avec celle d’un ménage : la macroéconomie n’est pas réductible à l’économie domestique. La dynamique de la dette dépend en toute généralité de plusieurs facteurs : le niveau des déficits primaires, mais aussi l’écart entre le taux d’intérêt et le taux de croissance nominal de l’économie.
Car si ce dernier est plus faible que le taux d’intérêt, la dette va s’accroître mécaniquement du fait de « l’effet boule de neige » : le montant des intérêts explose, et le déficit total (y compris les intérêts de la dette) aussi. Ainsi, au début des années 1990, la politique du franc fort menée par Bérégovoy et maintenue malgré la récession de 1993-94 s’est traduite par un taux d’intérêt durablement plus élevé que le taux de croissance, expliquant le bond de la dette publique de la France pendant cette période. C’est le même mécanisme qui expliquait l’augmentation de la dette dans la première moitié des années 1980, sous l’impact de la révolution néolibérale et de la politique de taux d’intérêts élevés menée par Ronald Reagan et Margaret Thatcher.
Mais le taux de croissance de l’économie lui-même n’est pas indépendant des dépenses publiques : à court terme l’existence de dépenses publiques stables limite l’ampleur des récessions (« stabilisateurs automatiques ») ; à long terme les investissements et dépenses publiques (éducation, santé, recherche, infrastructures...) stimulent la croissance. Il est faux d’affirmer que tout déficit public accroît d’autant la dette publique, ou que toute réduction du déficit permet de réduire la dette. Si la réduction des déficits plombe l’activité économique, la dette s’alourdira encore plus. Les commentateurs libéraux soulignent que certains pays (Canada, Suède, Israël) ont réalisé de très brutaux ajustements de leurs comptes publics dans les années 1990 et connu immédiatement après un fort rebond de la croissance.
Mais cela n’est possible que si l’ajustement concerne un pays isolé, qui regagne rapidement de la compétitivité sur ses concurrents. Ce qu’oublient évidemment les partisans de l’ajustement structurel européen, c’est que les pays européens ont pour principaux clients et concurrents les autres pays européens, l’Union européenne étant globalement peu ouverte sur l’extérieur. Une réduction simultanée et massive des dépenses publiques de l’ensemble des pays de l’Union ne peut avoir pour effet qu’une récession aggravée et donc un nouvel alourdissement de la dette publique.
Pour éviter que le rétablissement des finances publiques ne provoque un désastre social et politique nous mettons en débat deux mesures :
Mesure n°10 : Maintenir le niveau des protections sociales, voire les améliorer (assurance-chômage, logement…) ;
Mesure n°11 : accroître l’effort budgétaire en matière d’éducation, de recherche, d’investissements dans la reconversion écologique... pour mettre en place les conditions d’une croissance soutenable, permettant une forte baisse du chômage.
FAUSSE EVIDENCE N°6 :
La dette publique reporte le prix de nos excès sur nos petits-enfants
Il est une autre affirmation fallacieuse qui confond économie ménagère et macroéconomie, celle selon laquelle la dette publique serait un transfert de richesse au détriment des générations futures. La dette publique est bien un mécanisme de transfert de richesses, mais c’est surtout des contribuables ordinaires vers les rentiers.
En effet, se fondant sur la croyance rarement vérifiée selon laquelle baisser les impôts stimulerait la croissance et accroîtrait in fine les recettes publiques, les États européens ont depuis 1980 imité les USA dans une politique de moins-disant fiscal systématique. Les réductions d’impôt et de cotisations se sont multipliées (sur les bénéfices des sociétés, sur le revenu des particuliers les plus aisés, sur les patrimoines, sur les cotisations patronales...), mais leur impact sur la croissance économique est resté très incertain. Ces politiques fiscales anti-redistributives ont donc aggravé à la fois, et de façon cumulative, les inégalités sociales et les déficits publics.
Ces politiques fiscales ont obligé les administrations publiques à s’endetter auprès des ménages aisés et des marchés financiers pour financer les déficits ainsi créés. C’est ce qu’on pourrait appeler « l’effet jackpot » : avec l’argent économisé sur leurs impôts, les riches ont pu acquérir les titres (porteurs d’intérêts) de la dette publique émise pour financer les déficits publics provoqués par les réductions d’impôts... Le service de la dette publique en France représente ainsi 40 milliards d’euros par an, presqu’autant que les recettes de l’impôt sur le revenu. Tour de force d’autant plus brillant qu’on a ensuite réussi à faire croire au public que la dette publique était la faute des fonctionnaires, des retraités et des malades.
L’accroissement de la dette publique en Europe ou aux USA n’est donc pas le résultat de politiques keynésiennes expansionnistes ou de politiques sociales dispendieuses mais bien plutôt d’une politique en faveur des couches privilégiées : les « dépenses fiscales » (baisses d’impôts et de cotisations) augmentent le revenu disponible de ceux qui en ont le moins besoin, qui du coup peuvent accroître encore davantage leurs placements notamment en Bons du Trésor, lesquels sont rémunérés en intérêts par l’impôt prélevé sur tous les contribuables. Au total se met en place un mécanisme de redistribution à rebours, des classes populaires vers les classes aisées, via la dette publique dont la contrepartie est toujours de la rente privée.
Pour redresser de façon équitable les finances publiques en Europe et en France nous mettons en débat deux mesures :
Mesure n°12 : redonner un caractère fortement redistributif à la fiscalité directe sur les revenus (suppression des niches, création de nouvelles tranches et augmentation des taux de l’impôt sur le revenu…)
Mesure n°13 : supprimer les exonérations consenties aux entreprises sans effets suffisants sur l’emploi
Signataires :
Philippe Askenazy (CNRS, Ecole d’économie de Paris) - Thomas Coutrot (Conseil scientifique d’Attac) - André Orléan (CNRS, EHESS) - Henri Sterdyniak (OFCE)
Le manifeste complet :
Pour signer le manifeste : atterres (a) gmail.com
SOURCE : bastamag.net
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Aux électeurs qui ont le coeur à gauche : attention à DSK !
Les sondages... encore les sondages....
DSK (Dominique Strauss Khan) serait le seul candidat de "gauche" à pouvoir battre Nicolas Sarkozy en 2012.
DSK.... de gauche ?
Vous savez peut-être qui DSK est au FMI.
Vous savez peut-être aussi que c'est Nicolas Sarkosy, très bon ami de DSK, qui a souteneu la candidature de DSK au FMI.
Vous savez peut-être moins le fonctionnement et le but du FMI.
Le FMI, entre autre, octroie des prêts à des Etats, pour... les aider... En réalité, le FMI est en train de "prendre en main" les Etats. Je m'explique.
Le FMI, en prêtant des sommes énormes aux Etats, est en train d'endetter ces derniers. Ces Etats, enfettés sont déjà en train de vendre leurs patrimoines des entreprises privées, principalement chinoises.
Le FMI espère un jour être la banque du futur gouvernement mondial. (En comparaison, l'OTAN serait l'armée de ce gouvernement mondial).
On voit déjà que les Etats, en Europe, ont de moins en moins de pouvoirs. Le budget de la France se décide à Bruxelle ! Et ce n'est qu'un début !
Bref, tout ça pour en venir au fameux DSK, complice de tout ça, de cette volonté du futur gouvernement mondial, ou nouvel ordre mondial.
Et vous, gens de gauche, vous voulez voter pour lui ?
Sarkozy nouvel ordre mondial
envoyé par Chevalier_du_Christ. - L'actualité du moment en vidéo. -
C'était le 23 mars dernier : Greepeace accusait AREVA
Greenpeace accuse Areva de mettre en danger la vie des NigériensLe numéro un mondial du nucléaire civil, le groupe Areva, est mis en cause dans un rapport de l'organisation internationale Greenpeace. Les riverains des sites exploités par la multinationale seraient exposés à des radiations nocives pour la santé.Par Dépêche (texte)AFP - L'organisation internationale de défense de l'environnement Greenpeace a accusé le groupe français Areva de mettre en danger la santé des riverains des mines d'uranium qu'il exploite dans le nord du Niger, dans un rapport publié lundi.
Greenpeace exige qu'une étude indépendante établisse le niveau de radiation dans deux cités minières, Arlit et Akokan (nord-ouest du Niger), et demande leur décontamination.
Areva, numéro un mondial du nucléaire civil, est le premier employeur privé au Niger, pays sahélien très pauvre, où l'entreprise exploite des gisements d'uraniumun.
"Les habitants d'Arlit et d'Akokan vivent entourés d'air empoisonné, de terres contaminées et d'eau polluée. Chaque jour qui passe, les Nigériens sont exposés aux radiations, à la pauvreté et aux maladies", assure Greenpeace.
L'organisation a mené une enquête à Arlit et à Akokan en novembre 2009 en collaboration avec la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD, France) et le Réseau des Organisations pour la Transparence et l'Analyse Budgetaire (ROTAB, Niger).
Dans un rapport de trente pages, non exhaustif selon l'ONG, Greenpeace a mis en évidence des concentrations anormales d'uranium dans le sol, et de radon, un gaz naturel radoactif, dans l'air, ou encore la présence sur les marchés de matériels radioactifs recyclés, provenant des mines.
Les prélèvements ont été effectués aux abords des mines comme dans les deux localités, où vivent environ 80.000 personnes.
Ainsi, par exemple, "dans quatre échantillons sur cinq d'eau recueillis par Greenpeace dans la région d'Arlit, la concentration d'uranium était supérieure à la limite recommandée par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) pour l'eau potable", écrit l'organisation écologiste.
Areva a assuré en janvier qu'il organiserait "d'ici fin 2010" une inspection générale des sites qu'il expolite au Niger pour démontrer l'absence d'exposition radioactive de la population.
Source : France24.com
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A l'unisson pour la retraite - Prêts pour le 23 ?
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Retraites : un oubli qui en dit long…
Retraites : un oubli qui en dit long…
Dans son article « Financement des retraites : l’enjeu des cotisations patronales », Bernard FRIOT, professeur d’économie et sociologie à l’université Paris X, écrivait : « On oublie toujours, quand on raisonne sur l’avenir des retraites, que le PIB progresse d’environ 1,6 % par an, en volume, et donc qu’il double, à monnaie constante, en 40 ans. C’est pourquoi nous avons pu multiplier par 4,5 les dépenses de pension depuis 1960 ».
Pourquoi une information aussi déterminante est-elle censurée ? Parce que tout simplement un petit calcul facile, montrerait que ceux qui nous gouvernent, nous prennent pour des demeurés.
- En effet : si aujourd’hui 10 actifs produisent un gâteau de 100 et qu’ils ont à charge 4 retraités. C’est 14 personnes qui se partagent un gâteau de 100. Ainsi la part de chaque personne est de (100 : 14) soit 7,14.
- Si dans quarante ans, 10 actifs produisent un gâteau de 200 et qu’ils ont à charge 8 retraités. Ce seront 18 personnes qui se partageront un gâteau de 200. Ainsi la part de chaque personne sera de (200 : 18) soit 11,1.C’est limpide ! Il sera donc possible de financer des retraites au même niveau qu’avant leurs réformes à remonter le temps. De plus, la part de gâteau restante pour l’investissement et l’élévation du niveau de vie sera bien plus importante en 2040 (en monnaie constante).
Alors, où est donc le problème ?
Pourquoi cet acharnement à détruire un système qui fonctionne bien ? Parce que le système social français, mis en place par le Conseil national de la résistance (CNR) en 1945, met en rage les hommes d’affaires et les financiers pour des raisons évidentes.
Par exemple, il leur est impossible de réaliser des plus values « boursières » sur 40% de notre part salariale (les fameuses cotisations sociales patronales) qui payent notre retraite et notre santé, en toute dignité et responsabilité. N’oublions pas que ces cotisations sociales représentent notre salaire différé qui est le fruit de notre travail. Il ne s’agit ni d’assistanat ni de charité patronale comme le laisse entendre une mauvaise propagande.
Et c’est bien là que se situe tout l’enjeu de leurs réformes : les classes dirigeantes rêvent de faire main basse sur notre salaire différé. Pour s’emparer de cette « galette », leur stratégie consiste à réduire nos droits pour nous contraindre, de plus en plus, à financer notre santé et notre retraite par des assurances privées.
Ils ont d’ailleurs déjà commencé : les réductions de cotisations patronales se multiplient depuis 2002 et atteignent déjà près de 30 milliards chaque année. Combien de ces 30 milliards sont allés aux investissements productifs ? Combien d’emplois créés ? Quelle efficacité au regard des sommes englouties ? Quelle évaluation ? De plus, le fait que notre système fonctionne bien sans aller faire un tour sur les tapis verts des casinos boursiers met en évidence l’inutilité et le rôle prédateur des acteurs de la sphère financière.
Ceci est confirmé de façon magistrale dans le Monde Diplomatique de Février sous le titre : « Faut-il fermer la bourse? » -
Manifestation du 7 septembre
Toulon : manif du 7 Septembre 2010
envoyé par ulcgtlaseyne. - L'info video en direct.