Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 20

  • Le Var dit "NON" au gaz de schiste

    Départements concernés en partie par le "permis de Brignoles" :
    Var, Alpes de Haute Provence, Alpes Maritimes, Bouches du Rhône.

     

    RIEN N'EST FAIT -  LA PRESSION DOIT CONTINUER.
    Venez TOUS dire "NON au Gaz de Schiste"- VENDREDI 15/04 à BRIGNOLES
    Rassemblement 14 h parking Ch. de Gaulle - Passage devant mairie 15h
    Réception délégation par M. le Sous Préfet 15h30

    Nous remettrons à Monsieur le Sous Préfet vos pétitions et une lettre demandant
    le rejet ferme et définitif de la demande de ce désastreux permis dit "de Brignoles".
    Elus varois, nous sommes certains que vous serez, très nombreux, en tête de cette manifestation citoyenne.

    Vous toutes et tous qui serez à la manif. du 15 avril,
    préparez banderoles, pancartes type
    "Votre commune dit NON au Gaz de Schiste".
    affiches, tracts
    ... exclusivement en rapport avec "NON au Gaz de Schiste".

     

    Mercredi 13 à Fayence salle des fêtes à 18h30, réunion publique   

    Vendredi 15 à Brignoles 14h00 Rassemblement (place du marché) Manifestation Remise des pétitions à la sous préfecture  

    Samedi et dimanche 16-17 à La Farlède Foire Bio le 16 à 14h00 conférence nous y avons un stand pour 2 jours

    Samedi 16 à Barjols centre Elias 15h30,  réunion publique   

    Mardi 19 à Moustiers mairie à 20h30, réunion publique   

    Mercredi 20 à Cuers Salle oustau per tutti 18h00,  réunion publique     
    Vendredi 22 à Aups centre culturel 18h00, réunion publique   

    Mardi 26 à Seillons source d'Argens salle des Cigales 18h00 réunion publique   

    Vendredi 29 à Sillans la Cascade Salle du conseil à la mairie 18h00,  réunion publique  

     

    http://gazdeschiste-collectif-var.over-blog.com/

  • Les hommes politiques ne veulent pas renoncer à l'énergie nucléaire ? Vous en avez le pouvoir !

    Bien sûr, et on ne le répètera jamais assez, on ne peut pas arrêter aujourd'hui les centrales nucélaires existantes.

    MAIS...

    Vous avez le pouvoir de donner votre argent à une coopérative qui fourni de l'électricité d'origine renouvelable.

    Avec EDF SA, mon argent allait au nucléaire et aux actionnaires
    Avec Enercoop, il va aux énergies renouvelables et à l'économie solidaire
    www.enercoop.fr

    Vous avez le pouvoir de choisir les hommes et les femmes politiques
    qui ont choisi de changer de société.

    http://www.eelv.fr

    Je voulais mettre une vidéo sur les conséquences d'une personne
    fortement irradiée, mais vous avez le choix de faire les recherches
    par vous-même, les images n'étant pas belles à voir.
  • Quand Sarko fait de la pub pour le rafale au lieu d'aller au Japon

    Nicolas Sarkozy avait dit qu'il irait soutenir les Japonnais.

    Au lieu de ça, il fait une belle campagne de pub pour le Rafale, vous savez, l'avion qui ne se vend pas, de son ami Dassault.

  • Centrale nucléaire de Chinon - paroles de salariés

    La privatisation a totalement brouillé les repères et enlevé son sens au travail. Avant, la mission de l'agent était de fournir de l'électricité la moins chère à la nation. Aujourd'hui, il faut vendre de l'énergie.
    Guy Cléraux, secrétaire général du syndicat CGT à la centrale de Chinon.

    ______________________________________________

    EDF : Les tarifs régulés, c'est fini ?

    1,9 % d'augmentation ? Que nenni ! C'est à une véritable remise à plat des tarifs que se livre en douce EDF. La tarification des plus faibles consommateurs devrait augmenter; celle des gros baisser : un exemple avec le prix de l'abonnement pour les plus petites installations qui passe de 21 euros à 58 euros, soit 172 % d'augmentation. Loin, très loin de l'engagement public de s'en tenir à l'inflation.

     Source : la CGT ensemble
    _____________________________________________

    Philippe Billard, décontamineur. En procès avec son employeur, le sous-traitant Endef.

    Les relations entre EDF et ses prestataires se sont fortement dégradées en 15 ans.

    On est des bêtes à dose, payées au SMIC.

    Pour ne pas perdre leur contrat, certains vont jusqu'à déclarer en maladie des accidents du travail.

    Il y a la vitrine affichée par EDF : la technologie, la sûreté... Sur le terrain, il y a une profonde détresse, des gens atteints de cancers, victimes de radiation ionisantes.

     Source : la CGT ensemble

  • Nostradamus n'a qu'à aller se coucher !

    nostradamus;2012Mes prédictions pour les élections présidentielles, d'ici 2012 :

    - des sondages, encore des sondages, toujours des sondages (là, tout le monde, peut le prédire)

    - Sarkozy qui fait le con, toujours le con, encore le con (ça aussi, tout le monde peut le prédire)

    - Marine le Pen qui monte dans les sondages, à cause des conneries de Sarkozy

    - d'autres sondages, qui indiquent que Dominique Strauss Khan est la personnalité la mieux placée pour battre le Président sortant (là, je me mouille pas)

    - la gauche tremble... veut des primaires. Mais des primaires, pas seulement ouvertes aux possesseurs de carte, car sinon, ils désigneraient Ségolène Royal. Alors, ils "ouvrent" les primaires à tous les Français, les "sympathisants de gauche". Mais dans tous les Français, peuvent aussi voter les gens de droite ! Et qui vont-ils choisir... Je vous l'donne Emile...... DSK !

    - Premier tour des élections : arrivent en tête DSK et Marine Le PEN. politique,président,2012,dsk,sarkozy,le pen,élection

    - est élu Président de la région France (ah ! Oui, parce que la Nation France n'existera plus avec DSK. Vous l'ignoriez ?) : le mondialiste Dominique Strauss Khan - Frère politique et religieux de Nicolas Sarkozy.

    C'est le scénario idéal qu'ont prévu les "Mondialistes" que sont l'UMP et le PS. Mais si au 2nd tour, il n'y avait ni un UMP, ni un PS ? Ca serait pas une petite révolution tranquille ?

  • Dans les CAF, des agents sous pression et des allocataires en attente de prestations

    Dans les CAF, des agents sous pression et des allocataires en attente de prestations

    Dans les Caisses d'allocations familiales, la crise et l'arrivée du RSA encombrent les guichets. Face à ces nouveaux arrivants et aux nouveaux modes de management, les agents sont débordés et «perdent le sens du métier». Et pour les allocataires, les retards sont légion.


    Article publié le mercredi 09 mars 2011


    La queue s’allonge au guichet de la Caisse d’allocations familiales
    du XVIIIe arrondissement de Paris. «Pour gagner du temps,
    venez au bon moment !» : sur la porte, les horaires sont surlignés
    en rouge. Au téléphone, avant d’avoir un agent, l’accueil se fait
    par un chaleureux : «La CAF étant fortement surchargée, il est
    conseillé de ne pas vous rendre aux accueils, de ne pas téléphoner
    et de ne pas envoyer de mails.»
    CAF du XIXe arrondissement
    Les CAF sont en burn-out . Depuis deux ans, les stocks de
    dossiers à traiter s’accumulent. À Marseille comme à Paris, le
    nombre de journées qu’il faudrait pour «liquider» la totalité des
    dossiers ?ce qui implique de ne recevoir ni courriers ni visites ?
    est de quatre. «Une bonne moyenne» par rapport aux autres CAF.
    Note d’information du conseil d’administration de la CNAF du
    1er février 2011
    Mais pour les allocataires, cela ne signifie pas que le courrier est
    traité dans les quatre jours après son arrivée. En Seine-et-Marne,
    le stock est de 12 jours de retard. Toutefois, dans les paniers,
    certains courriers d’il y a plus d’un mois n’ont toujours pas été
    ouverts. Pour Pierre-Claude Monnier, administrateur CGT à la
    CNAF et président de la CAF du Val-d’Oise, certains dossiers
    peuvent avoir jusqu’à quatre mois de retard. Une situation largement
    aggravée depuis deux ans.
    Comme pour les allocations personnalisées au logement (APL).
    Marc, étudiant de 24 ans, vient tout juste de les recevoir. Mais
    son loyer, il le paye depuis octobre. «J’ai de la chance de ne pas
    être dépendant à 100% de la CAF !»
    Précarité et RSA
    La faute à la crise tout d’abord. Depuis 2008, les allocataires sont
    plus nombreux. Les déclarations de changements de situation ont
    grimpé, de pair avec les courriers et les visites. Et avec cette
    hausse de la précarité s’ajoute pour les employés «une certaine
    agressivité à l’accueil» .
    Puis la faute au RSA (Revenu de solidarité active). Entre juin
    2009 et juin 2010, le nombre de bénéficiaires des CAF a augmenté
    de 20%. Depuis le 1er septembre 2010, il est étendu aux
    moins de 25 ans. Et, du fait des conditions d’attributions compliquées
    et finalement limitées, «beaucoup de jeunes viennent alors
    qu’ils ne peuvent pas y prétendre», indique Jean-Luc Lefebvre,
    syndicaliste CGT de la CAF de Lille. La pile de courriers s’élève.
    Après le RSA, en ce début d’année a été réformée l’allocation
    aux adultes handicapés (AAH). Désormais, pour la percevoir, les
    déclarations doivent être faites tous les trimestres, contre une fois
    par an auparavant. Et les retards nuisent aux retards : les allocataires
    désirant savoir où en sont leur dossier se rendent aux accueils
    ou téléphonent.
    Par ailleurs, la lutte contre les fraudes est devenue un mot d’ordre,
    rappelé avec dans la dernière Convention d’objectifs et de gestion
    (COG). La Cour des comptes, dans un rapport de septembre 2010,
    mettait cependant en garde :
    Rapport de la Cour des comptes, p.187
    Face à cette pression accrue, les contrôleurs s’estiment trop
    peu nombreux pour respecter les objectifs. «Nous sommes huit
    contrôleurs pour 120.000 allocataires» , compte une contrôleuse
    lilloise. A Paris, «ils sont trente aujourd’hui contre cinquante il y
    a dix ans, pour 400.000 allocataires» , détaille un syndicaliste. À
    Lyon, depuis deux ans, le service fraude emploie six techniciens...
    qu’il emprunte au service de traitement des dossiers.
    Non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux
    Le personnel se sent d’autant plus surchargé que, depuis juillet
    2010, un départ à la retraite sur deux n’est pas remplacé. D’ici
    2012, il faudra supprimer 58 postes sur 550 dans le Nord, 73 sur
    1.200 à Paris (où la CAF comptait 2.000 employés en 1992), 22
    sur 880 à Lyon.
    Lors de la mise en place du RSA en 2009, 1.257 postes ont été
    accordé pour gérer ce travail supplémentaire ? contre 1.800 réclamés.
    Mais, ajoute Antoine Leborgne, à la CGT, «la convention
    d’objectifs et de gestion (COG) précise qu’à la fin 2012, il doit
    en rester 80» . Des chiffres que réfute la Caisse nationale : «Il
    s’agit des départs à la retraite avec le non-remplacement d’un
    départ sur deux à compter de juillet 2010. Au total, la branche
    Famille disposera d’un nombre de postes supérieurs en 2012 que
    fin 2008.» La création du RSA jeunes, elle, ne s’est pas accompagnée
    de recrutements.
    Aucune inquiétude pour les allocataires, veulent rassurer les syndicats
    : les économies de postes ne se feront pas à l’accueil ou sur
    les techniciens conseils en charge du traitement des dossiers. Mais
    les travailleurs sociaux et les conseillères en économie sociale et
    familiale devraient en pâtir.
    Et pour les conseillers techniques, la pression reste identique.
    Toutes les CAF ont des objectifs chiffrés : 85% des dossiers de
    1
    Directeur de la publication : Edwy Plenel Directeur éditorial : François Bonnet
    minima sociaux doivent être traités en dix jours, 85% des autres
    pièces doivent être traités en moins de quinze jours. Il faut répondre
    à 90% des appels téléphoniques. Le temps d’attente à l’accueil
    doit être inférieur à 20 minutes. Des chiffres pas toujours
    respectés, mais en amélioration par rapport à 2009, se réjouit la
    CNAF :
    Note d’information du conseil d’administration de la CNAF du
    1er février 2011
    Note d’information du conseil d’administration de la CNAF du
    1er février 2011
    Nombre de dossiers traités en moins de 15 jours
    Nombre de dossiers traités en moins de 15 jours - conseil d’administration
    de la CNAF du 1er février 2011
    «On travaille en flux tendu, on ne connaît plus que ça !»
    s’indigne-t-on dans plusieurs CAF. Et comme une partie du salaire
    des employés, en intéressement, en dépend, les syndicats
    parlent d’une diminution des revenus ces deux dernières années.
    Du côté de la direction de la Caisse nationale, on ne nie pas
    l’alourdissement des charges. Pour y remédier, elle a mis en place
    un «atelier de régulation des charges» (ARC) dès juin 2009. De
    manière électronique, 37 CAF n’accusant pas de retard en aident
    52 autres en récupérant un stock de dossiers. Comme à la CAF
    de Paris : «Cette semaine, on aide la Guadeloupe ; la semaine
    prochaine, c’est l’Essonne.» Avec parfois les difficultés : dans les
    DOM, la législation est différente.
    «On ne fait que de la gestion d’indicateurs»
    Un des moyens pour réguler les charges est la «mutualisation» :
    mettre en commun les équipes pour traiter plus de dossiers plus
    rapidement. Ainsi, la CAF de Nancy s’occupe de la paye de la
    Meuse, etc.
    P.20 de la Convention d’objectifs et de gestion entre l’Etat et la
    Cnaf
    En outre, cette année, les CAF doivent être départementalisées :
    chaque CAF locale vera son administration regroupée au niveau
    départemental. Le Nord, et ses huit CAF, devrait être le plus touché.
    Pour la caisse nationale, le réseau «gagnera en cohérence»,
    et elle rassure : «L’ensemble des emplois seront maintenus et il
    n’y aura aucune mobilité forcée. Les 2.000 points d’accueils dédiés
    aux allocataires sont maintenus.»
    À Nancy, l’an dernier, le centre d’appels a transféré une partie de
    ses appels à la CAF de Moulins qui sous-traite son centre d’appels
    à une société privée. «Vingt plateaux de renfort ont permis, durant
    six mois de prendre en charge plus de 40% du flux téléphonique
    de la branche famille» , précise la CNAF. Avec des effets limités.
    «Mes collègues à l’accueil recevaient des personnes à qui le
    centre d’appels n’avait pas pu répondre et leur avait dit de passer
    » , raconte Pierre Nordemann, représentant CGT à la CAF de
    Nancy. De telles opérations ont également lieu aux services courriers,
    en charge de scanner les documents pour les envoyer aux
    CAF.
    Faute de pouvoir recruter, les recours aux CDD se multiplie : 5
    mois et 20 jours, pour ne pas les titulariser. «Et on est obligé de les
    former à chaque fois», rappelle-t-on. Tout comme les techniciens
    finalement embauchés après un départ à la retraite : la formation
    dure un an.
    Alors chaque CAF s’organise pour traiter le stock de dossiers.
    Sur la façade, ce sont des jours non ouverts au public pour traiter
    les dossiers ici ou là. Parfois, de manière durable, comme dans les
    antennes extérieures de la CAF de Lille qui ferment leurs accueils
    les mardis, parfois même les mercredis, et pendant les vacances
    scolaires.
    Et puis il y a le recours aux heures supplémentaires. Quasi inexistantes,
    il y a encore quatre ans.
    Volume d’heures supplémentaires, note d’information issue du
    conseil d’administration de la CNAF 1er fevrier 2011
    Elle peuvent devenir obligatoires lorsqu’il n’y a pas suffisamment
    de volontaires, comme en Seine-et-Marne. Ce recours a tendance
    à se systématiser : «On doit faire 1.800 heures supplémentaires
    entre fin janvier et début mars, en travaillant plus longtemps en
    journée et quatre samedis sur six, raconte Pierre Nordemann, ça
    correspond à peu près à un temps plein sur une année ! L’an dernier,
    des collègues ont atteint les 220h supplémentaires (durée
    maximale par an).» Une syndicaliste reconnaît : «De toute façon,
    on n’est pas assez pour faire le travail.»
    Pour respecter les objectifs, «on traite les dossiers en moins de
    10 jours en décembre pour compenser le fait qu’on en met 16 en
    moyenne en janvier» , indique Jean-Luc Lefebvre à Lille. «Aujourd’hui,
    on ne fait que de la gestion d’indicateurs.»
    Au courrier, même besoin. Toujours dans le Nord, «on traite le
    dernier courrier mais on laisse celui qui est là depuis un mois et
    demi» .
    Pressions et dépressions
    Du coup, les agents dénoncent un «travail d’usine» . Le 8 février,
    4.000 employés des différentes caisses sociales manifestaient à
    Paris, contre leurs conditions de travail. «Avant on traitait une
    famille, aujourd’hui on ne traite plus que des dossiers» , soulignait
    une employée. A Lyon, les agents passent une journée sur
    des dossiers d’aide au logement, la journée suivante sur une autre
    prestation... «C’est une perte d’intérêt», constate Karine Bougain
    de FO. À Marseille, «on a des pressions pour accepter de
    faire des heures supplémentaires ou pour prendre des congés à
    certaines périodes de l’année. À l’accueil, les cadres ont un outil
    : lorsqu’ils estiment que l’agent reste trop longtemps avec un
    allocataire, ça allume une lumière rouge» , raconte Gérard Senatore.
    Dans cette CAF, le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions
    de travail (CHSCT) a remis un rapport d’expertise soulignant
    des «conditions de travail moralement éprouvantes» pour
    les travailleurs sociaux.
    2
    Directeur de la publication : Edwy Plenel Directeur éditorial : François Bonnet
    Rapport CHSCT p.48 Rapport CHSCT p.49
    «Le travail est mal fait, dans l’urgence. Nous devons traiter 30
    dossiers par jour et on envisage de nous faire passer à 35 , dénonce
    Pierre Nordemann. Je suis à la CAF depuis fin 2008, et
    ce qui m’a frappé, c’est le niveau de désespoir des agents. Ils ne
    voient pas d’évolution positive.»
    Depuis les suicides à France Télécom, le stress des agents est attentivement
    mesuré. «Les arrêts maladies de courte durée se multiplient
    » , ajoute Gérard Senatore. Des chiffres que la direction de
    la CAF 13 n’est pas en mesure de fournir. Elle indique cependant
    que les taux d’absentéisme maladie de courte et longue durée sont
    restés stables entre 2008 et 2009.
    Questionnée, la Caisse nationale renvoie sur la hausse du nombre
    de dossiers due à la crise. «La CNAF et les CAF locales travaillent
    de concert pour, à la fois, aider les salariés à travailler dans de
    meilleures conditions et servir au mieux nos 11 millions d’allocataires.»

    source : mediapart.fr