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La Terre et les humains sont uniques et fragiles. Préservons-les - Page 65

  • Centre de stockage pour déchets nucléaires : 20 départements compatibles

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    "AFP - 20.06.08 - quelque vingt départements disposent d'un terrain géologique a priori compatible avec l'accueil d'un centre de stockage de déchets radioactifs "de faible activité à vie longue", a indiqué vendredi l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).
     
    Dans ces vingt départements (Ardennes, Aude, Aveyron, Cher, Eure, Indre, Lot, Marne, Haute-Marne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Oise, Pas-de-Calais, Bas-Rhin, Seine-Maritime, Somme, Tarn-et-Garonne, Vosges), inclus dans huit régions, 3.115 communes sont "susceptibles d'accueillir le centre", a déclaré à l'AFP Jacqueline Eymard, porte-parole de l'Andra."

     Réseau "Sortir du nucléaire" - Fédération de 820 associations

    Communiqué de presse du vendredi 20 juin 2008
    Contact presse : 06 64 100 333

    Stockage de déchets radioactifs :
    3115 communes concernées dans 20 départements !

    Le Réseau "Sortir du nucléaire"
    diffuse la carte de sites menacés
    et appelle à une manifestation le samedi 12 juillet 2008 à Paris

    http://www.sortirdunucleaire.org/12juillet-paris/ 

  • Un coup de gueule de Nicolino : y a t-il encore des militants écologistes ?

    Un texte qui questionne.

    40 ans mais plus toutes ses dents
    http://fabrice-nicolino.com/index.php


    Publié le 31 mai 2008

    L'autre jour, à l'assemblée générale d'une association de journalistes dont je suis membre, les Journalistes pour la nature et l'écologie (JNE). (..), j'ai entrepris Thierry Jaccaud, lui aussi JNE et par ailleurs rédacteur-en-chef de la revue L'Écologiste. Sur quel sujet ? Celui-là même que je vais vous exposer. En un mot, le mouvement écologiste et de protection de la nature, en France, est dans une situation de faillite.

    De quand date ce mouvement ? De 1969. Avant cette date, le discours sur la nature et sa protection était la propriété privée des vieilles barbes et des sociétés savantes.

    Depuis la fin du 19ème siècle jusqu'à l'après 68 en effet, il y a eu monopole. Seuls les scientifiques, les naturalistes - et quelques poètes déjà chevelus - ont pu, ont su évoquer le sort de la planète et de ses équilibres naturels. Il n'y a pas l'ombre d'un reproche. Le reste de la société était occupé ailleurs.

    Survient mai 1968. Survient du coup une génération en rupture avec ses aînés. L'écologie, très présente dans la culture underground des États-Unis tout au long des années soixante, devient chez nous une force intellectuelle et bientôt sociale. Cette même année 1968 se crée la Fédération française des sociétés de protection de la nature (FFSPN), qui deviendra en 1990 France Nature Environnement (FNE).

    Les professeurs y font toujours la loi, mais cela ne va pas durer.

    Cela ne dure pas, car le réel se manifeste enfin. Décrété en 1963, notre premier parc national, celui de la Vanoise, est menacé en 1969 d'une amputation sauvage, pour faire plaisir aux promoteurs d'une station de ski. Tel est le point de départ, le point zéro. Des centaines de milliers de personnes signent une pétition portée par une partie notable du tout jeune mouvement de mai. Et les bagarreurs gagnent, contre l'État.

    Le combat pour la Vanoise dope toute une série de grandes associations régionales, à commencer par la Frapna, mais aussi Bretagne Vivante (alors Sepnb) ou Alsace nature. À cette époque, la plupart des militants sont de jeunes enthousiastes, antinucléaires et, osons le gros mot, anticapitalistes. Presque tous, au fil des ans, feront le choix de la longue marche dans les institutions.

    Je ne juge pas, je vous le jure. Confrontées à une menace qu'elles analysaient mal, les associations ont tout misé sur la concertation, la discussion et le rapprochement, dût-il parfois être difficile. Ils ont cru de bonne foi que la France était le cadre nécessaire et suffisant, que la création du ministère de l'Environnement en 1971 était une bonne nouvelle, que leurs partenaires locaux finiraient par jouer le jeu dès lors qu'ils auraient suffisamment été informés. Mais ils se sont lourdement trompés.

    Pendant des décennies, et jusqu'à aujourd'hui, des milliers, des dizaines de milliers de bénévoles ont investi les structures officielles les plus abstruses : les commissions départementales d'hygiène, des sites, des déchets, des carrières, que sais-je ? Ils se sont engloutis, la machine les a intégralement digérés. Parallèlement, par un processus inévitable, et qui ne met pas en cause les personnes, les associations se sont institutionnalisées. Elles ont réclamé des subsides publics, les ont obtenus, et se sont progressivement enchaînées elles-mêmes.

    Aujourd'hui, FNE fédère officiellement 3 000 associations locales, thématiques ou régionales. C'est un réseau impressionnant, mais le drame est qu'il ne sert à rien. J'entends déjà les cris, y compris d'amis, et qu'on me pardonne, mais je persiste : à rien.

    Je sais la quantité d'efforts consentie, ou plutôt, je l'imagine (mal). Des centaines de milliers de soirées ont été offertes en cadeau à la société, mais allons de suite au résultat, cela m'évitera d'être méchant.

    En 1969, par aveuglement, nul ne comprenait. L'affaire de la Vanoise est d'ailleurs symptomatique. Le mouvement naissant croyait qu'il fallait, qu'il suffisait d'aligner des victoires locales pour inverser le courant général. On gagnerait dans la montagne, puis dans la plaine, puis sur la mer, etc. La pédagogie ferait le reste. Nul ne voyait la nature des forces en présence, et le caractère connecté, écosystémique, global des menaces sur la vie.

    Ce mouvement s'est alors engagé dans une impasse totale, en traitant chaque jour avec des acteurs inconscients, mais imposants, de la destruction du monde. Et ces derniers ont gagné, car ils étaient la force, tandis que le mouvement s'est enlisé, épuisé, avant de s'arrêter au bas d'une côte qu'il ne montera jamais.

    Qui oserait me dire que la situation générale est meilleure qu'en 1969 ?

    Qui ? Nous sommes passés d'une situation inquiétante à un état du monde angoissant. Tous les grands équilibres - de la planète, pas de notre minuscule pays - sont proches d'un point de rupture qui peut nous mener au chaos général. Et FNE continue de siéger, impavide, dans toutes les structures que l'État, son financier principal, lui désigne. Je viens de lire une « lettre » de FNE à notre président Sarkozy sur les biocarburants, que je juge déshonorante pour nous tous (ici). Usant de tournures alambiquées, ce texte, qui aborde la question de la faim de manière incidente, ne réclame même pas l'arrêt des subventions françaises à cette industrie criminelle. Nous en sommes là !

    Pas question de mordre la main qui vous nourrit.

    Bien entendu, ce bilan calamiteux ne se limite pas à FNE. Un jour peut-être, la véritable histoire du WWF sera écrite. Et ce jour-là, la surprise sera au programme, croyez-moi. Car cette association internationale financée par l'industrie n'aura cessé de chercher et de trouver des accommodements avec les pires transnationales. Par exemple en osant « vendre » à la société l'idée d'un usage soutenable du bois tropical. Ou du soja. Ou des biocarburants. Cette politique-là est simplement scandaleuse, et tout le monde se tait.

    Mais pas moi.

    Disant cela, je n'oublie pas que d'authentiques écologistes, dont certains sont des amis, travaillent pour le WWF. Je ne les cite pas, car je ne veux pas les mettre dans l'embarras. Et je ne souhaite pas même qu'ils quittent l'association, car ils y font malgré tout un travail utile. Mais enfin, regardons les choses en face : le WWF accompagne la marche à l'abîme des sociétés humaines et du vivant.

    Greenpeace ? J'ai été membre du Conseil statutaire de ce groupe pendant des années. Ne me demandez pas ce que c'est, car je l'ignore. Pour moi, cela signifiait participer à des réunions inutiles, une à deux fois par an. Ce qui me reste de Greenpeace, c'est que j'y compte des proches, à commencer par ma chère Katia Kanas, présidente actuelle en France. Et alors ? Et alors, Greenpeace a suivi une pente redoutable, et peut-être inévitable. Les sociologues qui étudient l'histoire des associations parlent classiquement de deux phases. La première, dite « charismatique », est celle des fondateurs et de l'exaltation. La suivante est celle de « l'institutionnalisation ». Nous y sommes.

    Pour ce que j'ai pu voir, Greenpeace n'est plus. Les cinglés de 1971 voguaient à bord du Phyllis Cormack en direction de l'Alaska, pour y occuper le site des essais nucléaires américains. Ceux d'aujourd'hui gèrent la manne du fundraising, méthode éprouvée pour récolter du fric auprès de millions de donateurs. Certes, et ce n'est pas rien, Greenpeace ne dépend ni de l'État ni de l'industrie. Mais ses cadres supérieurs, souvent recrutés par petite annonce hors du mouvement écologiste, sont des cadres supérieurs. Et Greenpeace-France est une PME de l'écologie, tristement incapable, par exemple, de mener la bagarre pourtant essentielle contre les biocaburants. Dieu sait pourtant que je les y ai invités !

    Toutes les tendances de cette écologie officielle, plus quelques autres que je n'ai pas le temps de citer, se sont retrouvés à la table de Borloo et Kosciuko-Morizet l'automne dernier. Je veux parler du Grenelle de l'Environnement, bien sûr. À cette occasion, le mouvement a montré où il en était, c'est-à-dire au même point qu'en 1969. C'est-à-dire bien plus bas en réalité. Car c'est une chose de croire au Père Noël quand on est un gosse qui découvre le monde. Et une autre quand on approche des quarante ans.

    Ce mouvement aura bientôt quarante ans, en effet, et c'est le mien. Ma famille. Je ne suis pas partisan de la table rase, qui n'est que fantasme. Mais d'évidence, il est temps de faire un bilan. Selon moi, il est limpide : nous avons échoué, tous, à empêcher l'emballement de la machine à détruire la vie. Il est donc certain que les moyens utilisés ne sont pas adaptés au seul objectif qui vaille. Je ne crois pas, en effet, qu'on puisse se contenter de risettes de Borloo, de bises de Kosciucko et de passages à la télé. À moins que je sois le roi des imbéciles, et que personne ne m'ait prévenu du changement de programme ?

    Nous avons échoué, soyons sérieux. Il faut le dire, il faut l'écrire, il faut même le proclamer. Sur cette base-là, essentielle, il s'agira de reconstruire un mouvement différent, plus fort, plus conquérant, partant avec ceux qui le voudront à l'assaut du ciel, pour la restauration du monde vivant. Je vous lance donc, je me lance aussi, bien sûr, un appel au sursaut. Arrêtons la dégringolade. Ouvrons les yeux, fermons la télé, et osons dire cette évidence que le roi écologiste est nu. Pour commencer.

    PS : Exceptionnellement, je vous demande de diffuser ce qui est bel et bien un appel à tous les réseaux de votre connaissance. Je ne prétends pas avoir raison, mais je suis certain que nous avons besoin d'un grand débat. Et donc, je vous en prie, faites circuler.

    Merci.

    Publié dans Mouvement écologiste, Politique

  • A Toulon, au chevet du " Grand Charles "...

    Le Monde - 19 juin 2008

    A Toulon, au chevet du " Grand Charles "...

    On l'a inséré comme dans un écrin : il restait environ 2 mètres de part et d'autre des parois lorsque la longue carène de 261,5 mètres de long du porte-avions Charles-de-Gaulle est venue se loger dans le bassin Vauban. Quand il sera libéré cet été pour des essais, avant de retrouver la mer au printemps 2009, il sera resté quinze mois sous perfusion, ses flancs traversés d'interminables gaines et de gros tuyaux noirs servant à évacuer liquides, poussières et effluves néfastes, comme un gigantesque corps en réanimation, opéré de son coeur nucléaire fatigué.

    En six ans d'activité, il aura parcouru l'équivalent de douze tours du monde en neuf cents jours de navigation et aura catapulté 19 000 avions. Pour le veiller, on a installé une base-vie à ses côtés : le " village Vauban ". Plusieurs fois par jour, le restaurant Au Grand Charles, géré par les cuisiniers du bord, accueille 620 personnes. La nuit, des convois exceptionnels cheminent sur les routes désertées de la première base navale française, pour aller déposer les éléments solides du combustible usé dans des " piscines " nucléaires.

    Pour " redonner du potentiel " au bateau, la moindre soudure va être vérifiée, les vieilles hélices de l'ex-porte-avions Clemenceau vont être remplacées, la coque sera décapée et repeinte. Surtout, des adaptations seront réalisées pour accueillir les missiles nucléaires de nouvelle génération ASMP-A et les missiles de croisière Scalp-EG. Le Charles-de-Gaulle va prendre un peu de poids : 400 tonnes exactement.

    Le chantier coûte 300 millions d'euros, c'est-à-dire 100 millions de moins que le montant déjà déboursé pour l'éphémère deuxième porte-avions français...

     -- 
    Jocelyn Peyret
    ----------
    Coordination nationale actions & groupes
    Reseau Sortir du nucleaire
    MDA - 67 rue St Francois de Sales
    Boite L7
    73000 Chambery
    Tel : 04 79 36 13 19
    Portable : 06 20 36 57 17
    Fax : 04 79 33 95 88
    Mail :
    jocelyn.peyret@sortirdunucleaire.fr
    Web :
    http://www.sortirdunucleaire.org
    http://www.stop-epr.org
     Information relayée par le Réseau Sortir du nucléaire, Fédération de 800
    associations - http://www.sortirdunucleaire.org
  • 0g CO2/km : la Smart électrique

     ENCORE NON DISPONIBLE

    www.leblogenergie.com

    smart.jpg

     

  • Merci les Irlandais !

    Ce traité (quasi identique à celui proposé en France et aux Pays-bas) a été imposé aux Français qui avaient voté non.

    Nicolas Sarkozy se vente de dire que les Français l'ont élu à une forte majorité. Alors pourquoi imposer un traiter qui a été refusé par ces derniers ?

    MERCI L'IRLANDE !

    Irlande.png

     

    Pour ceux qui ne le savent pas, la BCE (organe créé par le traité de Maastricht (j'avais voté "oui")) conseille fortement aux pays européens de ne pas augmenter les salaires, par crainte d'une spirale inflationiste. Ils ont peut-être raison, mais on s'aperçoit que la France a de moins en moins de pouvoir et de dépendance.

     

  • 104 grammes de CO2/km : nouvelle Daihatsu Cuore

    ELLE N'EST PAS ENCORE DISPONIBLE EN FRANCE. DOMMAGE. 


  • RSA + CAF = COKTAIL EXPLOSIF ?

    Le Premier Ministre François Fillon annonce fièrement la mise en place au 1er janvier 2009 du RSA (Revenu de solidarité active).crbst_logo_caf.gif

    Ce beau bébé sera traité par les CAF (Caisse d'allocations familiales).

    Mon avis est que les CAF devraient changer de nom. En effet, à chaque nouvelles mesures, à chaque changement de gouvernement, chaque mois, chaque jour, de nouveaux textes de loi naissent, et les CAF sont sollicitées. C'est la poubelle, le fourre-tout. Et les agents doivent obéir, sans broncher, digérer ces nouvelles lois, et tout ça, sans être payé plus, en étant de plus en plus rentables et performants, et avec toujours moins de personnel.

    De plus, le moment entre certaines lois (ou circulaire européenne) sont signées et leur appliquation, il peut s'écouler plusieurs années ! Et les agents ne savent pas toujours quoi répondre au téléphone ! C'est ça, le service public. : payer du personnel (privé) pas cher, maléable à merci, qui doit se débrouiller avec un public difficile et en difficulté, mal formé, mal informé, mal dirigé et maltraité (dans certains organismes, notament les plus grandes CAF, mais aussi des CPAM ou URSSAF, où les suicides, là aussi, ne sont pas médiatisés).

    Depuis plusieurs mois, des conflits ont lieu dans plusieurs CAF de France. Ces conflits n'étant pas spectaculaires (pas de routes coupées, pas de grandes manifestations...), l'Etat fait la sourde oreille.

    A Monsieur François Fillon, si par hasard vous lisez ces lignes, sachez qu'il y a (encore) des personnes derrière les ordinateurs (avec de plus en plus de problème de vue, entre parenthèse) et que le "craquement" n'est pas loin ! Alors arrêtez les économies à tout prix ! Vous voulez faire des écomonies ? Ayez le courage de mettre les AF sous conditions de ressources ! Et payez décement le personnel !

     

  • Du maïs bio contaminé à 35 kilomètres de distance

    "Deux agriculteurs spécialisés dans la culture de maïs alimentaire biologique, Julien Veillat et son père Christian, dont l'exploitation est située àMais_380.jpg Villiers-en-Plaine, dans les Deux-Sèvres, ont déposé une plainte à la gendarmerie locale. Leur production a en effet été contaminée par des gènes de maïs transgénique, alors que les parcelles de maïs OGM les plus proches sont officiellement distantes de plus de 35 kilomètres de leurs champs."

    -> le monde.fr

  • Il y a longtemps que je n'avais pas dit de mal de "Notre Président"

    Je tire mon chapeau à cette dame qui a osé refuser serrer la main à Nicolas Sarkozy, le Président de la République française.

    Si plus de personnes osaient faire et dire ce qu'elles pensent au lieu de cirer les pompes, le monde serait-il meilleur ? 

     

  • Faire crédit pour assister à un match de rugby ! HONTEUX !

    Mon enthousiasme d'il y a quelques jours sur la montée en Top 14 du Rugby Club Toulonnais s'effondre !mourad-boudjellal-president-rct.jpg

    Le Président du RCT, Mourad Boudjellal, n'est qu'un homme d'affaire comme le fut Bernard Tapie le temps où l'OM était portée aux nues.

    Qu'il est loin le temps où la place était à 5 francs !!!!!!!!!!!!

    "La loi de l'offre et de la demande ?". Et bien Monsieur Boudellal, j'espère que les Toulonnais ne s'abonneront pas ! Pour oser dire :

    "parfaitement conscient que les supporters les plus modestes vont souffrir de cette forte augmentation, il leur permettra, avec présentation d'un RIB, d'une carte bleue et d'une carte d'identité, de payer en 5 fois sans frais."

    Ou encore : " Mourad Boudjellal qui aurait pu tout aussi bien délocaliser le RCT toute l'année, rappelle qu'il ne le fera que deux fois au Vélodrome de Marseille."

    LES VRAIS, LES PURS, LES AMOUREUX DU RUGBY A TOULON NE VOUS DISENT PAS BRAVO ! 

    -> nouveaux tarifs d'abonnement