Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ump - Page 4

  • Un peu d'histoire politique varoise

    Rappel des faits historiques :

    - Yann Piat (ex FN, puis UDF) fut assassinée le 25 février 1994, à Hyères

    - Jean-Marie le Chevallier (ex FN) fut maire de Toulon de 1995 à 2001

    - Hubert Falco (UDF, puis UMP) est maire de Toulon depuis 2001

    Article de l'Express.fr, de janvier 2002 :

     

    Si l'économie locale va mal, cela n'empêche pas l'Union patronale du Var d'être omniprésente dans la ville.

    Le 15 juin 2000, neuf mois avant son élection à la mairie de Toulon, Hubert Falco rencontre les membres de l'Union patronale du Var. Le «candidat probable» qu'il est alors sait bien que l'UPV est un point de passage obligé.

    Avec 5 000 adhérents représentant 60 000 salariés et environ 4 millions d'euros de budget, l'antenne locale du Medef, qui dispose de 70 employés, est la première de France. Son président, Gérard Cerruti, l'homme que l'on courtise, est un fin politique. L'UPV dispose d'un service social faisant travailler à lui tout seul 22 personnes dont 14 assistantes sociales. Installations sportives, centres aérés, restaurant, billetterie pour les spectacles ou places de cinéma à prix réduits: l'UPV s'occupe de tout.

    «Quand on présente une liste à la chambre de commerce, elle est élue. Personne ne se présente contre nous», lâche Gérard Cerruti. En 1993, le président de la CCI, Pierre Meiffret, l'avait appris à ses dépens, lui qui avait dû céder sa place à Jean-Jacques Bréban, plus proche de l'Union. Et, en 1995, une liste soutenue par le FN, qui avait alors le vent en poupe, n'avait obtenu aucun élu face à Dominique Poggi, candidat estampillé UPV, aujourd'hui président régional de la CCI-Provence-Alpes-Côte d'Azur et du Club des décideurs économiques varois. Outre les 38 postes de dirigeants de la chambre de commerce, l'Union détient aussi 800 mandats patronaux.

    Poids, pouvoir, influence? Gérard Cerruti ne renie aucun de ces mots, mais préfère parler de «résonance» ou de «maillage». Le fait est que l'organisation a réparti ses vice-présidents par secteur géographique et par branche professionnelle: Marcel Herrero pour le BTP, Madeleine Jauffret pour la métallurgie, René Montolivo pour les services, et Jacques Rouard, l'influent patron de la librairie Charlemagne, pour le commerce. Ces deux derniers étant, également, des «frères» influents, l'un à la GLNF et l'autre à la GLF. Quant à Gérard Cerruti, il se défend d'appartenir à la franc-maçonnerie. Et souligne que ce n'est pas un «critère d'admission» pour son organisation.

    Jeune chambre économique, Centre des jeunes dirigeants, Conseil économique et social ou Club des décideurs économiques varois et ses présidents successifs (Patrice Blin et Rémi Bour hier, comme Dominique Poggi aujourd'hui), les membres de l'UPV occupent tous les terrains. Celui du rugby aussi car, dit Patrice Blin, fondateur du Club 83, un groupe d'entrepreneurs engagé dans la sauvegarde du RCT, «le rugby donne une bonne image du département».

    Tout ce petit monde ne dédaigne pas croiser les autorités. «L'UPV entretient des relations étroites avec le préfet», assure son président. En septembre dernier, ils étaient plus de 300 réunis, sur le thème de l'intercommunalité, au palais des congrès Neptune, à l'initiative de Rémi Bour, urbaniste et conseiller municipal (divers droite) du nouveau maire. Le préfet Daniel Canepa et Hubert Falco étaient là, ainsi que tout le gratin du monde économique et politique.

  • Et il se croit drôle, en plus !

  • Le NPA, l'alternative au PS

    Sarkozy, Lang, Kouchner, Strauss-Khan, Séguéla, PS ou UMP, ils se partagent le pouvoir depuis des décennies. C'est la même chose.

    Le vrai changement, c'est soit Bayrou (pour la droite) soit Besancenot (pour la gauche).

    Encore faut-il qu'ils aient accès aux média, détenus par sarko et ses "amis".

     

    Nouveau Parti Anticapitaliste

     
    UMP :
       

    MODEM :

  • Le nouvel emblème de l'UMP

    Reçu sur ma boite mail : 

    LE SCOOP DU JOUR  

    Selon Nicolas Sarkozy le préservatif représentera désormais l'emblème de la droite,

    Il estime que le préservatif reflète le mieux l'image de l'UMP.

    En effet le préservatif tolère l'inflation, vide les bourses, ralentit la production, détruit la prochaine génération et surtout protège les glands. 

    Enfin il vous donne le sentiment de sécurité alors que vous vous faite baiser.

    Faites passez !

     
  • RSA : des propositions surprenantes

    La conférence de concertation sur le RSA qui s'est tenue le 9 juillet a vu deux parlementaires UMP prôner la gestion de la PPE par les Caf. Au-delà de la confusion des genres qu'induirait une telle gestion, la charge de travail énorme que cela représente n'est pas envisageable avec la politique de baisse des effectifs en cours dans les Caf et celle envisagée par le gouvernement pour la Convention d'objectifs et de gestion en cours de construction dont la signature Etat/Cnaf doit intervenir pour la fin 2008.

    La conférence de concertation sur le RSA qui s'est tenue le 9 juillet a vu deux parlementaires UMP prôner la gestion de la PPE par les Caf. Au-delà de la confusion des genres qu'induirait une telle gestion, la charge de travail énorme que cela représente n'est pas envisageable avec la politique de baisse des effectifs en cours dans les Caf et celle envisagée par le gouvernement pour la Convention d'objectifs et de gestion en cours de construction dont la signature Etat/Cnaf doit intervenir pour la fin 2008.

    Par ailleurs la réaffirmation d'une généralisation du RSA au 1er juin 2009 en accord avec le Président de la Cnaf, est incompatible avec les moyens humains et techniques de gestion disponibles dans les organismes de la Branche des Allocations familiales de la Sécurité sociale, pas plus que la prise en compte mensuelle des déclarations de revenus servant au calcul du RSA qui paraît acquise avec le même consensus.

    Les services de la Cnaf affirment pouvoir assurer dans de bonnes conditions une généralisation du RSA au 1er janvier 2010 et une bonne gestion de ce nouveau minimum social en prenant en compte les revenus trimestriels des bénéficiaires. C'est ce qu'ils ont démontré il y a quelques jours aux administrateurs de la Cnaf. Il n'a jamais été question jusqu ‘alors d'une gestion de la PPE par les Caf.

    Martin HIRSCH opère donc un forcing inacceptable auprès de la Cnaf. Dans ces conditions les déclarations et engagements pris par le Président de la Cnaf lors de cette conférence sont pour le moins surprenants, voire choquants. Les personnels de l'Institution ne sont pas taillables et corvéables à merci. Les administrateurs quant à eux ne peuvent pas être mis devant le fait accompli sans débat, concertation et consensus. En démocratie sociale le fait du prince n'est pas acceptable. La qualité et la nature des services rendus aux familles et allocataires en dépendent et les responsabilités doivent être assumées collectivement. En tout état de cause la création du RSA, un minimum social d'une grande complexité sur lequel la Cgt a exprimé les plus grandes réserves, ne doit pas mettre en péril la bonne gestion des prestations dues à l'ensemble des familles.

     

    Montreuil le 10 juillet 2008

    --> Source : les Caf en danger 

  • Les Sénateurs passent la 2ème couche de pro-OGM sur le projet de loi

    Si vous préférez les images au texte : cliquez ici

    "Comme prévu, les Sénateurs ont adopté le projet de loi OGM en l'amendant de façon a rendre caduc le seul article un peu "protecteur" , celui déposé par le communiste André Chassaigne, qui visait à interdire la culture d'OGM dans les zones productrices de labels de qualité et/ou d’origine controlée (AOC, etc.). Afin de ménager les differentes sensibilités, cet amendement de l'opposition avait reçu le soutien de la Secretaire d'Etat à l’écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, et d'une poignée de députés UMP, le texte n'a pas été revu, mais sa portée est encadrée par une sorte de sous-amendement visant à definir la notion de "sans OGM". A terme, la definition de ce terme reviendra à la Commission européenne, sachant qu'en attendant que celle-ci se prononce, il reviendra au futur Haut Conseil des biotechnologies de fixer le seuil définissant la notion de "sans OGM", espèce par espèce.

    Néanmoins, dans leur grande mansuéeude les Sénateurs n'ont pas mis de veto à l'amendement qui permet aux parcs nationaux ou régionaux de soustraire leur territoire à la culture d OGM. Il est vrai que les conditions draconiennes à remplir sont quasi irréalisables... Autre concession, mais qui n'engage à rien de concret, l'adoption d'un article qui impose au Gouvernement de remettre au Parlement "un rapport relatif aux possibilités de développement d'un plan de relance de la production de protéines végétales alternatif aux cultures d'OGM" (1).

    Concernant la tonalité des debats, le ton etait à l apaisement avec des débats globalement sereins, y compris lorsque Nathalie Kosciusko-Morizet s est exprimée, déclarant, entre autres, "Nous ne débattons pas des OGM, nous devons les évaluer au cas par cas. Comme l'a justement relevé Nicolas Hulot, cité par M. Soulage, « il n'y a pas les OGM, mais des OGM ». C'est tout le sens de ce texte, c'est tout le sens de l'architecture retenue pour le Haut conseil : estimer les avantages et les inconvénients, OGM par OGM, avant de prendre une decision." C'est ainsi qu'à un amendement proposé par l'UMP Fabienne Keller, pour "...éviter la présence accidentelle d'OGM dans l'environnement en général afin de protéger également les espaces naturels", n'a pas bénéficié de son soutien, de même que celui demandant une distance entre les cultures OGM et les autres, de 500 mètres.
    Des positions qui ont du satisfaire l'UMP Jean Bizet, fer de lance des pro-OGM au Senat, qui des le début des debats a donne le fond de sa pensée en estimant que "...nous n'avons pas de substituts aux protéines végétales génétiquement modifiées".

    En conclusion, les Sénateurs ont adopté un texte qui ne devrait plus faire l'objet d'évolutions majeures, mais qui en l'espace de quelques jours aura bascule à 100% d'orientation. Comme l'a déclaré le Sénateur communiste Gérard Le Cam, "Les Français ne veulent pas d'OGM, ni dans leur assiette, ni dans leurs campagnes, mais vous leur dites : « Vous en mangez déjà ! ». Pourquoi, alors, ne pas continuer à respirer de l'amiante, puisque les Français l'ont fait pendant des décennies ? Tout va bien avec les produits Monsanto, à vous entendre, puisque la durée de vie augmente... Monsanto a été le principal producteur de pyralène, polluant organique persistant qui est aujourd'hui interdit et qui est responsable de nombreuses pollutions. Monsanto a également produit l'agent orange, herbicide utilisé pendant la guerre du Vietnam et fortement cancérigène. C'est aussi Monsanto qui produit les hormones de croissance bovine et laitière, que l'Europe a encore la sagesse d'interdire !"

    Pascal Farcy

    1- Cet article fait écho aux 3,6 millions de tonnes de soja OGM que la France importe chaque année pour nourrir les animaux d'élevage que le consommateur retrouve dans son assiette..."

     

  • Et pendant ce temps...

    Du pain béni, cette flamme olympique qui fait tant parler !

    Pendant ce temps, la droite radicale de Sarkozy continue de faire la part belle aux OGM, de démenteler la fonction publique.

    Un conseil, pour ceux qui le peuvent, lorsque la télévision ne parle que d'un seul sujet, c'est le moment où il faut lire la presse écrite (ou consulter les blogs qui parle d'autre chose que l'info unique).

    Pour en revenir à l'actualité, je veux, encore une fois, démontrer les incohérences (pour employer un mot à la mode) dans les propos de Nicolas Sarkozy :

    Il dit vouloir "une France de propriétaire". Voilà que maintenant, il veut faire "bouger" les fonctionnaires, pour "des raisons d'économie".

    Si pour lui, il est facile d'acheter et de vendre une maison, ce n'est pas le cas du commun des mortels. 

    Une autre note suivra pour ces fameuses économies qu'il veut faire, sur le dos des gens les plus modestes.

     

  • Il faut penser à l'après Sarkozy dès aujourd'hui !

    Maintenant que la preuve est faite que Nicolas Sarkozy n'est pas Président des Français, mais Président pour lui-même et ses amis, il faut arrêter de le descendre (c'est fait, il n'est désormais plus crédible).

    Il faut, DES MAINTENANT, penser à 2012.

    Bon, je parle ici pour moi et pour ceux dont les idées se raprochent des miennent, sans pour autant être identiques. Je suis plutôt pour la défense de l'environnement, et la défense des gens modestes. Cela ne m'empêche pas de soutenir les personnes qui ont envie de se bouger. Je pense aux artisans et aux PME/TPE.

    En bref, les discours du genre : "la droite, c'est les méchants" ou "la gauche, c'est des fégnants", je ne veux pas les entendre. J'aime les paroles sages, justes, qui ne se contredisent pas.

    Oui, je suis de gauche. MAIS ! La gauche, c'est quoi ?

    Aux dernières élections présidentielles, j'avais l'impression que François Bayrou était plus à gauche que DSK, par exemple.

    Les querelles internes du PS ne vont pas s'arrêter.

    Faut-il écouter Olivier Besancenot, et créer un grand et vrai parti de gauche ?

    Faut-il soutenir François Bayrou et le MoDem ?

    Faut-il éclater le PS, ou à l'inverse, doit-il se renforcer ?

    A quoi servent les Verts et Cap 21 ? Doivent-ils s'unir ? Avec qui ?

    Bref, nous sommes en 2008. Les "réformes" pour retourner au début du XXème vont continuer :

    - ils vont augmenter les heures de travail - avec un retour progressif aux 40 heures. La faute aux Chinois ? A la mondialisation ?

    - retour du bonnet d'âne à l'école - réduire les effectifs du public pour ensuite privilégier les écoles privées, donc, religieuses.

    - retour de la religion au sein de l'Etat. 

     

    PROGRAMME... VOUS AVEZ DIT PROGRAMME ?

    Les détracteurs de la gauche disent "Mais ils n'ont même pas de programme !" Ca dépend, encore une fois, ce qu'on entend par "la gauche". S'il s'agit du PS, ils ont raison. Si vous revenez sur les discours d'Olivier Besancenot, le programme existe bel et bien.

    Il faut faire un choix. Soit on laisse les choses telles qu'elles sont, soit on part de ce programme, et la gauche, pourquoi pas avec le MoDem (inclus Cap 21), crée un vrai programme, et cohérent, pour employer un mot à la mode, qui veut tout dire et rien dire.

    FAUT-IL GERER LE PAYS COMME UNE ENTREPRISE ?

    Les chefs d'entreprise diront oui. Les fonctionnaires diront non.

    Vu de Bercy, on voit le budget de la France d'une manière comptable. Qu'est-ce qui coûte le plus cher ? Les agents de la fonction publique. Il faut donc les diminier. Qui sont les plus nombreux ? Les agents de l'Education nationale. Il faut donc réduire le nombre de prof.

    Les fraudes sont nombreuses et coutent cher à l'Etat. On va faire la chasse aux fraudeurs !

    Les aides au logement (APL...), c'est la prestation qui coûte le plus cher aux Allocations familiales. On va donc hausser les plafond. Tans pis, les loyers sont chers, mais ils faut faire des économies. Au passage, là aussi, on ne va pas remplacer les départs en retraite. Ca va faire des économies. 

    La recherche aussi coûte cher. En plus, ils ne trouvent pas ! On va réduire les budgets. On va les forcer à trouver des "choses" qui rapportent de l'argent (OGM ?).

    CQFD.

    Ceci est un raisonnement de droite. 

    L'éducation (ou plutôt l'enseignement) et la recherche, c'est notre avenir. Même si c'est le poste qui ne rapporte pas d'argent et coûte cher, il faut le conserver. On peut, ici ou là, faire des économies (sensibiliser les chefs d'établissements à économiser le papier, l'énergie, investir dans des panneaux solaires, etc.), mais réduire le nombre de poste n'est pas la solution.

    OU TROUVER L'ARGENT ?

    L'argent, il y en a. Un Américain a dit qu'il n'y a jamais eu autant de riches, et de richesse dans le monde, et il était fier de ses propos. Mais sait-il qu'il n'y a jamais eu autant de pauvres dans le monde ? Sait-il que cet argent provient de gens comme vous et moi. Notre niveau de vie baisse, pour augmenter celui d'une poignée d'hommes. Et ça va continuer. Sauf si, une vraie gauche, dans chaque pays, se crée, puis s'unie, pour contrer cela. 

    Il faut de la volonter politique et des hommes et des femmes qui pensent à l'intérêts de tous, avant de penser à son propre intérêt. 

     

    Voir le programme d'Olivier Besancenot à ce sujet. Programme très pertinant. 

    "Si la gauche est au pouvoir, les impôts vont augmenter" dit gravement François Fillon. Mais que fait l'UMP actuellement, en augmentant, voire en créant de nouvelles taxes ?

    La baisse des impôts ne profitent qu'aux plus riches.

    ON PEUT ETRE DE GAUCHE ET ENCOURAGER LES PETITES ENTREPRISES

    Etre de gauche ne veut pas dire être anti-entreprise ! C'est pourquoi, sur ce sujet, j'étais d'accord avec le discours de François Bayrou pour aider les petites entreprises à créer des emplois (mais des vrais ! Pas des contrats à temps partiel imposé).

    Il faut continuer à soutenir les petites entreprises dans leur création. Mais ce petit entrepreneur, qui aura pu bénéficié d'aides, devra, à son tour, quand sa boite marchera bien, être solidaire.

    Autre exemple, Total.

    Mis à part le fait que c'est un gros pollueur, cette entreprise (Française, cocorico ?) fait d'énormes bénéfices. Ne serait-il pas normal de créer un ISF des entreprises ? Total répondra que cet argent sert à investir dans la recherche de gisements pétroliers. Total sait-il que les énergie solaires et éoliennes sont gratuites, inépuisables et  plus respectueuses de l'environnement ? J'espère que, secrètement, cette entreprise investit largement sur ces nouvelles énergies.

     

  • Nicolas Sarkozy en diffuculté ?

    Tony Blair est invité aujourd'hui au conseil national de l'UMP.

    Un discours de l'ancien Premier Ministre britanique très "Sarkozyste" (promotion du nucléaire, régression des syndicats, réduction des fonctionnaires...).

    Nicolas Sarkozy aurait-il besoin d'être rassuré ?