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Money, le film
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La stratégie du choc
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Après 2012... l'an 01 ?
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Consommation, croissance éternelle, obsolescence programmée. Miam ! Miam !
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de la servitude moderne
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Faites-vous parti des 2/3 "obéissants" ?
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HOME - Ce soir sur France 2
HOME - 20h40
En quelques décennies, l'homme a rompu un équilibre fait de près de quatre milliards d'années d'évolution de la Terre. Il met désormais son avenir et celui de la planète en péril. Le prix à payer est lourd mais il est trop tard pour être pessimiste : il reste à peine dix ans à l'humanité pour prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre et changer son mode de consommation et de production. En offrant les images inédites de plus de cinquante pays vus du ciel, en faisant partager son émerveillement autant que son inquiétude, Yann Arthus-Bertrand pose avec ce film une pierre à un édifice qu'il s'agit désormais de préserver ensemble.
COMMENT SAUVER LA PLANETE ? - 22h20
Suite à la diffusion du documentaire «Home», de Yann Arthus-Bertrand, Yves Calvi, entouré de spécialistes, s'interroge sur les solutions existantes pour sauver la planète. En quelques décennies à peine, la surconsommation a mis la Terre sur les genoux. Pollution de l'air, des sols et des mers, épuisement des ressources énergétiques, bouleversement des écosystèmes et changements climatiques sont les résultats d'une politique économique axée sur le profit immédiat au détriment de la gestion à long terme de la planète. Les plus pessimistes estiment qu'il est déjà trop tard. Qu'en est-il réellement ? Comment inverser le cours de l'Histoire ?
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Herbe
Herbe : un film à voir absolument !
+ le nouveau règlement européen sur les pesticides adopté !Herbe : un film à voir absolument !
Vous savez ce que mangent les vaches ?
En êtes-vous vraiment sûr(e)…?
HERBE (www.herbe-lefilm.com)
Au cœur de la Bretagne paysanne, deux visions du métier d’éleveur laitier se confrontent.
Alors que des Hommes se sont engagés depuis plusieurs années dans une agriculture autonome, durable et performante, le courant majoritaire de la profession reste inscrit dans un modèle de production industriel, fortement dépendant des groupes agricoles et agro-alimentaires…
Les objectifs du film sont multiples. Si les questions relatives aux dérives de la PAC (choix politiques et répartition des aides) sont centrales, il est aussi question des dérives des systèmes coopératifs agricoles. HERBE met alors en lumière les alternatives au modèle productiviste dominant. HERBE désire interroger de manière globale le monde dans lequel nous vivons par l'intermédiaire de l'élevage laitier breton.
En effet, la question agricole devient centrale dans les problématiques politiques actuelles. Alors que l'alimentation d'une partie de la population mondiale est remise en cause, et qu'apparaît toujours plus pressante la nécessité de repenser nos modèles de production et d'approvisionnement, la crise énergétique semble nous pousser à agir vite quant à développer des moyens autonomes de subsistances.
HERBE n'est pas seulement le constat de la fin d'un temps, il rend visible le possible d'un autre moyen de vivre et de construire le monde, un monde autre...
Où voir le film ?
La date de sortie nationale du film est le 18 février prochain, à 3 jours de l’ouverture du Salon International de l’Agriculture de Paris. Nous vous communiquons les salles qui le programmeront, mais invitons tous les collectifs qui le souhaiteront à prendre l’initiative.
Ces salles programment HERBE à partir du 18 février :
Toulouse – Utopia (sortie dès le 11 février)
Tournefeuille – Utopia (sortie dès le 11 février)
Bordeaux - Utopia
Montpellier – Utopia
Montpellier – Diagonal
Paris - Espace St Michel
Avignon – Utopia
Nantes - Concorde
St Ouen l'Aumône – Utopia
Achères - Pandora
Calais - Alhambra
Ces salles programmeront HERBE mais n’ont fixé de date définitive. N’hésitez pas à leur demander plus d’informations :
Bayonne - Atalante
Rennes - Arvor
Dijon - Eldorado
Caen - Lux
Lyon - Comedia
Clermont-Ferrand - Rio
Bretagne – Circuit Cinéphare (tournée au mois de mars)
Gournay en Bray (76) - les Ecrans
Grande Synthe (59) - Cinéma
Libourne - Grand Ecran
Nîmes - Sémaphore
Ces salles ont le film, et réfléchissent encore à leur programmation. N’hésitez pas à leur demander de le programmer :
Grenoble - Méliès
St Etienne - Méliès
Perpignan - Rive Gauche
St Ouen - Espace 1789
Enfin, chaque collectif peut demander à sa salle de cinéma (en France, en Belgique, en Suisse et en Andorre) d'organiser une projection, ou bien encore organiser soi-même une projection avec ses propres moyens de diffusion.
Contact : Parasite Distribution - Jean-Jacques Rue - 06 16 55 28 57 - jjrue@hotmail.fr
Le Parlement européen bannit 22 substances pesticides
LEMONDE.FR 13.01.09
Les eurodéputés ont ouvert la voie, mardi 13 janvier, à l'interdiction dans l'Union européenne d'une vingtaine de substances entrant dans la composition des herbicides, fongicides et insecticides. Considérées comme cancérigènes, toxiques pour la reproduction ou ayant des effets perturbateurs sur le système endocrinien, beaucoup sont produites par les géants de l'industrie chimique allemande, Bayer et BASF.
Saluée par les écologistes comme l'une des législations les plus restrictives au monde en matière de pesticides, l'adoption de cette liste noire est "une victoire des Verts et des environnementalistes qui ont su collectivement résister aux énormes pressions" de l'industrie, s'est félicitée l'Italienne Monica Frassoni,
coprésidente du groupe des Verts au Parlement européen.
Fruit d'un compromis avec les 27 Etats membres, le texte entre en vigueur dès 2009. Deux fongicides (le Carbendazim et le Dinocap) seront interdits dès cette année, mais les dernières autorisations pour certains
produits aux effets perturbateurs sur le système endocrinien n'expireront pas avant 2018.
"CONSÉQUENCES NEUROLOGIQUES ET IMMUNOLOGIQUES GRAVES"
"Il s'agit de 22 substances sur 500, soit moins de 5 %", expliquait le 18 décembre l'eurodéputée verte allemande Hiltrud Breyer, en marge d'une conférence de presse. Les industriels du secteur phytosanitaire
annonçaient l'interdiction de 40 % des substances. "C'est une honte. On a abusé [des agriculteurs] avec des informations erronées. (...) Maintenant, l'industrie a toutes les raisons d'innover pour fabriquer des produits sûrs", avait-elle insisté.
Le Mouvement pour le droit et le respect des générations futures (MDRGF) a salué la nouvelle législation dans un communiqué, mais regrette que les débats aient dilué certaines restrictions initialement imposées à des produits susceptibles de "conséquences neurologiques et immunologiques graves pour le développement prénatal des enfants". Le MDRGF déplore l'absence de "mesure forte pour protéger les résidents des milieux agricoles exposés aux pulvérisations de pesticides", de "zone tampon" près des cours d'eau et d'interdiction "pure et simple" de l'usage des pesticides en milieu urbain. -
Nos enfants nous accuseront
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Je suis pour le téléchargement illégal
Pendant des lustres, l'industrie du disque s'est engraissée sur le dos des cons...ommateurs. Monsieur le Ministre, LES VOLEURS, CE SONT EUX !!!! Ils ont augmenté artificiellement et considérablement les prix des disques, lors du passage du vinyl au CD. Alors que sa fabrication ne coûte que quelques centimes, un CD ou un DVD peut être vendu jusqu'à 40 euros, voire plus ! Si ça, c'est pas du vol, moi, je suis le Pape !
Rappelons qu'il existe déjà une taxe qui va dans les popoches de cette industrie, qui, au passage, paye au compte goutte les artistes.
Cette semaine, une loi a été créée pour condamner les méchants criminels.
L'industrie du disque récolte aujourd'hui les fruits de sa récolte. Un dur retour de bâton, is't it !
On peut en dire de même pour les films, et le prix exhorbitant des places. Plus de 100% d'augmentation en quelques années ("autrefois", 30 francs, aujourd'hui, l'équivalent de 61 francs !, Un couple avec deux enfants devra donc débourser l'équivalent en euros de 244 francs) sous prétexte que les salles sont plus belles. Oui, mais elles sont aussi plus grandes, et donc plus rentables, car elles peuvent contenir plus de spectateurs par film projeté.
Au lieu de poursuivre les millions de méchants criminels cachés chez eux, pourquoi ne pas commencer par baisser les prix ? Et quand je dis baisser, c'est baisser, pas "rapper" ou "lisser".