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ecologie - Page 2

  • 10 mars 2012 : Fukushima, 1 an déjà !

  • Après le gaz de shiste, les élus seront-ils aussi virulents contre l'exploitation du futur parc national au large de la Provence ?

     

    Bientôt des puits de pétrole au large de Marseille ?

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    Publié le vendredi 16 décembre 2011 à 19H18

    La zone où ont été mises en évidence des formations géologiques prometteuses sur le plan pétrolifère s'étend sur des fonds compris entre 1 600 et 2 600 m, des profondeurs que les compagnies pétrolières atteignent désormais couramment - les puits les plus

    La zone où ont été mises en évidence des formations géologiques prometteuses sur le plan pétrolifère s'étend sur des fonds compris entre 1 600 et 2 600 m, des profondeurs que les compagnies pétrolières atteignent désormais couramment - les puits les plus profonds sont actuellement situés à environ -3 000 m. Le puits Macondo, qui a fui pendant 5 mois courant 2010 dans la golfe du Mexique, était à 1 500 m de fond.

    Photo BEP

    Ceux qui ont vécu le premier choc pétrolier se souviennent sans doute de ce slogan-choc inventé par l'État pour inciter nos concitoyens à l'économie : "En France, on n'a pas de pétrole, mais on a des idées". Trente-cinq ans plus tard, on pourrait presque renverser l'ordre des propositions : "En France, on n'a plus beaucoup d'idées, mais on a - un peu - de pétrole". D'abord en Guyane, où le gouvernement vient d'autoriser l'exploitation d'un gisement d'une capacité estimée à au moins 1 milliard de barils. Ensuite en Méditerranée, où deux sociétés spécialisées, l'Anglaise Melrose Mediterranean Limited (MML) et l'Américaine Noble Energy, envisagent de forer un puits d'exploration à moins de 30 km au sud de nos côtes. C'est en tout cas ce que MML a demandé à Éric Besson, ministre de l'Industrie, et à Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Écologie, co-responsables de la délivrance des permis et autorisations en matière pétrolière.

    Dans le dossier déposé en juillet 2010 - et toujours à l'instruction -, MML se montre assez optimiste. Assurant que "tous les éléments nécessaires à un système pétrolifère actif sont potentiellement présents" sur le périmètre qu'elle explore depuis bientôt 10 ans, la société britannique "sollicite une prolongation du permis pour une durée supplémentaire de 5 ans", indiquant que dans l'hypothèse où ses investigations "indiqueraient une implantation de forage techniquement et commercialement viable, un puits d'exploration serait foré", pour un coût "aux alentours de 35 millions de dollars US". A ce prix-là, on se doute que MML n'a pas l'intention de creuser pour la seule beauté du geste. D'où les craintes des associations écologistes, convaincues que le gouvernement autorisera tôt ou tard les plateformes d'extraction en Méditerranée. Jusque là, rien ne permet de leur donner tort.

    lire la suite sur la provence.com

  • Radio Planète Union

    http://fr.myspace.com/radio.planeteunion

    Présentation

    À propos de moi :

    Radio Planète Union, De la musique engagée, Des infos alternatives, Des chroniques décalées. Une Radio pouvant provoquer une irrésistible envie d'agir ! Programmation: Nathalie Colucci, Animation: David Zr, Céline Keller, toute une équipe de choc !

    Qui j'aimerais rencontrer :

    Des artistes, Des chroniqueurs, Des auditeurs. Ceux qui pensent et qui sont persuadés qu'un autre monde est possible....

    Intérêts

  • Mitterrand avait les couilles qu'Hollande n'a pas

    Mitterrand avait les couilles que Hollande n'a pas en arrêtant les essais nucléaires dans le Pacifique, dont il est prouvé aujourd'hui de leurs nocivités. Sauf que c'était "loin" de nous. Les centrales nucléaires, elles, sont à nos portes.

  • Parlons Net reçoit Cécile Duflot 1

  • Le déficit entre production et consommation bio se creuse

    03-06-2009

    A l’occasion du « printemps du bio » du 1er au 15 juin, l’Agence Bio révèle les chiffres de sa nouvelle enquête. De 1999 à 2008, les surfaces cultivées en bio ont plus que doublé, pour atteindre, sur le territoire français, 580 000 ha. Une augmentation notable du nombre de producteurs mais qui ne parvient pas à suivre la demande. Avec une croissance de 25 % par rapport à l’année dernière, les produits bio couvrent aujourd’hui 1,7 % du marché alimentaire. Or, si les Français achètent plus de produits bio pour leur consommation courante, l’Agence note qu’ils en consomment aussi plus qu’avant à l’extérieur de chez eux. La restauration collective a en effet fait de remarquables progrès, en 2008, 36 % des cantines publiques ou d’entreprises servaient des repas bio, au moins de façon occasionnelle.

    Des quatre circuits de distribution identifiés par l’Agence Bio, les grandes surfaces alimentaires (GSA) représentent 42 % des ventes, le reste se répartissant entre différents types de magasins spécialisés et la vente directe par les producteurs. Sur les trois dernières années, la vente directe, à la ferme, sur les marchés ou en paniers, est restée relativement stable. C’est surtout dans les GSA et les magasins spécialisés que la croissance a été importante, de plus de 75 % depuis 2005.
    Tous les produits sont concernés, en passant par les produits laitiers, le pain, la viande, l’épicerie ou encore les boissons. Au total, il convient tout de même de remarquer qu’un tiers de la consommation est importé de l’étranger. Comprenant des produits exotiques, tels le café, le thé ou le cacao, les importations concernent également les produits peu familiers de la production française : le soja, les produits de l’aquaculture ou les fruits et légumes méditerranéens. Pour le reste, les produits importés compensent souvent les déficits en volume de la production française en céréales bio, viandes ou encore légumes.
    Un renfort national semble nécessaire donc, car même s'il y a une légère progression, les producteurs bio français ne représentent encore que 2,4 % du total des exploitations de l’hexagone pour couvrir 2,12 % de la surface agricole (hors surfaces en cours de conversion), soit quasiment la même surface qu'en 2007. La progression a été importante de 1995 à 2003, puis s’est bien ralentie. Il semblerait néanmoins que l’année 2008 marque une nouvelle inflexion de la courbe de croissance (voir graphique).
    Dans cette évolution des productions bio, certaines régions françaises, Pays de la Loire, Rhône-Alpes ou Midi-Pyrénées sont chefs de file. Plus de légumes, de fruits et de bétails, et un record de progression pour la viticulture, mais, en zone de grandes cultures, le bio ne représente toujours qu’1% du total national.

    Si l’Agence bio se félicite, la France reste toujours le plus mauvais élève de l’Europe, loin derrière l’Italie par exemple qui a déjà deux fois plus de terres allouées au bio. Nous sommes aussi, semble-t-il, encore loin du quasi triplement de surface souhaité par le gouvernement pour 2012 (6 % de la surface agricole utile, contre 2,1% en 2007), il y a 18 mois. La bio ne connaît pas la crise de la consommation, or si la demande continue sa progression, notamment avec l’engagement attendu des restaurants collectifs dont 1/3 pourrait bien passer au bio d’ici 2012, des efforts devront certainement être consentis pour soutenir les producteurs et ceux qui souhaitent se convertir. Vincent Perrot de la Fnab (Fédération Nationale d’Agriculture Biologique) reconnaît que « l’actuel ministre de l’agriculture, Michel Barnier, s’est montré volontariste » mais « que le soutien n’a pas encore été suffisant ».

    Elisabeth Leciak

    source :

    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3779


    Espérons que le résultat de la liste Europe écologie va accélérer les choses, et augmenter "l'offre du bio", tout en diminuant "l'offre pesticide".

  • APPEL A TOUS LES ECOLOS D'EUROPE !

    Le 7 juin prochain (6 juin pour les DOM-TOM) auront lieu les élections européennes.

    Contrairement aux élections présidentielles, je ne voterai pas pour quelqu'un en espérant faire perdre quelqu'un d'autre.

    Je sais... je sais... la politique, ce n'est pas parfait... les écolos... ils n'ont pas la majorité ; voter, ça sert à rien, etc.

    Bref, même si la liste n'est pas parfaite, même s'il y a une personne qui vous déplaît, si vous vous sentez vraiment écolo, ne gaspillez pas votre voix vers un autre parti.

    François Fillon souhaite un circuit de Formule 1, dans la région parisienne. Un circuit de plus ? Si ça c'est pas de la connerie pur ! Ou bien c'est pour détourner l'attention (une fois de plus). Une idée lancée, qui ne sera pas réalisée, mais qui cache quelque chose d'autre. Rappelons que la France compte déjà de nombreux circuits automobiles, dont les 2 plus célèbres sont ceux de Magny-Cours (Nièvres), et du Castellet (Var).

    Non ! Non ! J'ai beau être écolo, j'aime la F1. Ou plus précisément, j'ai aimé la F1, surtout à l'époque des duels Prost-Senna :

    Mais les choses ne sont plus les mêmes aujourd'hui.

    Si vous être VRAIMENT écolo (ce mot veux tout dire et rien dire, mais seul vous pouvez savoir ce qui est plutôt bon pour l'avenir de votre descendance), le 7 juin prochain, votez :

    EUROPE ECOLOGIE

     

    http://www.europeecologie.fr/


     

     

  • Oui au bio dans ma cantine !

     

    A l’issue du Grenelle de l’environnement, il a été décidé de passer à 20% de bio dans les cantines à l’horizon 2020.
    Le WWF-France agit dès à présent, en lançant la première campagne nationale pour l’introduction de produits issus de l’agriculture biologique locale dans les cantines scolaires. Avec la campagne « Oui au bio dans ma cantine » le WWF-France appelle tous les parents d’élèves à se mobiliser le 18 juin pour convaincre le maire de leur commune de privilégier les produits issus de l’agriculture biologique dans chaque cantine scolaire et de mettre en œuvre des mesures concrètes pour inciter les agriculteurs de son territoire à passer au bio.

    Le bio c’est bon pour la santé car riche en éléments nutritifs mais surtout, exempt d’OGM, de pesticides et de conservateurs potentiellement nocifs pour l’organisme ! Le bio, c’est bon pour l’environnement en privilégiant un mode de production qui respecte les ressources naturelles, les sols et la biodiversité. S’il est local et de saison, c’est moins d’énergie consommée pour sa production et son transport et du coup, moins de gaz à effet de serre pour la planète !
    Enfin, le bio, c’est bon pour les finances ! En bio, les agriculteurs touchent un revenu décent, la production locale bio crée 20 à 30% d’emplois supplémentaires et permet de faire économiser aux contribuables les frais de décontamination et frais médicaux générés par l’utilisation des pesticides.

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