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politique - Page 14

  • Economiser avant d'exploiter

    Si seulement 1 européen sur 2 gonflait mieux ses pneus, des études ont montré que plus d'un million de litres de pétrole pourraient être économisés à chaque heure qui passe, de jour comme de nuit. Et sans doute, combien de vies ?

    Alors avant d'exploiter et de détruire l'environnement et de gaspiller de l'argent, économisons !

  • Après le gaz de shiste, les élus seront-ils aussi virulents contre l'exploitation du futur parc national au large de la Provence ?

     

    Bientôt des puits de pétrole au large de Marseille ?

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    Publié le vendredi 16 décembre 2011 à 19H18

    La zone où ont été mises en évidence des formations géologiques prometteuses sur le plan pétrolifère s'étend sur des fonds compris entre 1 600 et 2 600 m, des profondeurs que les compagnies pétrolières atteignent désormais couramment - les puits les plus

    La zone où ont été mises en évidence des formations géologiques prometteuses sur le plan pétrolifère s'étend sur des fonds compris entre 1 600 et 2 600 m, des profondeurs que les compagnies pétrolières atteignent désormais couramment - les puits les plus profonds sont actuellement situés à environ -3 000 m. Le puits Macondo, qui a fui pendant 5 mois courant 2010 dans la golfe du Mexique, était à 1 500 m de fond.

    Photo BEP

    Ceux qui ont vécu le premier choc pétrolier se souviennent sans doute de ce slogan-choc inventé par l'État pour inciter nos concitoyens à l'économie : "En France, on n'a pas de pétrole, mais on a des idées". Trente-cinq ans plus tard, on pourrait presque renverser l'ordre des propositions : "En France, on n'a plus beaucoup d'idées, mais on a - un peu - de pétrole". D'abord en Guyane, où le gouvernement vient d'autoriser l'exploitation d'un gisement d'une capacité estimée à au moins 1 milliard de barils. Ensuite en Méditerranée, où deux sociétés spécialisées, l'Anglaise Melrose Mediterranean Limited (MML) et l'Américaine Noble Energy, envisagent de forer un puits d'exploration à moins de 30 km au sud de nos côtes. C'est en tout cas ce que MML a demandé à Éric Besson, ministre de l'Industrie, et à Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Écologie, co-responsables de la délivrance des permis et autorisations en matière pétrolière.

    Dans le dossier déposé en juillet 2010 - et toujours à l'instruction -, MML se montre assez optimiste. Assurant que "tous les éléments nécessaires à un système pétrolifère actif sont potentiellement présents" sur le périmètre qu'elle explore depuis bientôt 10 ans, la société britannique "sollicite une prolongation du permis pour une durée supplémentaire de 5 ans", indiquant que dans l'hypothèse où ses investigations "indiqueraient une implantation de forage techniquement et commercialement viable, un puits d'exploration serait foré", pour un coût "aux alentours de 35 millions de dollars US". A ce prix-là, on se doute que MML n'a pas l'intention de creuser pour la seule beauté du geste. D'où les craintes des associations écologistes, convaincues que le gouvernement autorisera tôt ou tard les plateformes d'extraction en Méditerranée. Jusque là, rien ne permet de leur donner tort.

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  • Radio Planète Union

    http://fr.myspace.com/radio.planeteunion

    Présentation

    À propos de moi :

    Radio Planète Union, De la musique engagée, Des infos alternatives, Des chroniques décalées. Une Radio pouvant provoquer une irrésistible envie d'agir ! Programmation: Nathalie Colucci, Animation: David Zr, Céline Keller, toute une équipe de choc !

    Qui j'aimerais rencontrer :

    Des artistes, Des chroniqueurs, Des auditeurs. Ceux qui pensent et qui sont persuadés qu'un autre monde est possible....

    Intérêts

  • Aux dirigeants de l'Union Européenne

    En tant que citoyens préoccupés par l'impact de la crise économique, nous vous appelons à calmer la panique des marchés sans compromettre les droits démocratiques des peuples à voter sur des politiques économiques qui sauveront nos emplois et nos services publics. L'histoire a montré que l'austérité ne peut sauver l'économie. Faites preuve de courage et investissez dans un avenir de prospérité pour l'Europe et le monde.

    Pétition ici :

    http://www.avaaz.org/fr/democracy_trumps_austerity_fr/?cCKRncb

  • Dette : la faute à qui ? Aux fraudeurs ? Aux charges sociales ? Un bon résumé des vraies raison de la dette

    Comment et de combien Sarkozy nous a endetté ?

     

    Sarkozy = 196 milliards de recettes en moins en 2009 et 5 années de pertes de recettes non compensées.

    Comment et de combien Sarkozy nous a endetté ?
    En France, nous n’avons pas de problème de dette, nous avons un problème Sarkozy. C’est un problème, non pas de dépenses en trop, mais de recettes en moins.

    On nous raconte des fables : « l’état ne doit pas dépenser plus que ce qu’il gagne », « on dépense trop », « on vit au-dessus de nos moyens », « on doit réduire les dépenses publiques » Autant de bêtises absolues véhiculées par des incompétents aux ordres. Autant de clichés pour tromper les gogos qui ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez.

    La vérité est que c’est l’État qui fixe lui-même (à la différence d’un ménage) ses propres moyens et c’est la droite qui a vidé consciemment les caisses publiques en diminuant les impôts des ménages les plus riches et des sociétés. La vérité c’est que les dépenses publiques ont baissé de 1996 à 2008, et que ce n’est naturellement pas la source de l‘énorme dette voulue, provoquée, organisée par Sarkozy. La source principale des 23 points supplémentaires de dettes causés par Sarkozy provient de la baisse des recettes, pas de la hausse des dépenses.

    Selon le Conseil des prélèvements obligatoires (« Entreprises et niches fiscales et sociales », octobre 2010) : les 3 principales niches fiscales (elles concernent toutes les trois l’impôt sur les sociétés et avantagent les grands groupes), créées par la droite avant 2007, sont :

    - Régimes des sociétés mères et filiales : coût de 34,9 milliards d’euros pour l’année 2009.
    - Régime d’intégration fiscale : coût de 19,5 milliards d’euros pour l’année 2009.
    - Niche dite “Copé” (taxation à taux réduit des plus-values à long terme provenant de cession de titres de participation : 8 milliards d’euros en 2009.
    Pour ces trois niches fiscales : un manque à gagner de 62,4 milliards d’euros.

    Si l’on ajoute le coût (selon la Cour des comptes) des 3 niches fiscales ajoutées par Sarkozy :
    - Heures supplémentaires : 4,5 milliards d’euros.
    - TVA réduite sur la restauration : 3,5 milliards d’euros.
    - Passage du bouclier fiscal à 50 % des revenus déclarés : 0,7 milliards d’euros.

    Soit 8,7 milliards d’euros pour ces trois niches fiscales.

    Au total pour les 6 niches fiscales : 71 milliards d’euros. A comparer avec le plan de rigueur de 8 milliards d’euros.

    Il faudrait ajouter à cela la baisse de l’impôt sur le revenu due à la diminution du nombre de tranches (de 13 avant 1986 à 5 aujourd’hui), au passage de la tranche supérieure de 65 % (avant 1986) à 41% aujourd’hui.
    Coût pour les finances publiques : 15 milliards d’euros en 2009.

    Il ne faudrait pas oublier la baisse du taux de l’impôt sur les sociétés (avant même les niches fiscales) : de 50 % à 34,6 % aujourd’hui.
    Coût pour les finances publiques : 20 milliards d’euros en 2010 (Rapport de la Cour des comptes 2010).
    Au total : 71 + 35 = 106 milliards d’euros en une année.

    Niches sociales : 42 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales en 2009 (Rapport du Sénateur de droite Jean-Jacques Jégou au nom de la commission des finances du Sénat – 2010)

    Intérêts payés aux détenteurs de la dette publique : 48 milliards d’euros en 2009.

    Au total : 106 + 42 + 48 = 196 milliards d’euros en 2009 alors que le déficit public (État, Sécurité sociale, Collectivités territoriales, organismes centraux) s’élevait à 145 milliards d’euros.

    Le rapporteur UMP, Gilles Carrez de la commission des Finances de l’AN estimait (en 2010) que les années 2000 étaient : « 10 années de pertes de recettes non compensées ».

    Sans parler des années 2002-2006, ou Sarkozy fut responsable au budget ou à l’industrie,  il y a 5 années entièrement de la faute de Sarkozy : sans sa politique catastrophique, nous aurions probablement encaissé 1000 milliards de plus en cinq ans et ne serions pas dans la difficulté apparente actuelle dont il se sert comme instrument de chantage et de peur contre nous toutes et tous.

    Ne cherchez pas pourquoi ça va mal partout, dans les écoles, les hôpitaux, les banlieues, l’emploi, la croissance, nos salaires baissés, Sarkozy a tout étouffé, tout détourné, tout provoqué. Délibérément. Savamment.

    (avec Jean-Jacques Chavigné)
    Vendredi 9 Décembre 2011

     

  • Interview du philosophe Michel Onfrey, "l'inverse de BHL"


    Zemmour.Naulleau-Emission.du.02.12.2011 part 2 par warrant

  • Guillaume Sarkozy est fier des délocalisations.

    En marge de l’augmentation record du nombre de chômeurs en octobre (Le Monde du 28 oct. 2011) je viens de découvrir une véritable perle sur le site de mes amis d’Actu-Chômage, à savoir une déclaration de Guillaume Sarkozy : « Je suis fier d'être un patron français qui délocalise ! Assez de faux-semblants : la perte de l'emploi, la déstabilisation industrielle, c'est normal, c'est l'évolution » dont-ils rappellent qu’il fut en son temps vice-président du Medef.


    Mais il n’est pas que cela ! Après avoir planté l’entreprise textile qu’il dirigeait - il doit donc en être très fier ! - il est surtout devenu le patron du groupe Malakoff-Mérédic, société d’assurance spécialisée d’une part dans les retraites complémentaires et même les "sur-retraites" et d’autre part, les mutuelles de santé


    Lire la suite :

    http://kamizole.blog.lemonde.fr/2011/11/29/guillaume-sarkozy-la-phrase-qui-devrait-tuer/