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action - Page 17

  • Patience et persévérance

    Certains se posent la question : à quoi bon trier, faire attention à se qu’on achète ou faire d’autres gestes pour ne pas trop « salir » notre planète, alors que dans le même temps, de grandes entreprises, publiques ou privées, ne font aucun effort.

     

    Oui, on s’est tous un jour posé cette question.

     

    A ça, on peut répondre que nous avons les moyens de faire changer les choses.

     

    1. Concernant les « gros » : il y a le vote ; il y a les associations (qu’elles soient de protection de l’environnement ou de protection du consommateurs, elles ont fait leurs preuves)

     

    2. Concernant nos gestes quotidiens : notre force : le nombre. Si un jour, tout le monde, en même temps, pendant une journée, éteint toute sources d’électricité, ne téléphone plus, ne prend pas sa voiture, bref, s’arrête de consommer (et pendant ce temps, on fait autre chose…), vous verrez… « Ils » nous écouterons vraiment. Vous répondrez : « Oui, mais pas possible de rassembler tout le monde ! »

     

    Je réponds : « Patience et persévérance »

     

  • Trop de viande

    « Rien ne peut être plus bénéfique à la santé humaine et augmenter autant les chances de survie des espèces sur la Terre que l’évolution vers un régime végétarien. »

     

    Albert Einstein

     

     

    Trop de viande nuit à la planète.

     

    La plus grande partie de l’agriculture sert à nourrir le bétail, qui finira dans notre assiette. Je vous passe les chiffres, mais pour résumer, moins on mangera de viande, moins on utilisera d’eau, d’engrais chimique et de pesticide.

     

    Trop de viande nuit à la santé.

     

    En 1936, la consommation de viande était de 47 kilos par an et par personne.

    En 1985, la consommation de viande était de 110 kilos par an et par personne.

    Pourquoi cette augmentation ?

     

    Non seulement la surconsommation de viande nuit au portefeuille, mais aussi à la santé.

    Là encore, si vous voulez plus de précisions, je vous renvois aux sources.

     

    Deux œufs apportent la même quantité de protéine que 100g de viande.

     

    Il n’est pas nécessaire de consommer tous les jours de la viande.

     

    Sources :

     

    L’âge de faire   http://www.lagedefaire.org/

     

    http://www.vegetarismus.ch/info/foeko.htm

     

    Ici : c’est pas mal :

    http://www.themeatrix.com/french/

  • L'eau

    J'ai déjà parlé de l'eau. Et j'en reparlerai encore.

    Sans eau, on ne vit que quelques jours. L'eau est précieuse. L'eau potable de la Terre n'est pas énorme (là, je voulais mettre un camenbert, mais c'est domage, j'ai atteinds le quota d'images ! Vraiment bête ! Même les blogs, faut payer. Ca leur suffit pas la pub et pop up à la con. Ben, vous n'aurez plus de photos !!!).

    MarianneKipleur propose certains boycotts économiques. Je propose aujourd'hui de boycotter les centres de lavages, qu'ils soient automatiques ou au kärsher.

    En lavant sa voiture avec un seau d'eau, on économise énormément. Ma voiture, c'est la pluie qui la lave :-)

  • Des AMAP à Paris !

    Hier, j'ai parlé du commerce équitable. Aujourd'hui, un commerce assez semblable, c'est-à-dire solidaire, mais où chacun peut directement, concrètement agir. Il s'agit des AMAP (Association pour le maintien d'une agriculture paysane).

    J'ai tiré le titre directement du mensuel l'Age de faire. Ainsi que certaines parties du texte qui va suivre.

    Les AMAP ont d'abord vu le jour en Provence. Aujourd'hui, il y en a même à Paris ! Une AMAP, c'est un groupe de consommateurs, qui s'engage, pour une saison (hiver ou été) à acheter les récoltes d'un agriculteur qui, lui s'engage à fournir, chaque semaine, ce qu'on appelle un "panier" de légumes (parfois aussi des fruits, des fleurs, des oeufs, des produits laitiers voire de la viande). Il y a bien sûr des avantages. L'inconvénient, c'est que selon les conditions climatiques, le panier peut être assez réduit, ou alors vous pouvez avoir le même légume en grande quantité pendant plusieurs semaines. Mais c'est le principe de l'AMAP. Le consommateur sait d'avance qu'il court un (petit) risque. Mais en contrepartie, il a la garantie d'avoir des légumes qui viennent de sa proche région, avec une grande qualité gustative et environnementale. Les légumes ne sont pas toujours bio, mais ils tendent à l'être car la demande aumente pour ce mode de production.