Et si la hausse du prix de l'essence était dû à une entente entre pétroliers et constructeurs automobile, voire même certains hommes politiques pour lancer les véhicules électriques ?
Voilà un bon thème pour un livre de politique-fiction.
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Et si la hausse du prix de l'essence était dû à une entente entre pétroliers et constructeurs automobile, voire même certains hommes politiques pour lancer les véhicules électriques ?
Voilà un bon thème pour un livre de politique-fiction.
Les enfants de la surconsommation - partie 1 de 3 par Bender_79
Pétition :
https://secure.avaaz.org/fr/stop_acta_fr/?vchttp%3A%2F%2Fwww.laquadrature.net%2FfrPour
Point de vue | | 02.01.12 | 16h00 • Mis à jour le 02.01.12 | 18h15
par Michel Rocard, ancien premier ministre, et Pierre Larrouturou, économiste
Après avoir épluché 20 000 pages de documents divers, Bloomberg montre que la Réserve fédérale a secrètement prêté aux banques en difficulté la somme de 1 200 milliards au taux incroyablement bas de 0,01 %.
Au même moment, dans de nombreux pays, les peuples souffrent des plans d'austérité imposés par des gouvernements auxquels les marchés financiers n'acceptent plus de prêter quelques milliards à des taux d'intérêt inférieurs à 6, 7 ou 9 % ! Asphyxiés par de tels taux d'intérêt, les gouvernements sont "obligés" de bloquer les retraites, les allocations familiales ou les salaires des fonctionnaires et de couper dans les investissements, ce qui accroît le chômage et va nous faire plonger bientôt dans une récession très grave.
Est-il normal que, en cas de crise, les banques privées, qui se financent habituellement à 1 % auprès des banques centrales, puissent bénéficier de taux à 0,01 %, mais que, en cas de crise, certains Etats soient obligés au contraire de payer des taux 600 ou 800 fois plus élevés ? "Etre gouverné par l'argent organisé est aussi dangereux que par le crime organisé", affirmait Roosevelt. Il avait raison.
La Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) fait quasiment l'unanimité contre elle depuis sa naissance. Intrusive, mal encadrée, techniquement douteuse, elle justifie surtout l'existence d'une bureaucratie qui aura coûté 14 millions d'euros pour la seule année 2011 pour une utilité quasi nulle. L'extension de l'action de l'Hadopi au streaming promet de coûter encore plus cher.