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Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves
Une rentrée scolaire avec moins d'enseignants et plus d'élèves
LEMONDE.FR avec AFP | 29.08.11 | 16h49 • Mis à jour le 29.08.11 | 17h13
Le SNES-FSU, premier syndicat des collèges et lycées, a qualifié lundi 29 août la rentrée dans le secondaire de "sans précédent". Le syndicat déplore 4 800 suppressions de postes d'enseignant alors que dans le même temps le nombre d'élèves va augmenter, selon ses calculs, de près de 80 000.
"C'est une rentrée assez inédite au point de vue des chiffres, avec 79 536 élèves en plus pour 4 800 profs en moins. En comparaison, en 2007 il y avait 6 100 profs en moins, mais aussi 46 500 élèves en moins", a déclaré Frédérique Rolet, cosecrétaire générale du SNES, lors d'une conférence de presse.
C'est la première fois depuis au moins huit ans que le nombre d'élèves augmente en lycées généraux et technologiques, selon le SNES, qui justifie ainsi l'appel unitaire à la grève du 27 septembre.
Et compte tenu de la natalité française (de moins de 780 000 naissances avant 2000, on est passé à plus de 820 000 aujourd'hui), "l'augmentation du nombre d'élèves va être durable, donc il faut prévoir des recrutements", a ajouté Daniel Robin, autre cosecrétaire général.
Or il y a "crise" en la matière, "de 2002 à 2011, le nombre de postes aux concours externes a baissé de 50 %" et en cette rentrée "976 postes ne sont pas pourvus par les concours", a déploré Mme Rolet.
SOURCE :
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Personne n'a jamais réussi à "faire l'Europe" de force !
Il y a eu les Romains, Charlemagne, Napoléon, Hitler.
A chaque fois, il y a eu guerres, conflits, révoltes.
Ils ont échoués.
Aujourd'hui, "ils" essayent une autre méthode. Le peuple a voté, à plusieurs reprises, parfois sans trop comprendre, pour une perte de souveraineté, pour la création d'une entité supranationale.
Et quand le peuple a fermement dit non, les soit-disant représentants du peuple ont forcé un peu la main, avec des tours de passe-passe, pour la création de cette Europe, que le peuple, dans sa majorité, ne veut pas.
Mais le peuple est bête. Il ne comprend pas. Il ne sait pas ce qui est bien pour lui. Alors, "nous" ("eux", quoi), les grands de ce monde, allons continuer le chemin vers la prochaine étape (pas ultime, je dis bien prochaine) : l'Europe fédérale. Et là, vous ne serez plus Français que par le nom. La France, comme elle existe depuis sa création, avec toutes ses particularités, toutes ses richesses, son influence, ne sera plus.
Il sera alors trop tard.
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