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  • La fabrication du consentement

    Je remercie Nessy de m'avoir fait connaître Noam Chomsky

     

  • Quand l'UMP tue les campagnes

    Les Américains ne comprennent pas pourquoi les Français tiennent à leur terroir. Ce n'est pas rentable !

    Hopitaux non rentables, lignes de bus ou de trains non rentables, permanences d'administration non rentable (CAF, CPAM...), bureaux de poste non rentable, palais de justice non rentable, maternités non rentables.

    Par soucis d'économies et de rentabilité, le gouvernement actuel ferme de nombreux lieux qui rendent service au Français qui ne vivent pas en ville.

    La conséquense est simple : une deuxième exode rurale. A la différence de la première : le manque de logement dans les villes, ou des logements vides, mais à des tarifs inabordables.

    Où vont aller ces pauvres gents vivants à la campagnes, sans hôpital, sans CAF, sans maternité, sans transport en commun ? La réponse : le téléphone ? Oui mais le téléphone, c'est des automates. On n'arrive à joindre néni ! Et en plus, c'est que des 0820.... payants ! Alors que faire ? Sous prétexte de rentabilité ?

    Mais le manque d'argent ne vient pas par les dépenses. Il vient seulement par le maque de ressources. Baisses d'impôt, exonération de charge pour les grandes entreprises (qui, en plus, font des bénéfices et licencient, non pas parce qu'elles sont en déficit, mais parce que leur bénéfice a diminué !)

    Que faire ?

    Taxer la bourse

    Augmenter les impôts (seuls les riches le payent de toute façon, et ils ne pourront pas menacer de quitter la France, puisque ils l'ont déjà fait !)

    Supprimer l'impôt sur les grandes fortunes, car elle touchent "Monsieur-tout-le-monde"

    Réinstaller les charges des grandes entreprises(genre Total, Darty, Carrefour, Bouygues, Aréva, Veolia..... j'en oublie), puisque de toute façon, elle font des bénéfices.

    Supprimer les franchises médicales.

    REsortir de l'OTAN, qui nous coûte un fric dingue, et qui nous cause des MORTS POUR RIEN !

    Bref, réinstaller ce que le gouvernement a dédruit en peu de temps.

    La France ne doit pas ressembler aux Etats-Unis. La France ne doit pas continuer à être le 52ème Etat des Etats-Unis. La France ne doit pas faire parti du Nouvel Ordre Mondial.

    A connaître, si ce n'est déjà fait :

     

  • La France est-elle une démocratie ?

    Le peuple français a été saisi d'un référendum. La réponse à la question posée : non.vote.jpg

    Quelques mois plus tard, les dirigeants de notre pays des droits de l'Homme, dit "démocratique", passe en force un texte rejeté par les Français.

    Est-ce cela qu'on appelle une démocratie ?

     

    Le plus minable dans tout ça, c'est que le peuple, drogué par la télé, n'a même pas réagit.

     

    démocratie

    1. Régime politique dans lequel l'ensemble du peuple dispose du pouvoir souverain.
    2. État organisé selon des principes démocratiques.

    référendum

    1. Vote direct des électeurs, qui doivent répondre par « oui » ou par « non » à une question posée.
  • Que risque un Etat qui viole des articles de la déclaration des droits de l'Homme de l'ONU ?

    Apparemment rien, puisque la France, non seulement signataire de cette charte, mais en plus, l'ayant en préambule dans sa propre constitution, viole plusieurs de ces articles. Lisez-les, tout simplement, et forgez-vous votre opinion.

    source du texte : http://www.un.org/fr/documents/udhr/

    Article premier

    Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

    Article 2

    1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
    2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

    Article 3

    Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

     

    Article 4

    Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

    Article 5

    Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

    Article 6

    Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

    Article 7

    Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

    Article 8

    Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

    Article 9

    Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

    Article 10

    Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

    Article 11

    1. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.
    2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis.

    Article 12

    Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

    Article 13

    1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat.
    2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

    Article 14

    1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.
    2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.

    Article 15

    1. Tout individu a droit à une nationalité.
    2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

    Article 16

    1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.
    2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux.
    3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

    Article 17

    1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.
    2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

    Article 18

    Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

    Article 19

    Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

    Article 20

    1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques.
    2. Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.

    Article 21

    1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.
    2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.
    3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.

    Article 22

    Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

    Article 23

    1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
    2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
    3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
    4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

    Article 24

    Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

    Article 25

    1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.
    2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

    Article 26

    1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.
    2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
    3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.

    Article 27

    1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.
    2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

    Article 28

    Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

    Article 29

    1. L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible.
    2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.
    3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

    Article 30

    Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

    source du texte : http://www.un.org/fr/documents/udhr/

     

  • Alain Soral Vs Elisabeth Levy : rien de constructif. "dialogue" destructif

  • La nouvelle sécurité sociale


    SM > NOUVELLE SECURITE SOCIALE > 12.2009
    envoyé par sebmusset. - L'info video en direct.

  • Les juifs sont des surhommes

    Là où les arabes et les noirs ont échoués, les juifs ont gagnés.

    Les propos de Georges Freches sont se qu'ils sont. Mais les noirs ou les arabes sont-ils des sous-hommes ? Ou bien les dirigeant du PS n'ont pas de couilles ?

    Pourquoi est-il condamné lorsqu'il "s'attaque" aux juifs et pas aux noirs ou aux arabes.

    Aujourd'hui, je comprends le sentiment de frustation de Dieudonné.

    Les juifs : des "surhommes" ? (en opposition aux sous-hommes)