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  • Une musique libre de droit. Profitons-en pendant qu'il est encore temps !

  • Pourquoi le générique du 20h de TF1 fait-il peur?

  • Les mensonges de Monsanto. La Cour de Cassation confirme la condamnation.‏

    Monsanto définitivement condamné pour "publicité mensongère" à propos du Round Up
    LEMONDE.FR avec AFP | 15.10.09 | 11h26

    round-up.jpgLa Cour de cassation a rejeté le pourvoi formé par Monsanto, rendant définitive sa condamnation à 15 000 euros d'amende pour "publicité mensongère" sur le Round Up, premier désherbant au monde.

    Le 26 janvier 2007, le tribunal correctionnel de Lyon avait condamné le géant américain de l'agrochimie et la société Scotts France, qui distribue le Round Up dans l'Hexagone, à chacun 15 000 euros d'amende.
    Le 29 octobre 2008, la cour d'appel de Lyon avait confirmé cette condamnation, jugeant les dirigeants des deux structures coupables d'avoir présenté l'herbicide comme "biodégradable" et laissant "le sol propre". Les condamnés avaient alors formé un pourvoi en cassation, pourvoi qui a été rejeté le 6 octobre par la chambre criminelle de la Cour de cassation.500px-Hazard_T_svg_2.png
    Le tribunal correctionnel de Lyon avait été saisi en 2001 à la suite d'un rapport de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes et d'une plainte des associations Eau et rivières de Bretagne et Consommation, logement et cadre de vie, parties civiles dans ce procès.
    Principale matière active du Round Up, le glyphosate a été classé en 1991 "dangereux pour l'environnement", notamment aquatique, par les autorités européennes. L'association Eau et rivières de Bretagne s'est félicitée de cette "victoire", en profitant pour demander "au gouvernement de respecter l'enjeu du Grenelle de l'environnement concernant les produits phytosanitaires et notamment l'interdiction de toutes les publicités en faveur des pesticides destinés aux particuliers".

  • Suicides au travail : à quand la vérité des chiffres ?


    Alors qu’à France-Télécom on vient de déplorer un vingt-cinquième suicide en 18 mois, et que la direction du groupe semble encore peu prompte à reconnaître l’ampleur du phénomène « souffrance au travail » au sein de l’entreprise, voici quelques pistes de réflexion puisées dans ce que l’on sait déjà sur le suicide, et le suicide au travail en particulier. Car le phénomène n’est pas nouveau mais, sans doute ces dernières années, prend-t-il de l’ampleur. En témoigne le cas France-Télécom.
    [...]

    Le suicide mieux reconnu en accident du travail

    Autres chiffres annoncés tout récemment par la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam) et dévoilés par le quotidien « les Echos » : sur 72 demandes de reconnaissances de suicides comme accidents du travail, reçues entre janvier 2008 et juin 2009, la Cnam a répondu positivement pour 28 d’entre elles. Cinq demandes sont encore en cours d’examen.

    Parmi ces demandes, recense la Cnam, 85% des victimes étaient des hommes âgés de 40 à 57 ans. Dans un cas sur deux, le suicide s’est produit au travail. Ce qui tendrait à prouver que les suicides en-dehors du lieu de travail ont tendance à être mieux reconnus comme étant liés à l’activité professionnelle. Mais ces chiffres ne concernent, selon Les Echos, que les entreprises du secteur privé. S’ils ne rendent pas compte de la difficulté des démarches, pour les familles (3), ils ont le mérite de rendre concret le phénomène.

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  • Vaccination grippe A obligatoire ou pas ?


  • "La politique familiale bénéficie en priorité aux familles les plus riches."

    Vu sur le monde.fr :

    "La politique familiale française est généreuse mais elle a son talon d'Achille : paradoxalement, elle bénéficie en priorité... aux familles les plus riches. Selon le ministère de la santé, pour les 30 % des foyers les plus aisés, les transferts annuels liés à la politique familiale représentaient, en 2004, 3 500 euros par enfant, alors que les 5 % des familles les plus pauvres n'en touchaient que 2 800 et les classes moyennes environ 2 000. "Les ménages ayant les revenus les plus élevés sont les plus grands bénéficiaires", résumait le Centre d'analyse stratégique en 2007."

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  • Ce soir mardi sur Arte : Le cauchermar du nucléaire

    En pleine prise de conscience des menaces de réchauffement climatique, les industriels et certains politiques nous présentent l’énergie nucléaire comme la solution d’avenir, une énergie propre, maîtrisée, sans impact sur l’environnement et la santé. Parfois même, une énergie qui s’inscrit dans le « développement durable ». Mais l’énergie nucléaire est-elle aussi propre qu’on nous le dit ?

    -> Arte.fr

  • J'aime pas les étrangers !

    Et vous ? Vous aimez les étrangers ? D'ailleurs, c'est quoi ? Un étranger ?

  • pétition contre jean sarkozy

    vu sur le blog :

    http://www.grebert.net

    Scandalisés par la possible désignation de Jean Sarkozy, "le fils de...", à la tête de l'EPAD, des Putéoliens m'ont écrit pour me demander "qu'est-ce qu'on peut faire pour empêcher cela ?" C'est alors que j'ai pensé à une pétition pour demander à l'intéressé de renoncer, de lui-même, à postuler à cette fonction. Une simple demande de bon sens : ce jeune homme - sans diplôme, sans métier, sans expérience, sans compétence et sans légitimité autre que son nom - n'a pas le profil pour le poste ! A cette heure, moins de 48 heures après sa mise en ligne, plus de 2.300 personnes ont déjà signé cette pétition.
    La presse a largement relayé cette action citoyenne. France 3 Ile-de-France a ouvert hier son édition avec ce sujet.

    Et ce matin, Le Parisien des Hauts-de-Seine en parle :

    "(..) Même étonnement du côté du MoDem. A Puteaux, l’élu d’opposition Christophe Grébert a lancé sur son blog une pétition pour « demander à Jean Sarkozy de renoncer à postuler à la présidence de l’Epad ». Hier, vingt-quatre heures après sa mise en ligne, elle avait déjà dépassé le millier de signatures".