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politique - Page 19

  • Le « ras-le-bol » de la CAF

    Le « ras-le-bol » de la CAF

    Les grévistes s'apprêtent à rejoindre le conseil d'administration

    SOCIAL. Hier au siège havrais de la CAF, les salariés ont manifesté pour réclamer une dizaine d'embauches.

     

    Dans les rangs de la CAF havraise, la queue des clients n'en finit pas de s'allonger. Et c'est chaque jour de pire en pire, à en croire la vingtaine d'employés de la Caisse d'allocations familiales, qui ont débrayé 55 minutes hier pour protester contre une politique de réduction des effectifs.

    Un manque à gagner
    Une première manifestation regroupant une cinquantaine de salariés s'est tenue le 22 octobre dernier, à l'issue de laquelle cinq employés en contrats à durée déterminée se sont vus titularisés. Les mesures prises ont néanmoins été jugées insuffisantes et ont donné lieu, hier après-midi, à une seconde grève. Les manifestants réclament alors, à l'occasion d'un conseil d'administration, dix embauches supplémentaires afin de pallier le manque de personnel.
    Car au sein des équipes de travail, le non-remplacement des départs en retraite et des mutations a engendré un certain « phénomène de ras-le-bol », constate Michel Marion, conseiller technique d'action sociale à la CAF et délégué CGT.

    Au quotidien, les équipes de la CAF gèrent les dossiers des allocataires et se chargent de l'accueil téléphonique et publique, avec un objectif : ne pas faire patienter les clients plus de vingt minutes.

    La pression monte
    Une mission qui engendre son lot de stress. « On nous met la pression pour avancer plus vite », dénonce Michel Marion.

    « C'est un cercle vicieux », enchaîne Josette Hernandez, itinérante conseil. « Plus nous prenons de retard dans le traitement des dossiers, plus les allocataires sont nombreux à se déplacer. Nous mettons donc tout en œuvre pour les accueillir, mais faute de personnel, les dossiers sont délaissés. Résultat, le retard s'accumule. » Actuellement, la CAF en est à traiter les dossiers du 28 septembre dernier. « Mais quand un dossier est trop arriéré, l'allocataire peut perdre un mois de droits », regrette Michel Marion. A ce constat, le délégué ajoute une certitude : « Avec la crise économique, les demandes d'allocations vont aller croissant. »


    Aline Chartrel

    source :

    http://cgtcafvar.over-blog.com

  • Doutes sur la sûreté des réacteurs nucléaires EPR

    Doutes sur la sûreté des réacteurs nucléaires EPR

    France Info - Hier, 20:25

    Les autorités de sûreté nucléaire finlandaise, britannique et française ont émis des doutes sur les systèmes de sécurité du réacteur nucléaire de troisième génération EPR. Les deux systèmes de contrôle qui pilotent le réacteur seraient trop interconnectés, alors qu’ils sont censés être indépendants.

    Les autorités de sûreté anglaise, finlandaise et française demandent aux concepteurs de l’EPR de revoir leur copie. Ce système, censé constituer l’avenir du parc de plusieurs pays (deux sont en construction en France et en Finlande), présenterait des incertitudes sur le niveau de sûreté de ses systèmes de contrôle-commande, véritable cerveau du réacteur. Ils demandent aux exploitants et aux fabricants “d’améliorer la conception initiale de l’EPR”.

    La critique porte sur la trop grande interconnexion entre deux systèmes de contrôle, supposés être indépendants, l’un faisant fonctionner le réacteur et l’autre assurant sa sécurité. C’est le second qui doit prendre le relais du premier en cas d’incident, d’où l’importance qu’il ne soit pas “contaminé” par d’éventuels dysfonctionnements. “Si un système de sûreté est appelé à servir en cas de perte d’un système de contrôle, alors ces deux systèmes ne doivent pas faillir simultanément”, soulignent les autorités de sûreté du nucléaire.

    SIMPLIFIER LE "CERVEAU" DU REACTEUR

    “Cela fait partie de la démarche de dialogue permanent que les exploitants, les constructeurs et les autorités de sûreté ont dans le cadre du processus de certification ou de la construction des nouveaux réacteurs”, dédramatise une porte-parole d’Areva. Le fabricant français s’est engagé à apporter “toutes les réponses attendues”.

    L’Autorité de sûreté nucléaire française demande en outre à EDF de simplifier le système de contrôle-commande du réacteur en construction à Flamanville, dans la Manche “la complexité de l’architecture proposée par EDF rend difficile l’élaboration d’une démonstration de sûreté satisfaisante”, estiment les experts.

    Les enjeux commerciaux et techniques de l’EPR sont énormes. Areva et EDF en ont fait leur vitrine. Outre celle de Flamanville, une unité est en construction en Finlande et deux en Chine. Les Français sont en négociation pour une autre unité aux Etats-Unis. Actuellement, 23 EPR sont en projet à travers le monde.
    Ce nouveau dossier sensible tombe mal pour EDF, alors que l’électricien fait face à une polémique sur sa capacité à fournir de l’électricité en France cet hiver, alors que le tiers de ses centrales sont arrêtées (cliquer en bas de page pour lire notre article).

  • Faites-vous parti des 2/3 "obéissants" ?

  • SM > LE FILS PREFERE

  • Suicides au travail : à quand la vérité des chiffres ?


    Alors qu’à France-Télécom on vient de déplorer un vingt-cinquième suicide en 18 mois, et que la direction du groupe semble encore peu prompte à reconnaître l’ampleur du phénomène « souffrance au travail » au sein de l’entreprise, voici quelques pistes de réflexion puisées dans ce que l’on sait déjà sur le suicide, et le suicide au travail en particulier. Car le phénomène n’est pas nouveau mais, sans doute ces dernières années, prend-t-il de l’ampleur. En témoigne le cas France-Télécom.
    [...]

    Le suicide mieux reconnu en accident du travail

    Autres chiffres annoncés tout récemment par la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam) et dévoilés par le quotidien « les Echos » : sur 72 demandes de reconnaissances de suicides comme accidents du travail, reçues entre janvier 2008 et juin 2009, la Cnam a répondu positivement pour 28 d’entre elles. Cinq demandes sont encore en cours d’examen.

    Parmi ces demandes, recense la Cnam, 85% des victimes étaient des hommes âgés de 40 à 57 ans. Dans un cas sur deux, le suicide s’est produit au travail. Ce qui tendrait à prouver que les suicides en-dehors du lieu de travail ont tendance à être mieux reconnus comme étant liés à l’activité professionnelle. Mais ces chiffres ne concernent, selon Les Echos, que les entreprises du secteur privé. S’ils ne rendent pas compte de la difficulté des démarches, pour les familles (3), ils ont le mérite de rendre concret le phénomène.

    -> lire l'article complet

  • Vaccination grippe A obligatoire ou pas ?


  • "La politique familiale bénéficie en priorité aux familles les plus riches."

    Vu sur le monde.fr :

    "La politique familiale française est généreuse mais elle a son talon d'Achille : paradoxalement, elle bénéficie en priorité... aux familles les plus riches. Selon le ministère de la santé, pour les 30 % des foyers les plus aisés, les transferts annuels liés à la politique familiale représentaient, en 2004, 3 500 euros par enfant, alors que les 5 % des familles les plus pauvres n'en touchaient que 2 800 et les classes moyennes environ 2 000. "Les ménages ayant les revenus les plus élevés sont les plus grands bénéficiaires", résumait le Centre d'analyse stratégique en 2007."

    -> lire la suite

  • Ce soir mardi sur Arte : Le cauchermar du nucléaire

    En pleine prise de conscience des menaces de réchauffement climatique, les industriels et certains politiques nous présentent l’énergie nucléaire comme la solution d’avenir, une énergie propre, maîtrisée, sans impact sur l’environnement et la santé. Parfois même, une énergie qui s’inscrit dans le « développement durable ». Mais l’énergie nucléaire est-elle aussi propre qu’on nous le dit ?

    -> Arte.fr

  • J'aime pas les étrangers !

    Et vous ? Vous aimez les étrangers ? D'ailleurs, c'est quoi ? Un étranger ?

  • pétition contre jean sarkozy

    vu sur le blog :

    http://www.grebert.net

    Scandalisés par la possible désignation de Jean Sarkozy, "le fils de...", à la tête de l'EPAD, des Putéoliens m'ont écrit pour me demander "qu'est-ce qu'on peut faire pour empêcher cela ?" C'est alors que j'ai pensé à une pétition pour demander à l'intéressé de renoncer, de lui-même, à postuler à cette fonction. Une simple demande de bon sens : ce jeune homme - sans diplôme, sans métier, sans expérience, sans compétence et sans légitimité autre que son nom - n'a pas le profil pour le poste ! A cette heure, moins de 48 heures après sa mise en ligne, plus de 2.300 personnes ont déjà signé cette pétition.
    La presse a largement relayé cette action citoyenne. France 3 Ile-de-France a ouvert hier son édition avec ce sujet.

    Et ce matin, Le Parisien des Hauts-de-Seine en parle :

    "(..) Même étonnement du côté du MoDem. A Puteaux, l’élu d’opposition Christophe Grébert a lancé sur son blog une pétition pour « demander à Jean Sarkozy de renoncer à postuler à la présidence de l’Epad ». Hier, vingt-quatre heures après sa mise en ligne, elle avait déjà dépassé le millier de signatures".